Le 15/05/2023
Ceux qui me font le plaisir de lire mes billets d’humeur se rappelleront peut-être que j’ai effectué à l’origine des études scientifiques. C’est d’ailleurs elles qui m’ont de suite alerté sur la supercherie du covid. Et aussi le fait que je n’étais en rien inféodé ni aux laboratoires ni aux officines d’état. A ce double titre, j’avais pu conserver un point de vue rationnel, dégagé de toute influence matérielle ou politique. En 2023, c’est le climat qui revient à l’ordre du jour. Mais les voix discordantes se multiplient venant du sérail même de la science. Et elles n’y vont pas par quatre chemins. Elles ont été assez échaudées pour ne plus prendre de gants cette fois. Elles ne s’en laissent plus compter. Chaque jour amène son lot de refuzniks de la théorie foireuse du changement climatique et de détracteurs du GIEC.