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7 juillet 2024, le vol du vote populaire : Le casse du siècle

Le 11/07/2024

Dans Actualités

« Si voter servait à quelque chose, ça fait longtemps que ça serait interdit. » Coluche

La « surprise » du second tour de ces législatives « improvisées » ne l’aura été que pour les sempiternels commentateurs politiques, trop heureux de continuer à ronronner dans le marasme actuel. Qui a emporté ce second tour ? Voilà la question qui a agité le landerneau politique. Avec leur culot habituel, les tenants de la gauche sont venus dès dimanche 20 heures revendiquer leur victoire. Les macronistes, qui s’étaient crus en voie de disparition, ont eu le résultat modeste, d’autant plus qu’ils poursuivaient les tripatouillages pour se maintenir au pouvoir. Le RN, comme à l’accoutumée, a préféré avaler les couleuvres que les mondialistes lui avaient préparées en guise de dessert, sans protester le moins du monde contre ce jeu de dupes.

Tout ce que j’ai pu entendre sur ces élections, tous les commentaires, oh, ont été fort intelligents, et même savants. A vrai dire, je les ai trouvés affligeants de banalité. Aucun n’a mis en avant le fait élémentaire qu’un seul parti caracole en tête désormais, le RN ! LFI, le PS, Renaissance sont loin, très loin derrière. Dans sa conquête des esprits, à défaut des postes ministériels, le RN a même été jusqu’à attirer des figures d’antinazis acharnés comme les Klarsfeld ou l’ex président du CRIF, Richard Prasquier. C’est dire si ce parti est mesure de représenter le peuple de France face à ceux qui ont acté sa perte.

Vous me direz, ce qui compte ce sont les coalitions. Alors si c’est le cas, nous ne sommes plus dans un combat politique mais dans un marchandage entre escrocs. Car les coalitions ne durent que le temps d’un scrutin. Ainsi le NFP n’est qu’une arnaque à électeurs de plus, conçue en amont pour ravir leur vote. Il ne peut même pas prétendre former un groupe à l’Assemblée. Voyez ce qui est arrivé à la Nupes. Comme le phénix, la coalition de gauche renait de ses cendres, sous un nom ou sous un autre, mais toujours burlesque, dès que l’appel de la gamelle retentit pour finir dans les oubliettes, une fois les jeux faits et les dissensions réapparues. Et les mondialistes savent en jouer, ad nauseam, pour confisquer le pouvoir.

Non seulement en nombre de sièges mais même en nombre de voix, ce parti écrase les autres.

Cependant, et malgré les combinazione choquantes entre la gauche et les macronistes, aucune majorité ne semble se dégager. Je fais pourtant confiance aux nombreux traitres de gauche, de Mélenchon à Glucksmann en passant par Tondelier ou Roussel, pour se prêter à des tractations et troquer leur ralliement à Macron pour un maroquin. Malgré l’apparent éventail de leurs propositions politiques, tous sont d’authentiques comparses du mondialisme. Ne vous faites aucune illusion, ils vendront leur pays pour un plat de lentilles.

Non, ce qui m’a irrité au plus haut point, c’est l’attitude de beaucoup à vouloir ignorer la fraude pourtant manifeste. Ou à la minimiser. Encore une fois, quitte à laisser penser qu’il s’agit d’une marotte chez moi, je demande à consulter le comptage des votes dans n’importe quel scrutin. En tant que citoyen, d’ailleurs je ne demande pas, j’exige de voir le comptage des suffrages. Ce, à tous les niveaux de remontée des résultats. Et tant qu’aucun organisme composé d’observateurs intègres issus de la société civile ne se porte garant de l’intégrité d’un scrutin, je ne ferai aucune confiance dans les résultats proclamés par ceux-là mêmes qui tiennent les rênes et bafouent le vote des français depuis au moins 2005 ! Nous avons le devoir d’être intransigeants là-dessus et de ne pas nous contenter de croire a priori en leur probité.

Comment continuer à voter si les dés sont pipés et qu’en plus on détourne le regard devant la fraude. En persévérant dans le déni, nous mériterons ce qui nous arrive. Ce serait faire preuve de veulerie et en redemander ! Ne pas exiger de voir le comptage, c’est accepter de manière tacite de se laisser corrompre. Nous ne pourrions être que fautifs de nous laisser aller à cette corruption.

J’ai coutume de prendre l’exemple suivant. Imaginons que vous ayez l’habitude de jouer au poker avec les mêmes partenaires de jeu. Un jour, vous vous apercevez que les uns et les autres s’adonnent à la tricherie dans votre dos, ce qui semble expliquer pourquoi vous ne gagnez jamais. Question : allez-vous continuer de vous rendre à vos soirées de jeu comme si de rien n’était ? Ou allez-vous percer l’abcès, dire leurs quatre vérités à vos compagnons de jeu et quitter définitivement cette tablée de tricheurs… ?

L’avance du RN au premier tour lui permettait d’escompter au moins une majorité relative. C’est aussi ce que les sondages prévirent jusqu’à 19 heures, le dimanche 7 juillet. Et puis ce fut la grande bascule ! Comme en novembre 2020, comme par magie, un abracadabra de prestidigitateur renverse le score du tout au tout. Les statistiques ont beau nous affirmer qu’un tel renversement n’a rien de naturel et provient de la main de l’homme, personne ne demande à voir le code source des algorithmes qui gèrent le résultat final. « Complètement dingue, réagit Didier Maïsto, l’ex-directeur de Sud Radio, jusqu’à 18h les divers instituts de sondage étaient sur un RN en tête (entre 210 et 230 sièges). Et puis les projections se sont inversées vers 19h. » Quelle analogie avec les présidentielles de 2022 où Le Pen était en tête et en une fraction de seconde Macron passa devant elle ! Tout comme Biden passant devant Trump à la faveur de la nuit, ce 4 novembre 2020, à la façon des voleurs pour ne pas être vus. Etrange similitude ! Qu’a-t-il pu se passer pour que « tout le monde confirme cette estimation sortie des urnes à 17h30 des élections législatives 2024 avec un RN à 230 sièges, un NFP à 150 et des macronistes à 130 ? » s’interroge Eric Verhaeghe. A 19h12 ce profil d’assemblée était encore valide, et neuf minutes plus tard tout avait basculé. Le pire est que le RN ne réclamera même pas une enquête. N’est pas Trump qui veut. Désabusée et écœurée, Patricia, une internaute, écrira : « Quelqu’un connaîtrait-il une planète qui ne soit pas un asile d’aliénés ? On pourrait organiser un voyage ? Parce que là j’en peux plus ! » On a la sensation que plus la fraude est grossière, plus les gens se mettent la tête dans le sable.

Où pourrait se nicher la fraude ? Ce ne sont pas les opportunités qui manquent. Mais pour couper court à toute contestation, la preuve a déjà été apportée par un député LFiste, René Pilato, qui en novembre 2023 démontrait à l’Assemblée que rien n’avait été négligé pour rendre la démarche d’un vérificateur un parcours du combattant. Fait exceptionnel, ce député a voulu vérifier le scrutin de sa circonscription de Charente. Malgré les obstacles, il y parvint et le résultat fut sans appel : il y a bien eu fraude. « Sur 134 procurations manuscrites, annonça-t-il, 64 n’existaient pas ! Le résultat s’étant joué à 24 voix, cela laisse pour le moins perplexe. » Moi, ça ne me laisse pas perplexe. Ça me révolte. Côté procurations, le système n’a pas lésiné cette fois. Même les médias publics s’en sont fait l’écho. « Suspicions de fraude aux procurations : ils viennent au domicile de personnes âgées, un phénomène inédit et illégal. » Ce « ils » c’est d’abord l’état macronien. Il fallait voir ces préfets zélés inciter les personnes à signer une procuration. Mais ce sont aussi les troupes macroniennes. Le même article le dit à demi-mots en évoquant les « militants de partis politiques qui viennent au domicile de personnes âgées et demandent à avoir une procuration pour les législatives. » André Bercoff a une réaction qui est celle que nous tous devrions avoir : »…3,2 millions de procurations pour ce second tour. Record historique. Arnaque historique ? That is the question. Contrôles plus que jamais essentiels. Le bourrage des urnes après le bourrage des crânes, no pasaran ! » Et on ne parle effectivement pas ici du bourrage de crânes, de la grande lessiveuse appelée « front républicain », digne des plus belles dictatures communistes. Jusque dans les EHPAD, les personnes âgées ont été harcelées pour leur soutirer des procurations abusives. Leurs infirmières en témoignent. Dites-vous bien que si derrière ces « partis politiques » s’était trouvé le RN, celui-ci aurait été aussitôt dénoncé avec l’animosité usuelle. Le média en question ne se serait certainement pas gêné pour le citer.

On a le sentiment que pour le français moyen la fraude électorale est un fantasme. Personnellement, je me souviens des bourrages d’urnes à l’initiative des communistes. Cela se passait dans ma jeunesse. Je peux certifier que ça n’avait pas l’air d’un fantasme pour les journalistes de l’époque. La fraude ne s’exerce plus guère au cours du dépouillement. Le dépouillement apparemment conforme est même un argument pour faire croire à une intégrité totale du système. Mais c’est trompeur. Depuis l’époque où l’on bourrait les urnes au sens littéral du terme, les facilités de tricher se sont multipliées. A côté des méthodes artisanales, à savoir procurations abusives, oublis volontaires de disposer certains bulletins de vote à côté des autres, assesseurs empêchés d’assister au comptage, etc… sont apparus des moyens plus sophistiqués et surtout plus discrets. On pense par exemple au vote électronique mais par-dessus tout aux algorithmes des logiciels employés lors de la collecte des résultats locaux. Le système en usage comprend divers concentrateurs et un serveur a priori à l’étranger, qui sert de concentrateur intermédiaire au Ministère de l’Intérieur. A chacun de ces stades, le risque de fraude est maximal. L’intérêt du système est évident : l’absence d’intervention humaine visible. Le programmateur Frédéric Chaumont a fort bien expliqué le fonctionnement de ce type de fraude lors des différentes étapes de transmission des données. Autre avantage, il évalue en direct et en termes de reports de voix la fraude nécessaire et suffisante pour ne pas éveiller les soupçons et opère en conséquence sur tous les bureaux de vote. Aussi ceux qui pensent que la fraude n’est pas généralisée parce que sinon elle se verrait, ceux-là sont d’une naïveté et d’une ignorance déconcertantes. Et puis qui sont les agents administratifs qui sont chargés du bon fonctionnement des logiciels ? De quels logiciels s’agit-il d’ailleurs ? Quelle société les a élaborés ? Qui sont les agents administratifs chargés du comptage ? Qui les a désignés ? Qui compile les résultats ? Comme le souligne l’inestimable Christian Combaz, qui a posé le premier ces questions, « il est invraisemblable qu’aucun parti politique ne demande jamais ces informations essentielles ! » J’ajouterais qu’il en va de même des citoyens. Au fait, pourquoi avoir besoin d’algorithmes, quand seule l’opération addition devrait être utilisée ! A moins de vouloir faire coïncider les résultats finals souhaités avec ceux sur le terrain. Auquel cas les algorithmes ont leur utilité, évidemment. Qu’on se le dise !

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Frédéric Chaumont et les concentrateurs électoraux

 

Certains vont quand même reconnaître la fraude, mais c’est aussitôt pour la minimiser. Le problème c’est que, généralisée ou pas, elle avalise à chaque fois le résultat désiré par la classe parasitaire. Se faire passer pour un modéré en considérant que la fraude est minime et que ce n’est pas le problème est d’une irresponsabilité confondante. En ce cas, pourquoi les hommes prêts à tolérer une petite fraude aux élections ne s’arrangeraient-ils pas aussi avec leur conscience sur une petite infidélité de temps à autre ? Pensez-vous, alors, que leur compagne les suivrait sur cette voie ?

Aucun homme politique en France ne dénonce avec vigueur la fraude électorale, comme Trump peut le faire aux Etats-Unis. Demandez-vous pourquoi il est tant vilipendé par ceux qui en usent et en abusent. Aucune figure politique n’a son opiniâtreté. Personne n’a le courage d’affronter ce problème fondamental qui devrait pourtant fédérer un peuple entier. On sait à vrai dire qu’à gauche ce n’est pas la priorité dès lors que la fraude leur permet de se maintenir à flot. Il sera toujours temps de s’arranger ensuite avec sa conscience. Les factieux d’une gauche sectaire, qui sont descendus dans la rue pour beugler contre le RN au nom de mots d’ordre éculés, se moquent bien que le vote populaire soit entendu, d’autant plus s’il leur est contraire.

Qu’il y ait encore trop de français qui écoutent les colporteurs de la haine progressiste et la gauche du pire puis votent Macron ou NFP, c’est une triste réalité. Toutefois ils ne l’auraient pas si aisément emporté sans cette fraude tous azimuts. Par une propagande éhontée d’abord, puis grâce à la fraude électorale, on a volé le vote du peuple de France qui s’est porté le 7 juillet en priorité sur le RN. Regardez ce dernier chiffre. Il a fallu 100000 suffrages à un candidat RN pour être élu député. En revanche, il en a fallu 50000 seulement à un candidat NFP et 40000 à un macroniste. Si la fraude ne commence pas là… !¾

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