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Ça chauffe pour les climatolâtres

Le 15/05/2022

Dans Actualités

Revenons sur l’arnaque du réchauffement climatique. En 2007 un documentaire canadien est sorti dans la plus grande confidentialité. Oh, il n’a pas eu la publicité du film d’Al Gore et n’a pas été relayé non plus dans les médias à l’instar des coups de gueule de Nicolas Hulot. Pourtant ce documentaire intitulé La catastrophe climatique-annulée est fort instructif.

Seulement il met à mal le narratif tant ressassé de la faute de l’homme qui perturberait le climat de sa planète. Bien qu’un peu daté, ce reportage n’a pas pris une ride. Les arguments qui suivent en sont tirés. En proscrivant ce genre de documentaire, on devine le travail de sape qui a été effectué pour faire croire à l’unanimité sur la question. On aurait pu tout aussi bien aller chercher en Europe des voix opposées aux climatolâtres.

Climat annule

   Le discours de l’Etat profond sur le climat 

Qu’entend-on dire ? Que le réchauffement climatique est le plus grave problème qu’on ait à résoudre, que les pays riches utilisent plus que leur part d’atmosphère, que les gouvernements n’agissent pas assez, que les émissions de CO2 explosent avec les activités humaines, que la température a augmenté au cours du siècle écoulé à cause de la production par l’homme de dioxyde de carbone, que le CO2 en tant que gaz à effet de serre était le responsable et l’homme le coupable, que les phénomènes météorologiques extrêmes et leur fréquence plus élevée étaient dus au réchauffement climatique (ouragans, sécheresses, inondations, montée du niveau des mers)…

Secheresse

   Pression et revirement

Un tel discours, le professeur Ian Clark du Département des Sciences de la Terre de l’Université d’Ottawa l’a tenu face à ses étudiants, de son propre aveu. On allait tout droit vers la catastrophe climatique, professa-t-il lui aussi. Seulement, dès qu’il commença à vérifier les données scientifiques sur lesquelles reposait le dogme climatique, Clark s’est mis à douter sérieusement de sa validité.

   La corruption des données

Le climat est un vaste domaine de recherche qu’on est loin de maîtriser. Les connaissances, de ce fait, ne cessent d’évoluer. La vérité d’un jour n’est pas celle de la veille. Bien des idées sont à reconsidérer en quelques années. Aussi est-il impératif d’obtenir au moins des mesures fiables et non corrompues. Un autre professeur, de l’Université Carleton, Tim Patterson, a constaté que les données de température, notamment dans les zones urbaines, s’avéraient douteuses, les élévations de température étant explicables par l’aménagement des sols. De plus, si on s’en remettait aux mesures par satellite, celles-ci n’indiquaient au contraire qu’une augmentation infime en vingt ans.

Thermometre chaud soleil

Dans un rapport du GIEC daté de 1998, un graphique nommé MBH98, des initiales des noms de ses auteurs, allait constituer une aubaine. Il passerait à la postérité sous le nom de courbe en crosse de hockey. Le graphique montrait nettement que nous vivions une période de surchauffe et l’allure de la courbe de température sur le dernier millénaire ressemblait à une crosse de hockey, forme parlante pour le monde anglo-saxon. L’exemple des mesures de l’opportun rapport MBH98, sur lequel les Nations-Unies et les écologistes se sont basés pour invoquer un réchauffement inhabituel est criant de vérité. Ces organismes avaient intérêt à s’en emparer, en le présentant comme une preuve irréfutable. Personne ne prit la peine alors de vérifier les mesures. Surtout pas. Quand la science est de son côté, on ne lui demande pas de comptes. Or, en 2003, les analystes Stephen McIntyre et Ross McKitrick voulurent en avoir le cœur net et passèrent au crible les mesures. Quelle ne fut pas leur stupéfaction lorsqu’ils découvrirent une erreur de programmation informatique qui, une fois corrigée, vit la courbe en crosse de hockey disparaitre. Pourtant rien n’y a fait. L’erreur manifeste aurait dû disqualifier l’étude MBH98 et reléguer la thèse des écologistes aux oubliettes.

Crosse hockey

Désormais, pour continuer d’accréditer la thèse laissant entendre qu’avant le XXème siècle la température était stable et qu’elle a augmenté brutalement avec l’industrialisation, des courbes de cet acabit persistent à figurer dans de nouvelles études. Il n’y a rien de plus faux, en atteste le petit âge glaciaire. Cela ne peut qu’attirer la méfiance et laisse penser que leurs auteurs ont cherché à obtenir ce qu’ils ont soi-disant trouvé. Ils ont pour ainsi dire adapté leurs mesures pour aller dans le sens voulu, a déclaré en substance le Dr Vincent Gray, consultant néozélandais en climatologie.

Il y a une idée récurrente qui est celle de la montée du niveau des mers qui submergeraient par exemple les Maldives. Si on en croit les mesures les plus précises il n’y a rien d’inhabituel qui s’y passe, dit le Dr Tad Murty, du Département des Sciences de la Terre de l’Université Carleton. Aucune preuve ne vient étayer une telle crainte. Rien qui ne soit attribuable à la variabilité naturelle du climat. Et Patterson d’enfoncer le clou : l’augmentation de l’élévation du niveau de la mer a été d’environ 20 cm par siècle au cours des deux derniers millénaires. Il n’y a pas la moindre preuve scientifique que ce niveau de référence augmente.

   La lecture des courbes

D’une courbe mal tracée à une courbe ignorée, il n’y a qu’un pas. D’après des carottages, Ian Clark  montra qu’en analysant les courbes de CO2 et de température en fonction du temps, la variation de CO2 se comportait comme une conséquence de la température et non comme une cause. Le GIEC n’était pas à la fête, aussi détourna-t-il le regard.

Co2

   L’interprétation des mesures

Que les plus anciens d’entre nous se le rappellent ! A une époque pas si lointaine, dans les années 70, la menace n’était pas le réchauffement mais bien le refroidissement.

Le fait est que notre mémoire est courte. Un des membres du GIEC part un jour en croisière en Arctique et en revient consterné. Il y a noté la présence d’une mer haute ! Il se dépêche de publier un article dans le New York Times, témoignant de son expérience. A partir de là, on ne pouvait plus douter du réchauffement climatique. L’agité du bocal ne savait pas que le passage du Nord-ouest, raconte Vincent Gray, avait été négocié pour la première fois par un certain Roald Amundsen en 1906 !

Le climat change. Il a toujours changé. C’est une constante, si j’ose dire. Ses variations sont la norme, et notre siècle ne déroge pas à la règle.

Le Dr Murty note que les gens ont la fâcheuse tendance d’attribuer au réchauffement climatique ce qui est dû à El Niño, comme en 1998, maintenant que l’opinion a été habituée à l’idée d’un réchauffement.

Par ailleurs rédacteur en chef de la revue Natural Hazards, le Dr Murty a compilé des centaines d’articles sur les phénomènes météorologiques extrêmes sans qu’un seul puisse en  imputer l’origine au réchauffement climatique. Aucune preuve de l’accroissement de leur intensité ou de leur fréquence n’a été établie.

   La stratégie de la peur

L’invocation de ces phénomènes extrêmes (intempéries, sécheresses…) fait partie intégrante d’une tactique de la peur. Mais sur le long terme, tout indique que les sécheresses sont cycliques. Les sécheresses du passé, observe le climatologue Tim Ball, de l’Université de Winnipeg, étaient bien pires. De même, dans le passé, les tempêtes ont été plus spectaculaires, signale l’astrophysicienne, versée en climatologie planétaire, Sallie Baliunas.

L’idée que dans des conditions plus chaudes, selon le Dr Murty, il y aurait des cyclones plus forts était commune, mais en regardant les données il a constaté le contraire ! « Où que nous cherchions les raisons, nous ne comprenions pas encore tout à fait. Il y a plus de cyclones quand l’atmosphère est un peu plus froide ». Encore une idée fausse qu’il a fallu balayer.

  Les contre-exemples

Des mesures qui vont à l’encontre des idées reçues ou des thèses officielles, on en ramasse à la pelle. Certaines attestent que, dans l’Arctique, il est arrivé que les températures aient été supérieures à celles actuelles de plus de 6 degrés. Les ours polaires se sont manifestement adaptés.

Ours banquise

Autre exemple : il y a 5000 ans, la température sur Terre était bien supérieure non seulement à ce qu’elle est aujourd’hui mais aussi aux prévisions les plus pessimistes. L’égyptologie le confirme.

Enfin, des années 40 aux années 80 il y a même eu une ère de refroidissement alors que le CO2 augmentait de manière effrénée, partout dans le monde.

   Les causes

Beaucoup trop de facteurs (on les évalue à 5 millions) influent sur le climat pour que nous soyons sûrs de nos simulations. Il s’agit d’un puzzle complexe dont il manque des pièces. S’occuper de la pollution semble prioritaire plutôt que de s’inquiéter du CO2. Le CO2 est essentiel à la vie des plantes. Sans CO2, pas de vie sur Terre. Son augmentation dans les proportions prévues n’aurait pas d’effet néfaste sur la biosphère d’après bien des spécialistes. Le Dr Jan Veizer, professeur de géologie à l’Université d’Ottawa, a même montré que l’augmentation de CO2 n’a eu que peu d’effet sur la température à long terme par rapport aux causes naturelles. En fait, il y a 450 millions d’années, quand le taux de CO2 était dix fois supérieur, la période était la plus froide. Il semble que les causes naturelles aient été souvent écartées à tort. Et qu’en outre elles ne viennent pas de la Terre elle-même. Ces causes sont d’origine astronomique. A commencer par le Soleil. La corrélation entre les fluctuations régulières de la luminosité du Soleil et les températures terrestres a été corroborée. Sallie Baliunas avance que la Galaxie affecterait même le climat sur Terre.

Systeme solaire

Le CO2 n’est pas le principal gaz à effet de serre présent dans l’atmosphère. Son influence à ce titre vient loin derrière celle de la vapeur d’eau. L’impact de cette dernière molécule est bien supérieur à celui du CO2. Mais le GIEC rejette l’argument et tente de minimiser l’influence de la vapeur d’eau. En réalité, le CO2 a une influence moins significative que ne le prétend le GIEC.

   Les mêmes contrefacteurs à l’œuvre

Les objections les plus fondées n’ont donc jamais empêché le GIEC de continuer d’affirmer que les hommes étaient à l’origine d’un changement climatique désastreux. Tout comme aujourd’hui les instances médicales s’obstinent à vouloir vacciner en dépit des preuves catégoriques de l’inefficacité des vaccins et de leur dangerosité. Elles font la sourde oreille aux arguments en béton de leurs adversaires et s’entêtent dans leur fanatisme. Gouvernements et médias s’emparent de résumés d’articles en les détournant. Les rapports du GIEC sont en fait supervisés par les décideurs politiques pour aller dans le sens de l’alarmisme. A aucun moment les scientifiques du GIEC n’ont établi que les rejets de gaz à effet de serre réchauffaient la Terre. Tout comme à aucun moment les médecins du système n’ont apporté la preuve de ce qu’ils affirmaient de façon péremptoire. Les uns comme les autres ont tablé sur l’effet de peur, sans se préoccuper ni de la véracité de leurs propos ni des conséquences sur les vies humaines. Souvent les scientifiques du GIEC, acquis au mondialisme, ont été surpris à sélectionner les recherches qui pouvaient aller dans le sens politique recherché. Et sans vérification. Le fiasco de la crosse de Hockey en est un exemple probant, pour autant inconnu du public. Et c’est une pièce importante pour le GIEC dans son argumentaire. Ce cénacle de fanatiques feint d’ignorer les scientifiques qui s’élèvent contre ses rapports. Le GIEC n’est qu’une organisation politique. Il n’a rien de foncièrement scientifique ou il accepterait le débat. Tout comme le conseil sanitaire qui n’a rien de sanitaire mais qui a tout du politique. Malgré les déboires de l’étude dont il se réclame et qui a pêché par ses algorithmes, le  GIEC place toute sa foi dans les modèles informatiques. Tout comme, pendant le covid, les simulations informatiques autant fantaisistes qu'alarmistes qui ont joué leur rôle mystificateur. A-t-on des ordinateurs assez puissants pour traiter la montagne de données, pour calculer la somme des interactions et tenir compte des complexités inhérentes aux phénomènes climatiques ? Non, pas à ma connaissance. Al Gore, en 2008, racontait qu’à l’horizon de cinq ans la calotte polaire boréale aurait disparu. Une prévision tout aussi extravagante que celle de Macron à l’automne 2020, présageant 400 000 morts pour justifier son second confinement. Anticipation saugrenue à seule fin d’entretenir la peur au sein des foules.

   Les buts communs

En vérité, on le comprend maintenant, on a fait plier la science, afin qu’elle démontre, à son corps défendant, que le climat était perturbé par l’homme. C’était pour servir les visées mondialistes. On tenait à faire entrer dans les têtes que l’homme est de trop ! La stratégie préfigurait celle du covid. Cette dernière avait une ambition plus grande encore, réduire la population en passant à l’acte et non plus seulement en acclimatant les esprits. Le parallèle est saisissant : de la manipulation médiatique, une propagande de la peur, des chiffres et des graphiques fallacieux, des simulations informatiques baroques…

Ils veulent dépeupler la Terre. C’est leur objectif ultime. C’est dans ce but génocidaire qu’a eu lieu l’arnaque du réchauffement climatique. Il fallait que l’humanité croie qu’elle était elle-même le problème et accepte quelque part le principe de sa disparition. Puis, aguerris, avec le covid ils se sont lancés dans un crime contre toute l’Humanité ! ¾

CO2 Covid Réchauffement climatique

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