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Le wokisme ou la transgression des interdits moraux fondamentaux

Le 13/06/2022

Dans Actualités

Le wokisme n’est pas une outrance de l’extrémisme de gauche. Il n’est pas non plus une pensée viciée à force de générosité à vouloir inclure chaque particularisme. Non. Il est le nom d’une facette incontournable du totalitarisme. L’objectif de ses promoteurs mondialistes réside dans leur volonté de destruction des piliers de la civilisation, tant sur un plan sexuel ou familial que sur un plan anthropologique.

Que nous disent les philosophes que j’ai citées maintes fois ? Elles nous disent que le totalitarisme est la négation la plus absolue de la liberté. Que le régime totalitaire a l’ambition d’une domination totale et qu’il fonctionne à l’idéologie. Une idéologie qui sera immanquablement amenée à s’écarter de plus en plus de la réalité et de la vérité. Qu’importe pour ceux qu’elle a pris dans ses filets ! Ils n’y attachent plus d’importance. L’idéologie s’est emparée d’eux. Le délire les a gagnés.

Non au wokisme trump

Dénonciation du wokisme lors d'un meeting CPAC auquel participa Donald Trump

Voilà pourquoi les incongruités, que charrie le wokisme, ne soulèvent guère de réprobation dans la population conditionnée. Et pourtant, comme on va le voir sur quelques exemples, il y a de quoi outrer tout être humain qui se respecte.

Le délire totalitaire encourage la perversion certes, mais au-delà il exhorte à la transgression des interdits moraux fondamentaux, de ceux qui structurent une société : la pédophilie, l’inceste, le cannibalisme. Et il opère avec des méthodes violentes : le traumatisme psychique et le harcèlement.

Le wokisme s’en prend à bon nombre d’interdits, mais trois exemples feront l’affaire pour illustrer ses attaques à trois niveaux différents.

Heterosexualite le monde 1

On tente plus que jamais, par le biais des médias, de nous faire accepter l’inacceptable. Nous sommes en plein dans ce qu’on appelle la fenêtre d’Overtone. Il y a quelques jours, Le Monde ouvrait ses pages à la chronique d’une certaine Maïa Mazaurette. Titre de la chronique, Comment peut-on encore être hétérosexuel ? La Maïa en question est à coup sûr une allumée. Elle nous invite à sortir, lit-on, de la culture hétérosexuelle et à élargir son répertoire pour une sexualité plus épanouie. Pour commencer, qu’elle garde son invitation ! Je n’en veux pas. Ensuite, de quel droit cette frappadingue entend-elle nous donner des leçons de sexualité et choisir notre partenaire, avec l’objectif final, même pas inavoué, de rompre avec la culture qui est la nôtre, une culture de l’hétérosexualité basée sur la procréation naturelle. A mon tour de lui proposer d’aller au zoo s’accoupler avec d’autres espèces vivantes, afin qu’elle épanouisse aussi sa sexualité. Son propos est vraiment insupportable, indécent. Et il émane d’une licencieuse qui nous enjoint de balayer des siècles de culture. Alors oui, proscrivons sa choquante proposition, qui n’a pour but que de briser la famille, une institution basée précisément sur cette hétérosexualité ancestrale.

Phedophilie liberation

La pédophilie participe aussi à la destruction de la cellule familiale. Un autre torchon que personne ne lit plus, à part peut-être Cohn-Bendit, je parle de Libération, titrait récemment dans l’une de ses tribunes : Pédophilie : où est la gêne ? Il n’a pas suffi qu’on découvre dans l’élite française, depuis des années, des pédophiles notoires qui sont passés à travers les mailles du filet, nous avons appris qu’un représentant influent de l’Etat profond français, le dénommé Olivier Duhamel, président du Siècle, s’adonnait à la pédophilie et à l’inceste pendant qu’il pérorait d’un ton professoral devant la classe politique. A cette occasion, Libération fit profil bas lorsqu’on ressortit toutes les incitations à la pédophilie dont le journal s’était rendu coupable en faisant la part belle à ses tenants, dont l’exquis Jack Lang, dans les années soixante-dix. Mais c’était pour mieux revenir avec cette manchette provocatrice et carrément abjecte. Lisons le début : La pulsion pédophile existe en chacun de nous. Et les affaires mettent mal à l’aise parce qu’elles interrogent notre capacité à sublimer et à poser des limites à l’enfant. Voilà le genre de monstruosités qu’on peut lire en 2022 dans le canard gauchiste de l’élite mondialiste, dépravée, qui ne cache plus ses penchants pervers depuis longtemps et qui voudrait les légaliser une fois pour toutes. A l’entendre, il y aurait déjà en chacun de nous un pédophile qui sommeille. Personnellement pas en moi. On veut déjà marginaliser l’hétérosexualité et voilà qu’en plus on tente de banaliser la pédophilie. Marc Dutroux obtiendrait sa libération et en prime la légion d’honneur, si on laissait faire ces canailles. Ensuite le problème, selon eux, viendrait du fait qu’il faille sublimer l’acte pédophile pour qu’il acquière ses lettres de noblesse. Le plus obscène est la fin. Ce qui les chagrine serait d’être en mesure de poser des limites à l’enfant face à son prédateur. C’est cela ? Ai-je bien compris l’ordure qui a écrit ce fatras ? Je n’ai jamais aimé l’idée d’autodafé, mais à lire cette boue, pour ne pas dire plus, il me vient des envies d’allumer un grand feu de joie pour y jeter ces écrits immondes.

Cannibaliste

L'adepte du cannibalisme Magnus Soderlund

Les attaques anthropologiques se déchaînent aujourd’hui tous azimuts. Ainsi, après avoir inventé le genrisme et ses fadaises, le wokisme fait appel au cannibalisme pour détruire ce qui reste de l’homme. Vous avez bien lu, au cannibalisme. Eh oui, si votre but était de détruire l’homme, le mieux serait de faire en sorte qu’il se dévore lui-même, n’est-ce pas ? Le sieur Magnus Soderlund dont vous oublierez comme moi le nom dès la fin de ce billet, scientifique suédois de son état, enfin c’est ce qu’il prétend, avança ce moyen de lutter contre le changement climatique lors d’un sommet en 2019, le Gastro Summit, cela ne s’invente pas ! Pour lui il faut s’habituer à manger des aliments dont on n’a pas l’habitude, tels que la chair humaine provenant des cadavres. C’est là une solution alimentaire durable, selon cet expert ! Et puis un jour ce bienfaiteur de l‘espèce humaine nous dira qu’on pourra se servir directement sur les vivants, du moins certains d’entre eux. Est-ce moi seul qui suis horrifié d’entendre de telles choses sortir de la bouche d’éminentes personnes ou bien partagez-vous mon écœurement ? Ce genre de propos devrait soulever une tempête d’indignations. Ce devrait faire scandale et son auteur devrait s’enfuir de honte. Au lieu de cela il semble satisfait de lui. C’est à cela qu’on reconnait la décadence. Un degré de plus dans l’horreur est franchi et on veut l’ignorer. Je n’ai que mépris pour tous ceux que cela ne révulse pas. Car on sait que ces gens-là, pour fous qu’ils soient, sont envoyés par la caste pour nous habituer à l’idée de vivre dans un tel capharnaüm. Toutes les digues de la barbarie sont rompues si on accoutume la masse à ce genre d’idées plus que nauséabondes. Cette fois, l’épithète est méritée.

Il y aura toujours des intellectuels pour être fascinés par cette perspective, surtout quand elle est transgressive. Des transgressions, j’aurais pu en citer tant et tant qui émaillent les nouvelles, tous les jours. Il a bien fallu en limiter les exemples ici. On trouvera parmi ces intellectuels, qui sait, des sociologues, des philosophes et… des médecins ! Pourquoi pas. La dystopie dans laquelle nous pénétrons ne s’est donné aucune limite. Elle s’apparente de plus en plus à l’Enfer de Jérôme Bosch.¾

 

Photo d'illustration : L'Enfer, extrait d'un panneau du triptyque Le Jardin des Délices, Jérôme Bosch

Cannibalisme Pédophilie Perversion Transgression Wokisme

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