Pour qu’il y ait un étau, encore faut-il qu’il y ait un second front de pression que la Russie, une seconde mâchoire. Celle-là provient des USA, l’éternel rival, du cœur de l’Amérique, de celle qui se range derrière Donald Trump devenu une véritable icône antimondialiste. Le Deep State multiplie les tentatives d’obstruction contre lui, l’accable de poursuites judiciaires toutes plus vaines les unes que les autres, comme il avait accumulé les impeachments sans succès. La popularité de Trump s’accroit au fur et à mesure que le peuple américain découvre l’ampleur de la manipulation à laquelle il est soumis. Alors, de guerre lasse, on parsème le chemin de Trump d’embûches. Les accusations contre lui tombent les unes à la suite des autres et éclaboussent en retour les marionnettes du Deep State qui s’y aventurent. Le cas de la procureure Fani Willis est emblématique. Elle poursuivait Trump sous des allégations fallacieuses et se retrouve à son tour sur le banc des accusés pour entretenir une relation inappropriée avec le procureur qu’elle a désigné en consultation avec la Maison blanche et le DOJ pour s’en prendre à Trump. Grâce à sa liaison, elle a pu réclamer beaucoup plus d’argent, un million de dollars environ. Parallèlement à la manœuvre politique insidieuse des démocrates, c’est aussi une affaire crapuleuse. De plus, selon The Epoch Times, l’ex-professeur de droit à Harvard, Alan Dershowitz, a déclaré que Fani Willis aurait pu mentir sous serment la semaine dernière au cours de son témoignage au tribunal. Elle serait alors disqualifiée pour poursuivre son affaire en Géorgie contre l'ancien président Donald Trump. Décidément le Deep State s’enferre dans ses coups fourrés. Plus il se débat pour éviter le retour de son ennemi juré, plus il serre le nœud coulant qu’il lui a passé autour du cou.
Le DNC est aux abois, ne sachant quel candidat pourrait barrer la route à Trump, entre un vieillard sénile et gaffeur, soi-disant président en exercice de la première puissance mondiale, une vice-présidente impopulaire et la femme d’un ex-président dont les casseroles ne manquent pas. A ce propos, Jesse Watters sur Fox News a révélé que l’Etat profond se démenait pour mettre la main sur un classeur top-secret qui montrerait comment la CIA d’Obama a organisé le canular russe (Russiagate). La descente du FBI à Mar-a-Lago aurait eu pour objet de retrouver le classeur en question.
L’étau Trump-Poutine se referme et broie le système mondialiste chaque jour un peu plus, sur tous les fronts à la fois. Les événements se bousculent et dévoilent une oligarchie de plus en plus empêtrée dans ses actions. Son idée fixe est de prendre les peuples pour cible. Les empêcher de voter, les empêcher de s’informer, les empêcher de mettre un terme aux agissements de ses lieutenants, les empêcher de se révolter… Mais la vraie question est combien de temps pourra-t-elle encore tenir, elle qui sera bientôt à court d’argent, à court de munitions, à court de personnel, à court d’audience, à court de subterfuges et d’idées ?¾
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