Un québécois, que j’ai écouté récemment mais dont le nom m’échappe, qu’il me pardonne, a effectué un parallèle fort judicieux entre Tim Ballard et Oskar Schindler. Personne n’a oublié comment le capitaine d’industrie allemand en était venu à sauver des vies juives, destinées tôt ou tard à être exterminées, durant la seconde guerre mondiale. Mettant à profit ses bonnes relations avec le chef du camp de concentration de Cracovie, il put bénéficier aux yeux des nazis d’une main d’œuvre taillable et corvéable à merci, pour faire tourner son entreprise. Mais, sous ce couvert, il permit à de nombreux juifs d’échapper au sort funeste qui les attendait.