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Un été de distractions

Le 29/08/2023

Dans Actualités

Dans la bataille contre les globalistes, une constatation retient l’attention. C’est le surplace auquel en sont réduits les médias. Durant tout l’été, ils n’auront fait que ressasser leurs vieilles rengaines : la guerre, le climat et à nouveau, faute de mieux, le covid, de loin leur coup de maître. D’ailleurs, concernant le covid, des rumeurs insistantes font mention d’un retour en force pour cet automne. Ariane Bilheran nous avait prévenus. En cours de harcèlement, les psychopathes font des pauses. Mais qu’on ne s’y trompe pas, c’est pour mieux recommencer.

Puisqu’en Ukraine ils sont allés de déconvenue en déconvenue, pire de défaite en défaite, puisque d’autres pays de par le monde s’échappent de leur domination en s’agrégeant autour des BRICS, reconnaissons que la guerre, en tant que moyen d’apeurer les peuples et de les diviser, a perdu de sa superbe. Puisque le battage médiatique sur ce satané réchauffement climatique est contredit de jour en jour par les faits, puisque contrairement à la ritournelle d’un été torride, battant tous les records, l’été 2023 restera dans l’histoire de la météorologie comme un été plutôt pourri, il faut bien admettre que leur discours bat de l’aile. Il ne suffit pas en haut lieu de déclarer la canicule, pour qu’elle soit effective. Le réel est têtu. Et les médias sociaux ne font qu’ironiser à propos de ce pathétique coup de bluff.

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Cependant les médias de grand chemin n’en démordent pas, et dès qu’on leur fait remarquer qu’un peu partout la météo infirme leur mirage caniculaire, ils ont le culot de nous dire de ne pas confondre climat et météo ! Qu’ils sont extraordinaires de perfidie, eux qui ne cessent d’utiliser des événements météorologiques extrêmes, à tout bout de champ, pour justifier leur doctrine du réchauffement planétaire d’origine humaine !

Les gens n’en peuvent plus, gavés qu’ils sont de ces fausses théories inventées par l’esprit malade des mondialistes. Leurs incohérences éclatent de toutes parts, défiant ce qui subsiste de rationnel en nous. Les petits raconteurs d’histoires de la globalosphère se dévaluent eux-mêmes à force de raisonnements à l’emporte-pièce, de data trafiquées (à l’exemple de ces températures augmentées artificiellement pour coller au narratif officiel) et de négation de la réalité la plus triviale.

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Leur récit a d’abord mentionné, dès le printemps, que la sécheresse sévissait un peu partout, alors que des trombes d’eau ne cessaient de tomber. D’aucun de parler, dans ces conditions, de sécheresse asymptomatique et de s’en amuser. Qu’y avait-il d’autre à faire ? L’été arriva enfin, quand ils passèrent à la vitesse supérieure. Le désopilant secrétaire général de l’ONU osa à son tour se fendre d’un message disant qu’il ne fallait plus parler de réchauffement climatique mais d’ébullition mondiale, tant la hausse des températures était alarmante, selon ses dires. A ce niveau de stupidité, l’extravagance confine à la fois au burlesque et au grandiose. Chapeau l’artiste !

Cependant, je ne me fais guère d’illusions. Mes contemporains sont loin d’utiliser tous leurs neurones pour remettre en question cette farce. En témoigne ce tweet de Momotchi : « Aujourd’hui au boulot, j’arrive à placer qu’il neige en Italie. Réponse d’un collègue : « et il y a encore des gens qui doutent du changement climatique ». Moment de solitude… » J’ai bien peur, ma chère Momotchi, que ce spécimen soit en effet irrécupérable.

L’offensive suivante, une fois le covid passé, était prévisible. Souvenons-nous de ce directeur technique de CNN, Charlie Chester, qui l’avait avoué en caméra cachée. Son patron allait sous peu exiger que le paquet soit mis sur le climat. Nous y sommes, en dépit de la réalité qui n’est pas au rendez-vous.

Mais pour quelle raison ? Probablement pour entretenir la peur, la division et le contrôle des masses. Le fondateur de Kla tv, Ivo Sasek, a lui une autre explication, tout aussi plausible. Pour ce réinformateur avisé, le récit climatique est poussé à son paroxysme afin de nous distraire des morts des vaccins covid. Ces meurtriers insolents, comme il aime à les qualifier, font ainsi d’une pierre deux coups. Ils peuvent imputer d’une part les morts des vaccins covid à une cause différente et d’autre part justifier le combat contre le réchauffement climatique. Et même d’une pierre trois coups, lorsqu’on songe que l’OMS en appelle de ce fait à une vaccination contre les moustiques migrateurs. Vraiment quelle bande d’obsédés de la piqûre ! « C’est pourquoi, dit Sasek, dès les premiers aveux de dommages dus aux vaccins, leurs médias de masse nous assourdissent avec leurs grands cris sur les vagues de chaleur. Tout d’un coup, c’est la chaleur qui fait que les gens meurent comme des mouches en ce moment. »

Et effectivement cela leur évite de couvrir ces grandes manifestations de victimes de la vaccination, comme celle de Londres où l’on a scandé « La BBC a du sang sur les mains ! ». Telle la poussière glissée furtivement sous le tapis, cela leur permet de cacher, sous la couverture climatique, la vérité sur la vaccination, qui, comme on le proclame chez Bon Sens, commence à faire penser à un génocide qui ne dit pas son nom.

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« De cette manière, ils cherchent en quelque sorte, poursuit Sasek, à détourner l’attention des montagnes de cadavres de leurs caves. » Le narratif climatique est bien une distraction pour faire diversion. « Ils s’accrochent [à ce scénario écrit d’avance] ou du moins ils essaient. » Mais, on le voit, leurs efforts sont désordonnés, erratiques. Ils courent tous les lièvres à la fois, sans en attraper un seul.

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Tout comme il leur fallait contrarier Trump dans la course à la présidentielle 2020 en lançant l’opération covid, il leur faut encore lui barrer la route pour 2024, et je dirais plus que jamais, étant donné sa popularité croissante. Aussi nous avons vu revenir le covid par la petite porte espagnole. Il a passé ensuite la frontière, comme un grand. Son nouveau nom de code : Eris. On l’annonce alors à l’hôpital d’Arcachon, où les masques ont refleuri en signe d’allégeance au discours, qui est de mise, d’une recrudescence du virus, et dans le métro parisien où les indécrottables peureux, addicts de BFM, en ont fait autant en ressortant leur muselière. Toutefois cela reste marginal. Même sur RMC une bonne élève, comme elle se nomme elle-même, est venue parler des effets secondaires qu’elle ressent et de son intention de ne plus se vacciner. C’est dire que le réchauffé de l’opération covid n’a pas un avenir assuré. Et que s’ils y recourent, en automne comme on le rapportait plus haut, ce sera un peu en désespoir de cause. Cette fois, qui leur dit que la population suivra ? Et ce n’est pas le charisme du dernier ministre de la Santé favorable à un port du masque en toute circonstance, un charisme égal à celui d’une huitre, qui y changera quelque chose.

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Alors que leur reste-t-il comme option ? Jouer sur les trois tableaux en même temps : un retour du covid version Eris, une troisième guerre mondiale (à partir de l’Ukraine ou du Niger) et des mesures climatiques draconiennes (à base de confinements climatiques) ? C’est ce qu’ils semblent vouloir faire et qui dénote une absence de plan B concerté.

Entre pangolinologues et climatologues de premier plan, il va falloir choisir !

En dernière ressource, le Deep State peut toujours user de faux drapeaux où il laisse se déchaîner ses instincts les plus violents comme à Hawaï.

L’Etat profond semble bel et bien dans une voie sans issue pour laisser ainsi entrevoir ses modes d’action destructeurs, ce qu’il dissimulait mieux autrefois. Peut-être garde-t-il encore un tour dans son sac. Néanmoins, il est acculé, le dos au mur. Face à lui un mastodonte prêt à en découdre, les BRICS élargies qui s’attaquent au nerf de la guerre, son argent. Et pour gagner du temps et cacher ses crimes, les politiciens à son service mettront les bouchées doubles sur la censure. Laquelle fera l’objet du prochain article.¾

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