En effet, le 24 octobre, lors de l’émission de CNews, L’heure des pros, un de leurs représentants les plus forcenés, le chroniqueur Jérôme Béglé, s’est retrouvé confronté à l’injonction de Pascal Praud à reconnaître le fait. Le baratineur, semble-t-il pris de court, se mit à bredouiller, à vouloir changer de sujet, et puis à montrer sa désapprobation. « On avait dit qu’on n’en parlerait pas… », beugla-t-il, au bord du clash, non sans avoir fait, au préalable, le signe de bouche cousue à l’intention de l’outrecuidant animateur. Béglé ne supporte pas visiblement d'être contredit. Il ne semblait même pas se rendre compte à quel point il était malhonnête. Aussi de ceux-là n’attendez pas qu’ils s’amendent ! C’est cela, les grands maîtres du mensonge. Des vipères qui parlent toutes la même langue de bois.
Les covidistes acharnés ont cela en commun avec l’auteur de ces lignes : « Aussitôt que notre propre propagande concède à la partie adverse une faible lueur de bon droit, la base se trouve déjà posée pour douter de notre propre bon droit. » Tout est dit. Lâchez le moindre petit bout de terrain, même face l’évidence, et c’est déjà finir par tout céder. C’est leur credo, sauf que ces paroles sont issues de… Mein Kampf ! Quand on dit que les mondialistes et leurs valets ont quelque chose de nazi en eux… ce n’est pas seulement une métaphore. Leur acharnement et leur mauvaise foi trouvent ici une explication.
Toutefois, les covidistes ne sont pas tous sur cette ligne. Si les uns s’inscrivent dans la spirale infernale du déni, d’autres traversent le Rubicon et passent à l’ennemi. Ainsi le charismatique Delfraissy tente-t-il de se racheter une conduite en disant la vérité. Mais il la dit après coup, sans admettre les torts qu’il a eus, après avoir professé le contraire avec malveillance et après avoir incité ses semblables à se vacciner avec des poisons. Aujourd’hui il nous balance tout de go : « Les vaccins actuels […] protègent peu contre l’infection et la contagion […] Je crois qu’il vaut mieux le reconnaître simplement. On n’a pas le bon vaccin. » Ecoutez le ! Voilà qui est fort de café, autant que de continuer à nier. L’énergumène, qui nous a enfermés, qui a interdit de soigner et qui a encouragé à piquer chaque épaule, du nourrisson au vieillard, nous dit désormais le plus tranquillement du monde que le vaccin n’empêche ni d’attraper le C19 ni de le transmettre. Pour un peu, il se prendrait pour Didier Raoult. D’où vient cette volte-face ? La peur du retour de bâton peut-être…
Remettons donc les pendules à l’heure en rappelant trois évidences :
- On ignore tout de l’action des vaccins sur la transmission du covid
- On connait déjà beaucoup d’effets secondaires inhérents aux vaccins
- On a suffisamment analysé ces vaccins pour pouvoir affirmer qu’ils contiennent des substances toxiques qui n’ont rien à y faire, dont certaines à base de nanotechnologie