Depuis 2020, nous avons vu les médecins accepter de ne plus soigner et piquer eux-mêmes leurs semblables avec des poisons, nous avons vu les scientifiques tricher dans leurs travaux, nous avons vu les hommes politiques, qui, à les entendre, débordaient de bienveillance, devenir les pires législateurs, entérinant des lois illégales et défendant les mesures les plus ignobles. Nous avons vu les médias nous montrer l’Ukraine sous un jour flatteur mais se taire sur un Brésil en ébullition contre la fraude électorale ou sur une Chine à bout, contre les potentats locaux du PCC. Nous avons vu tous les secteurs s’emballer. Les banquiers voler leurs clients et se renflouer dans la caisse des peuples en les endettant. Nous avons vu notre indépendance énergétique disparaitre en quelques mois, comme par désenchantement, alors que des éoliennes poussaient dans les champs comme des chardons de métal sans pour autant pouvoir nous réchauffer cet hiver. En Angleterre elles sont à l’arrêt, faute de vent, et le pays, qui a froid, mendie maintenant son électricité. Nous avons vu les meutes travesties et grimées de l’establishment venir nous faire croire qu’un homme pouvait tomber enceinte et qu’une femme pouvait sécréter du sperme. Nous avons vu les piliers de la réalité biologique être abattus par des hordes de Sandrine Rousseau en chaleur, et nous avons vu « l’élite », à mots à peine voilés, faire l’apologie de la pédocriminalité, d’Hollywood à Balenciaga en passant par Epstein, Maxwell, les Clinton, le Prince Andrew et la porcherie germanopratine (l’expression est de Salim Laïbi) Duhamel, Lang ou Cohn-Bendit. Tout ce que nous avons vu aurait dû nous désorienter, nous tous sans exception ! Pendant que le faux décor finit de s’effondrer, certains médusés s’enferment toujours dans leur hébétude, refusant de croire qu’il n’y a plus de théâtre. Autour d’eux pourtant, il n’y a rien que la réalité choquante et plus rien de factice pour les tenir dans un état cataleptique.
Une guerre psychologique à outrance se déroule précisément sur ce champ de bataille. Il ne s’agit pas d’une formule, loin de là. Il s’agit d’un aspect inédit de la guerre présente. Jamais encore on n’avait fait du cerveau humain un champ de bataille comme en ce XXIème siècle. On manipule les cerveaux pour leur faire perdre toute trace de perception de la réalité. Une officine canadienne de l’Alliance transatlantique a appelé cela la guerre cognitive. Après les airs, la mer, la terre, l’espace et le numérique, le champ de bataille s’est étendu au psychisme humain. Le but ? Abriter sous chaque crâne une arme exploitable sur le terrain psychologique. C’est pourquoi beaucoup se disent éreintés de mener la lutte. En face d’eux, d’autres humains ont été conditionnés depuis longtemps pour nous livrer bataille. Une vieille dame, qu’on interrogeait sur notre époque, a reconnu que le mental était bien davantage mis à l’épreuve dans cette guerre-ci.
Mais le fait d’avoir découvert que la réalité, qu’ils avaient construite de toutes pièces, n’était qu’un décor conçu pour nous y parquer, a eu pour effet de nous retourner contre nos manipulateurs. De voir la vérité en face nous a propulsés sur le terrain de la guerre moderne et, armés de nos preuves, nous a incités à mener le combat sans plus attendre. Dans cet affrontement, continuer de croire à une réalité fantôme c’est non seulement se leurrer, prendre des vessies pour des lanternes, accepter d’être infantilisé, mais encore c’est se ranger dans le camp des ennemis de l’espèce humaine. La neutralité est un luxe qu’on ne peut se payer en période d’apocalypse.¾