Cependant, et malgré les combinazione choquantes entre la gauche et les macronistes, aucune majorité ne semble se dégager. Je fais pourtant confiance aux nombreux traitres de gauche, de Mélenchon à Glucksmann en passant par Tondelier ou Roussel, pour se prêter à des tractations et troquer leur ralliement à Macron pour un maroquin. Malgré l’apparent éventail de leurs propositions politiques, tous sont d’authentiques comparses du mondialisme. Ne vous faites aucune illusion, ils vendront leur pays pour un plat de lentilles.
Non, ce qui m’a irrité au plus haut point, c’est l’attitude de beaucoup à vouloir ignorer la fraude pourtant manifeste. Ou à la minimiser. Encore une fois, quitte à laisser penser qu’il s’agit d’une marotte chez moi, je demande à consulter le comptage des votes dans n’importe quel scrutin. En tant que citoyen, d’ailleurs je ne demande pas, j’exige de voir le comptage des suffrages. Ce, à tous les niveaux de remontée des résultats. Et tant qu’aucun organisme composé d’observateurs intègres issus de la société civile ne se porte garant de l’intégrité d’un scrutin, je ne ferai aucune confiance dans les résultats proclamés par ceux-là mêmes qui tiennent les rênes et bafouent le vote des français depuis au moins 2005 ! Nous avons le devoir d’être intransigeants là-dessus et de ne pas nous contenter de croire a priori en leur probité.
Comment continuer à voter si les dés sont pipés et qu’en plus on détourne le regard devant la fraude. En persévérant dans le déni, nous mériterons ce qui nous arrive. Ce serait faire preuve de veulerie et en redemander ! Ne pas exiger de voir le comptage, c’est accepter de manière tacite de se laisser corrompre. Nous ne pourrions être que fautifs de nous laisser aller à cette corruption.
J’ai coutume de prendre l’exemple suivant. Imaginons que vous ayez l’habitude de jouer au poker avec les mêmes partenaires de jeu. Un jour, vous vous apercevez que les uns et les autres s’adonnent à la tricherie dans votre dos, ce qui semble expliquer pourquoi vous ne gagnez jamais. Question : allez-vous continuer de vous rendre à vos soirées de jeu comme si de rien n’était ? Ou allez-vous percer l’abcès, dire leurs quatre vérités à vos compagnons de jeu et quitter définitivement cette tablée de tricheurs… ?
L’avance du RN au premier tour lui permettait d’escompter au moins une majorité relative. C’est aussi ce que les sondages prévirent jusqu’à 19 heures, le dimanche 7 juillet. Et puis ce fut la grande bascule ! Comme en novembre 2020, comme par magie, un abracadabra de prestidigitateur renverse le score du tout au tout. Les statistiques ont beau nous affirmer qu’un tel renversement n’a rien de naturel et provient de la main de l’homme, personne ne demande à voir le code source des algorithmes qui gèrent le résultat final. « Complètement dingue, réagit Didier Maïsto, l’ex-directeur de Sud Radio, jusqu’à 18h les divers instituts de sondage étaient sur un RN en tête (entre 210 et 230 sièges). Et puis les projections se sont inversées vers 19h. » Quelle analogie avec les présidentielles de 2022 où Le Pen était en tête et en une fraction de seconde Macron passa devant elle ! Tout comme Biden passant devant Trump à la faveur de la nuit, ce 4 novembre 2020, à la façon des voleurs pour ne pas être vus. Etrange similitude ! Qu’a-t-il pu se passer pour que « tout le monde confirme cette estimation sortie des urnes à 17h30 des élections législatives 2024 avec un RN à 230 sièges, un NFP à 150 et des macronistes à 130 ? » s’interroge Eric Verhaeghe. A 19h12 ce profil d’assemblée était encore valide, et neuf minutes plus tard tout avait basculé. Le pire est que le RN ne réclamera même pas une enquête. N’est pas Trump qui veut. Désabusée et écœurée, Patricia, une internaute, écrira : « Quelqu’un connaîtrait-il une planète qui ne soit pas un asile d’aliénés ? On pourrait organiser un voyage ? Parce que là j’en peux plus ! » On a la sensation que plus la fraude est grossière, plus les gens se mettent la tête dans le sable.