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Fleuves de sang

Le 16/08/2024

Dans Actualités

Les peuples ont beau sembler démissionner, il n'en demeure pas moins que les gangs les plus dangereux redoublent d'actions contre eux. Numéro un le gang de Davos secondé en cela par leur allié objectif, les hordes islamiques. Et l'Angleterre fait office de laboratoire en ce mois d'août 2024. La classe populaire se bat là-bas sur deux fronts, coincée qu'elle est entre un Big brother de premier ministre, Keir Starmer, avec derrière lui le système mondialiste qui perdure malgré le brexit, et les invasions barbares des temps modernes.

La planification de cette guerre a été décrite par Stanislas Berton :

"Importer massivement des populations étrangères, mettre en place une politique d'impunité y compris pour des crimes abjects (grooming gangs pakistanais), pousser la population autochtone à bout, utiliser un fait divers réel ou monté de toutes pièces pour mettre le feu aux poudres [...] laisser les différentes factions s'affronter, profiter du chaos pour renforcer le pouvoir de l'état..."

Voyons maintenant comment ce mode opératoire s'applique en Grande-Bretagne. L'immigration légale y est devenue massive. D'emblée, ce fut une immigration de peuplement, utilisée comme une arme de destruction massive. En 2023, elle atteignait le chiffre phénoménal de 1,4 million d'entrées légales. Sur les vingt dernières années, la moyenne a avoisiné les 600 000. L'encouragement à ce déferlement par des conditions matérielles surréalistes y a largement contribué. Pour l'exemple, on a transformé à Leicester un hôtel de luxe, l'Adagio, en résidence pour migrants, au grand dam des sans-abri de la ville. 

Est arrivée ensuite la politique d'impunité, mise en place sciemment. L'effroyable et inouïe affaire des gangs pakistanais, les grooming gangs, en est le parfait exemple. Ces gangs se sont adonnés à la prostitution juvénile, il y a plus de dix ans, avec la passivité et pour tout dire la connivence des forces de l'ordre britanniques. Celles-ci se justifieront en disant ne pas avoir voulu être taxées de racistes. Motif hallucinant de la part de ceux chargés précisément de faire respecter la loi et protéger la population et ses enfants. Quand il s'agit de taper sur les autochtones, elles ont moins de scrupules et ne craignent pas la critique cette fois. Le scandale des gangs pakistanais a éclaté à Rotherham en 2014. Un gang de pédophiles y sévit, faisant plus de 1400 petites victimes. Puis ce fut au tour de Telford et de nombreuses autres villes, comme par hasard toutes gérées par le Labour. Dans chacune d'entre elles, ce sont des centaines d'enfants qui furent maltraités, violés et vendus. Et à chaque fois la police a cyniquement négligé d'enquêter. 

Le premier à avoir empêché qu'on inflige des peines aux violeurs n'est autre que l'actuel premier ministre, celui qui mit un genou à terre en signe de déférence devant les BLM. Keir Starmer occupait alors le poste de directeur du CPS (Crown Prosecution Service). A l'époque, il a donc ordonné à la police de ne pas poursuivre les musulmans accusés de viol. Plus généralement, la gauche a eu la même attitude coupable en s'opposant aux enquêtes. Politiciens, juges et policiers, c'est tout le système qui a ourdi ce lâche complot contre leur propre peuple. C'est qu'ils ont acté son extinction tout bonnement. Jusqu'à la commissaire britannique adjointe à l'enfance en personne, Sue Berelowitz, qui a fermé les yeux sur les abus sexuels commis par ces gangs. La trahison jusqu'à l'écœurement ! Ces dysfonctionnements organisés au sommet de l'Etat britannique ont eu pour conséquence des émeutes sporadiques. La population de souche, systématiquement visée, a été poussée à bout.

Et puis l'évènement de trop est venu mettre le feu aux poudres : l'assassinat de trois fillettes à Southport par un immigré. Quoiqu'en disent les médias de propagande, nous ne connaissons pas avec certitude l'identité de l'assassin. Trop de flou entoure l'affaire encore. Avec les coups de Jarnac dont sont coutumiers les globalistes, on ne peut exclure qu'ils aient falsifié l'identité du meurtrier. Rien de plus facile avec des médias serviles du type Pravda. Passant outre ce point central de l'affaire, le peuple anglais est descendu dans la rue manifester son ras-le-bol et sa résolution de ne plus s'en laisser compter. A juste titre ! Ce qu'il a récolté en premier lieu, c'est la réponse de groupes islamiques qui ont eu l'outrecuidance de se comporter en pays conquis. Sûrs de leur nombre et de la démographie qui leur est favorable, ils proclament avec arrogance, devant les micros, que la Charia s'imposera bientôt ici comme ailleurs. 

"Voyons voir, réagit un internaute, si j'ai bien compris, au Royaume-Uni, des bandes de migrants musulmans erraient armés de tuyaux, de machettes et de couteaux. Ils s'en prenaient aux citoyens britanniques qui faisaient des choses britanniques. Et n'essayez pas de me manipuler et de me dire que ce n'est pas arrivé, parce que j'ai vu [...] les nombreuses vidéos de ce qui s'est passé. Des groupes de migrants musulmans ont attaqué des citoyens britanniques qui faisaient des choses normales [...] les groupes musulmans estimaient que ces actes n'étaient pas conformes à la Charia. Ils estimaient que les citoyens britanniques ne devaient pas avoir le droit de boire de la bière, de manger du porc, et ils les attaquaient pour cela [...] et la police n'a rien fait. Les citoyens britanniques, eux, ont commencé à publier des messages sur Facebook et X, et alors la police a réagi. Alors même qu'ils n'avaient arrêté aucun de ces migrants qui avaient coupé, poignardé ou battu des gens, ils ont réussi à arrêter des personnes qui avaient publié des messages à ce sujet, et en l'espace de trois jours, ils ont réussi à les inculper, les juger et les condamner à plus de 20 mois de prison pour un message publié sur Facebook à propos des migrants qui attaquaient les gens et du fait que la police ne faisait rien [...] Je suis à court de mots !"

Non seulement les bandes musulmanes ne s'excusent pas des crimes commis par leurs coreligionnaires, mais encore elles nient aux autochtones le bien fondé d'exercer leurs droits légitimes sur leur terre d'origine. De plus, et c'est le comble, ces intrus reçoivent l'aide des policiers qui traquent les légitimistes dans les rues, sur les réseaux et jusque chez eux. La répression a atteint son paroxysme. La déclaration de Serena Kennedy, la cheffe de police de Merseyside, ne fait que l'officialiser. Avec l'aplomb du maton sadique, la mégère a prévenu que la police surveillait les réseaux sociaux et qu'elle irait chercher chez eux, s'il le fallait, les auteurs de posts jugés offensants. Aujourd'hui, en véritable traitresse, la maréchaussée anglaise n'a plus peur de paraître raciste. Être raciste envers les blancs c'est n'être probablement pas raciste à ses yeux. Elle s'affiche encadrée par des musulmans les plus vindicatifs, s'adressant même en arabe et dans les termes de la dhimmitude ! Dans sa dérive totalitaire, et par la voix du commissaire de la police métropolitaine, Mark Rowley, elle annonce vouloir emprisonner, au-delà de ses ressortissants, les américains qui posteraient des messages en ligne sur les émeutes. Il n'y a plus de frein à sa scélératesse. Ses sommations liberticides confinent à la persécution, voire à un terrorisme institutionnalisé.

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Le gratin de la société anglaise se prosterne si bien devant l'Islam que même la royale Kate Middleton va faire allégeance au leader de la communauté musulmane, voilée et une main tendue que le goujat de barbu lui refusera. Si les mondialistes pensent qu'ils se joueront aisément des musulmans, ils se fourrent le doigt dans l'œil. Ils les connaissent bien mal. Preuve que la Justice suit une voie semblable : elle a relâché un immigré qui avait violé une jeune fille de 13 ans. Pour quel motif ? Eh bien parce que l'affectueux garçon "ne savait pas que le viol était illégal". Cela signifie-t-il qu'au regard des juges anglais le viol passe pour légal en terre d'Islam ? Qui plus est, je croyais que nul n'était censé ignorer la loi.

La guerre civile est aux portes de la Grande-Bretagne. Ses citoyens constatent que le système mondialiste aux commandes est si engagé contre eux qu'ils refusent désormais d'être interviewés par crainte d'être arrêtés. L'an dernier, 3300 l'ont été pour délit d'opinion sur les réseaux. Pensez-vous encore que ce pays, jadis montré en exemple pour sa démocratie, l'ait conservée ? "Pour des raisons qu'ils ne comprennent pas, en application de décisions prises à leur insu, pour lesquelles ils ne furent jamais consultés, les habitants de Grande-Bretagne se retrouvent étrangers dans leur propre pays", disait le visionnaire Enoch Powell dès 1968 dans son Discours des fleuves de sang. "La Grande-Bretagne, dit moins de soixante ans après Edouard Husson, expérimente un coup d'Etat fasciste. " La réalité lui donne raison. Avec sa verve bien à lui, Joe Rogan s'apitoie : "Le fait qu'ils se sentent à l'aise avec l'idée de trouver des gens qui ont dit quelque chose avec laquelle ils ne sont pas d'accord et de les mettre dans une putain de cage en Angleterre en 2024 est vraiment dingue". Même retweeter quelque chose de soi-disant haineux est devenu un délit. Bref, en dehors de louanger le nabot de timonier Keir Starmer, tout est devenu délictueux. 

Des travaillistes aux tories, c'est tout le spectre politique, à l'exception de Farage, qui s'est aligné sur la politique mondialiste et a épousé ses objectifs mortifères. Et tous de se ranger dans le camp des immigrés islamiques. On parle même que des armes auraient été fournies aux illégaux et que certains seraient des mercenaires. Les médias de propagande sont pleinement complices dans cette trahison. A Croydon, on a fait croire à une émeute de contre-manifestants britanniques. En fait de voyous d'extrême-droite, ce sont au contraire des membres de la communauté immigrée qui ont saccagé les lieux.

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La gauche anglaise ne fait pas exception dans son compagnonnage avec l'Islam. A croire que la Charia a remplacé dans son esprit le petit livre rouge ! Personne à gauche ne peut oser prétendre qu'il ne fait pas le jeu du totalitarisme islamique. En employant jusqu'à ses mots et ses armes. Il n'y a qu'à tendre l'oreille du côté du travailliste Ricky Jones. Haranguant une foule de fascistes rouges prêts à arborer le blason vert de l'Islam, ce janissaire assoiffé de sang, pourtant élu municipal, a éructé à propos des manifestants anti-immigration : " Nous devons leur trancher la gorge ! ", ceci sous l'approbation enamourée et le sourire de la représentante d'Amnesty International. Que ces humanistes affectionnent l'odeur du sang ! Quand enfin ferons-nous le procès de la gauche et de ses fréquentations ? Quand sa déchéance la fera-t-elle chuter ? 

Le cas du patient anglais à l'agonie est donc lourd d'enseignements. Voilà, semble nous dire l'Histoire, ce qu'il en coûte aux peuples qui démissionnent, qui capitulent. Au bord de l'abîme, ils contemplent, hébétés, les flots de sang couler et puis ils disparaissent. Ils quittent la scène pour toujours. Alors, que nos compatriotes regardent vers le Royaume-Uni. Ils verront ce qui les attend incessamment, s'ils ont perdu tout amour propre et s'ils renoncent à cet héritage nommé France.■

 

Photo d'illustration : Enoch Powell

Stanislas Berton Islamisme Enoch Powell Royaume-Uni