Comment ce cher Yvan a-t-il pu se laisser gagner par la rhétorique démocrate ? A-t-il eu vent d’autres voies de fait de la part des patriotes américains pour leur jeter la pierre sans avoir une pleine connaissance de ce qui s’est passé au Capitole, le 6 janvier 2021 ? Bien sûr que non. Sinon il aurait dénoncé ce faux drapeau du 6 janvier comme un nouvel incendie du Reichstag, un coup monté par le Deep State, ses politiques (DNC), ses médias (CNN), son FBI et ses Antifas (Sullivan). Il s’est fié plutôt aux ragots d’éditorialistes, le petit doigt sur la couture du pantalon. En revanche, a-t-il dénoncé avec une semblable réprobation les attaques des antifas et des BLM, leurs dégradations publiques, les incendies qu’ils ont allumés et les morts qu’ils ont semés sur leur passage ? Les a-t-il dénoncés, alors et maintenant, autant de fois qu’il l’aurait fallu. Autrement, il fait le jeu, à son insu, de Soros. Car antifas et BLM sont ni plus ni moins que les sections d’assaut, version XXIème siècle, de ce nazi de Soros, reconverti pour la façade dans le gauchisme et la subversion. Pour autant, les méthodes n’ont pas varié. De cela, Yvan Rioufol ne s’est pas fait suffisamment le témoin outragé, ce me semble.
On observe donc que le travail journalistique mainstream, en dehors de la propagande quotidienne, n’est même plus fait par les derniers journalistes intègres. Je parle là de la France. La situation est sensiblement différente aux Etats-Unis où des figures populaires comme Tucker Carlson et Jesse Waters tiennent le haut du pavé, qui n’hésitent pas à lâcher des vérités aux heures de grande écoute. Ici, en dehors d’un Charles Gave, d’une Clémence Houdiakova ou d’un Bercoff, la paresse intellectuelle et le conformisme les ont gagnés pour qu’ils n’essayent même pas de chercher les raisons du basculement qui s’opère dans les sociétés maintenues sous le joug du mondialisme. Pourquoi des mesures folles contre une pandémie inexistante, pourquoi un Etat de droit et une constitution ostensiblement bafoués, pourquoi nos Etats poussent-ils clairement à la guerre nucléaire contre la Russie, pourquoi ont-ils saboté les gazoducs russes Northstream I et II (on le sait désormais, ce sont les anglais en cheville avec les américains qui en sont à l’origine), pourquoi les Etats européens se sabordent-ils volontairement et à qui profite le crime ? Toutes ces questions appellent d’abord des recherches sérieuses de la part de tout informateur. Or, que font-ils les uns et les autres sinon faire du copier coller de la propagande de l’AFP, de Reuters ou de l’AP. Ce qui relève plus de la trahison que de l’incompétence. Ce travail a été pris en charge au final par des citoyens qui ont les premiers cherché à comprendre le déluge d’événements insensés qui nous tombent dessus depuis trois ans. Bien sûr, leur travail n’est pas parfait mais enfin ces informations dûment vérifiées constituent une base bien plus révélatrice du réel que les invraisemblances du mainstream.
Voilà une longue introduction pour expliquer pourquoi il faut s’en remettre désormais à d’autres grands témoins pour comprendre comment et pourquoi les mondialistes ont eu recours à la fraude électorale au Brésil. Les nouvelles, qui viennent de ce formidable pays et qui ne sont pas passées par le prisme déformateur des médias de grand chemin, font état d’un début de soulèvement devant une fraude si manifeste qu’elle a outré la grande majorité du pays. Les brésiliens ont conservé une morale que nous avons perdue hélas. Comme chez eux, la fraude a remis au pouvoir en France un personnage honni, mais contrairement à eux personne n’est descendu dans les rues au soir du second tour pour demander l’annulation de cette fausse élection. Au contraire, médias et politiques de tous bords ont entériné en chœur le résultat. Et notre pays, jadis celui des droits de l’homme, s’est tu !