Bien sûr, il y a des raisons économiques. La crise de 2008, comme celle qui couve à l’heure actuelle, le recours à la planche à billets depuis vingt ans, les banques centrales le dos au mur, tout cela a pu jouer dans la décision de passer à une opération de grande envergure pour prendre la main définitivement sur les peuples et ne plus les ménager. L’oligarchie ne pouvait pas ignorer que cela risquerait de l’exposer au monde entier. Or, c’est précisément ce qu’on a vu. Des manifestations d’un bout à l’autre de la planète, des manifestations nombreuses et répétées, en 2021, contre ses représentants. Elle a passé outre, sachant ses forces. Peut-être a-t-elle estimé qu’elle n’avait pas le choix d’en venir à une économie dirigée, à la chinoise, pour éviter les écueils d’un emballement de l’économie occidentale. Le moment était arrivé, selon elle.
Mais il y a d’abord la politique. L’accession de Donald Trump au pouvoir en 2016 dans le pays où siège le haut commandement de l’Etat profond, où vivent ceux qui tirent les ficelles, retentit comme un coup de tonnerre dans le ciel serein du mondialisme. Trump fut vite considéré comme le grain de sable capable d’enrayer leur belle machine à broyer. Ce n’est pas sans raison qu’ils ont lancé la meute médiatique à ses trousses pour le déconsidérer. Dans une certaine mesure, la propagande a marché, au moins en Europe. Ils le craignaient, Trump allait ébranler leur édifice non seulement en parlant, d’où l’importance de lui couper le sifflet en le bannissant de Twitter, mais aussi en agissant, probablement avec l’opération Q. Là encore, ce n’est pas sans raison qu’ils vomissent leur bile sur les alerteurs Qanons. Il leur fallait donc reprendre la main dès 2020. Trump avait interrompu leur plan de seize ans, à savoir huit ans d’Obama suivis de huit ans d’Hillary Clinton, dont l’objectif était clairement de détruire les Etats-Unis tels que nous les connaissons. Les préparatifs pour renverser Trump aboutirent au traquenard du covid. Dans la panique générale, ils pensèrent être parvenus à le discréditer. Ils se trompaient lourdement, au point qu’il leur fallut en urgence organiser une fraude gigantesque, à coup de centaines de millions de dollars. Seulement Trump et une partie de l’armée chargée de collecter les preuves numériques de la fraude les attendaient au tournant...
Il y a aussi leur arrogance qu’il ne faut pas négliger. Voir leur domination se concrétiser aux yeux des simples humains devait les démanger. Regarder comme Attali prend un malin plaisir à se répandre dans les médias ! La mégalomanie pourrait cependant les conduire à leur perte. Ils se sont vus plus beaux qu’ils n’étaient, sans doute. Leur technologie, les moyens cachés, dont disposent leurs services de renseignements, leur ont procuré la confiance nécessaire pour se jeter à l’eau. Mais, le besoin chez le criminel d’ôter son masque devant sa victime au moment de commettre son forfait pour que sa victime découvre qui la domine, est un grand classique.
Il ne faut pas négliger non plus l’importance de leur calendrier. En 2016-2017, les mondialistes l’évoquaient déjà ouvertement. Il était prévu qu’il s’achève en 2030. Le tout en douceur, pour faire en sorte que personne ou presque ne se rende compte que le monde basculait dans le totalitarisme. Mais alors une question subsidiaire se pose. Pourquoi précipiter les choses ?