Créer un site internet

Dissimulations

Le 12/04/2023

Dans Actualités

Si le mensonge s’est révélé être l’apanage des mondialistes jusqu’à la caricature, la dissimulation, moyen plus discret et presque aussi efficace, a également fait partie de leur panoplie. Si le mensonge consiste à fracasser la vérité au moyen d’une pure invention, la dissimulation quant à elle présente l’avantage du silence, de la retenue. On ne pourra pas lui reprocher d’avoir eu l’intention de tromper, tout juste de ne pas avoir fait passer l’information. Le bénéfice du doute lui profitera.

Remontons à l’avènement de l’Etat profond tel qu’on le connait à présent. Plus précisément à l’assassinat de JFK. Ce même Kennedy qui nous mettait en garde contre la dissimulation excessive et injustifiée de faits pertinents. Là encore, alors que tout devrait être maintenant déclassifié concernant les mystères non élucidés de son meurtre, l’administration Biden a refusé de s’exécuter en diffusant les dernières pièces du dossier. Or tous les protagonistes sont morts. Alors que craint-elle sinon que l’on voie comment les membres de l’establishment agissent et comment ils dissimulent leurs méfaits depuis des années. Que l’on voie comment, par exemple, a été perpétré l’assassinat de JFK par l’Etat profond américain et comment ce dernier a dissimulé son crime. En fait, avec la Commission Warren, nous avons d’ors-et-déjà une sérieuse piste pour l’incriminer. Tous ses membres, les sept qui la composèrent, furent des représentants du Deep State de l’époque, des amis de Lyndon Baines Johnson, et surtout le triumvirat formé par John McCloy, Gerald Ford et Allen Dulles. La commission fut nommée par LBJ et chargée à mots couverts de promouvoir la version officielle du tireur solitaire, Lee Harvey Oswald, en dépit de tous les éléments contradictoires qui allaient l’infirmer. Une commission que d’aucuns nommeront la Commission Dulles, tant l’ancien directeur de la CIA avait pouvoir sur elle et des motifs de couvrir les auteurs du crime sans parler de son ressentiment pour JFK qui venait de le limoger. Le public américain eut le grand tort de se résigner devant cette version cousue de fil blanc. Il savait au fond que ce n’était qu’une histoire à dormir debout. Parmi les sept membres de la Commission, on compte même l’inventeur de la fumeuse théorie de la balle magique, raisonnement alambiqué destiné à éliminer tout autre version que celle du tireur unique, posté au sixième niveau du Dépôt de livres scolaires du Texas et visant de l’arrière de la Lincoln présidentielle après son passage. Voilà bien une théorie rocambolesque qui n’a pas manqué à juste titre de détracteurs et qui pourtant fut imposée au public. Quant à Warren, le Chef de la Cour Suprême, il se fit tirer l’oreille par LBJ pour accepter de présider la Commission. Il savait probablement quelle farce ce serait. Et ce le fut. En l’acceptant, il serait la caution morale de ce ramassis de notables aux conflits d’intérêts longs comme le bras. C’est tout ce qu’on lui demandait. Et c’est tout ce qu’il fit. Le Deep State avait très probablement commandité le meurtre du président. Seule la CIA, son bras armé, avait les capacités de l’organiser, sous la férule de son âme damnée et créateur, Allen Dulles. Ce n’était pas la première fois du reste qu’elle aurait la peau d’un dirigeant gênant pour elle. L’Agence avait déjà tant pratiqué l’assassinat sous sa direction. Le Rapport Warren, aussi volumineux et creux fut-il, n’eut qu’une fonction, celle de faire croire à une véritable enquête, pour ne présenter qu’une version bien arrangeante à offrir à ses médias, en l’occurrence déjà le Washington Post et le New York Times. De facto, avec la Commission Warren, on avait donné au meurtrier la responsabilité d’enquêter sur son propre crime. Son objectif fut tout simplement d’occulter les faits gênants et les vraies culpabilités.

Source : site assassinat-jfk.com

Revenons au présent pour une dissimulation de grande ampleur elle aussi. La juriste Valérie Bugault faisait récemment le point sur l’existence légale de l’Etat français. « En réalité, tous les Français doivent être conscients, a-t-elle asséné, que l’Etat dans lequel nous pensons vivre n’existe plus juridiquement. Depuis le 16 mars 2020, les institutions françaises à la fois du point de vue du droit interne et du point de vue du droit international n’existent plus. Elles sont en suspension. Elles ne sont plus valides, au sens où elles ne fonctionnent plus. Donc l’Etat français n’existe plus. Il est dans un état de vide juridique. Rien ne le remplace officiellement. On n’a même pas acté sa disparition officielle. Mais officieusement, juridiquement il n’existe plus […] Par contre il y a une équipe au pouvoir qui prend des décisions et qui les impose par la coercition. En particulier quand une loi est votée, tout l’appareil d’Etat est mis au service de l’application de cette loi. On est dans le cas d’un abus de droit international public où un Etat n’existe plus mais les fonctions régaliennes ont été détournées au profit d’une instance qui dirige, dont on n’a pas identifié les personnes qui étaient derrière […] les instances qui ont pris le contrôle de la France ne sont pas des instances nationales. Nous sommes au service d’entités qui n’ont pas été nommément désignées […] Elles viennent de l’OMS, elles viennent de Davos... » Son message a le mérite de la clarté, mais il nous place devant un gouffre de perplexité. Car nulle part la perspective de n’avoir plus d’Etat ne transparait. Soit que les omissions des uns (les médias) entretiennent notre ignorance, soit que les cachotteries des autres (les donneurs d’ordre) empêchent que cela s’ébruite. Cela ferait mauvais genre, n’est-ce pas, d’apprendre que l’Etat français n’est plus qu’une chimère. Ça éclairerait sous un jour nouveau bien des événements. Beaucoup parmi nous, sans le formuler aussi franchement et sans les compétences juridiques appropriées, se sont quand même aperçus que nous étions sortis de l’Etat de droit. Si ce n’est pas effectivement depuis le 16 mars 2020, du moins depuis le 5 août 2021, date à laquelle le Conseil Constitutionnel s’est disqualifié en foulant sciemment nos droits les plus imprescriptibles.

Un autre exemple de dissimulation avérée nous est fourni par les exactions du mouvement trans, un mouvement subversif, décadent et violent. Si les médias corrompus ont fait des gorges chaudes de la prétendue insurrection du 6 janvier, dont il a été démontré qu’elle avait été montée de toutes pièces par le clan démocrate, en revanche pas question pour ces mêmes médias d’évoquer les violences des transgenres. Ils ont en effet passé sous silence leurs violences comme on cache la poussière sous le tapis. Très négligemment. Ainsi ont-ils dissimulé ce qui s’est passé au Capitole du Tennessee. Une foule se réclamant de ce mouvement radical a effectivement envahi avec force violence l’édifice, tout cela dans un silence de cathédrale des mainstream. Quant au tueur transgenre de Nashville qui a exécuté six personnes parce qu’elles étaient chrétiennes, la chaine CBS s’est fait fort de dissimuler que l’auteur de la fusillade était un transgenre. La chaîne a interdit à ses journalistes de prononcer le mot trans à cette occasion. Le tueur a tué certes, mais ça s’arrête là. Avec CBS, le transgenrisme n’y est pour rien. S’ils ne parlent pas d’une chose, elle n’existe pas. C’est aussi ce que soutient l’inénarrable Julien Pain. Si les mainstream, seuls médias crédibles à l’en croire, ne parlent pas d’une nouvelle, il s’agit d’un fake selon lui. Avec un tel raisonnement, JFK se retournerait dans sa tombe. On voit que ces larbins de fact-checkeurs promeuvent tout simplement la dissimulation comme art de gouverner nos esprits. Qui croit-il duper avec sa dialectique à deux sous ? Pour le jacobin Julien Pain, les mainstream seraient les seules voix autorisées, des voix qui décideraient de ce que doivent entendre nos oreilles. Vraiment merci pour la leçon de démocratie de la part d’un fossoyeur de la liberté d’expression !

Thomas renz

L'avocat américain Thomas Renz

De tous les cas de figure où la dissimulation joue un rôle, celui des effets secondaires des vaccins est le plus troublant. Car la population est concernée au premier chef et elle le vit directement dans sa chair. Elle en supporte les conséquences parfois mortelles et ne peut mettre cela sur le compte d’un simple récit qui s’égare. Pourtant, par son apathie (le mot est faible), cette population arrive à faire comme si ça n’existait pas, comme si c’était la faute à la fatalité. Et puis ses télés et ses journaux n’en parlent pas ou si peu. C’est donc que ces effets indésirables sont dus aux aléas de la vie et non à ses dirigeants. Néanmoins le célèbre avocat américain Thomas Renz insiste. Il montre comment les organismes officiels s’arrangent pour invisibiliser les effets secondaires. Je vous laisse découvrir l’entourloupe. La FDA n’a rien trouvé de mieux que de classer les effets secondaires des vaccins sous l’appellation d’événements indésirables d’intérêt particulier. Renz explique le procédé : « Nous savions, d’après la fuite de la présentation de la FDA […] qu’ils s’attendaient à des myocardites, à des caillots sanguins. Ils s’attendaient à toutes ces choses. Et elles n’ont jamais été divulguées parce qu’ils les ont légalement appelées effets indésirables d’intérêt particulier, de sorte qu’ils n’ont pas eu à les mettre sur la feuille de divulgation. » Autrement dit, une astuce de langage et hop, le tour est joué ! Plus besoin de nier des effets secondaires puisqu’il n’y en a pas légalement. La dissimulation de leur côté et les blessures du nôtre. Jusqu’à quand tolèrerons-nous une telle duplicité qui offense notre intelligence et pas seulement, notre sens du juste également ? Jusqu’à quand nous aplatirons-nous devant les manipulateurs ?

Entre ceux qui ne veulent rien entendre et ceux qui font tout pour étouffer la vérité, nous voilà bien entourés. Mais nous devons nous rappeler que la situation vient de loin. Elle ne date pas d’hier. Ainsi l’Amérique qui s’est contentée, il y a soixante ans, du rapport Warren bien qu’elle ait su que c’était une fable qu’on lui contait, n’a fait qu’entériner, toutes ces années, sa défaite face à l’establishment en n’exigeant pas de lui la vérité. Nous le payons cher aujourd’hui et plus que jamais.¾

Transgenre Etat profond Effets secondaires JFK Dissimulations