Le condensé qui suit, notre conteur l’a mis dans la bouche de ses personnages truculents, mais au-delà, à travers eux, peu ou prou, c’est son opinion qui s’exprime : « … aucun des trois partis d’opposition, alors que les soupçons de fraude n’ont jamais été aussi prononcés en France, ne réclame la moindre assurance à ce sujet, le moindre complément d’informations sur ce qui se passe à 19h30, puis à 20h30, puis à 22h00, les soirs de dépouillement au Ministère de l’Intérieur. Dans quelle salle ça se passe ? Avec quelle machine à totaliser ? Contrôlée par qui ? Quelle est la liste des agents de contrôle et vérification ? Est-ce qu’il existe une ou plusieurs entreprises privées, prestataires de service, qui sont sous contrat pour traiter les données ? Où sont leurs serveurs ? En France ? A l’étranger ? […] La direction des partis d’opposition ne dit jamais : j’aimerais pouvoir vérifier que tout se passe légalement au Ministère le soir du dépouillement, et, pour commencer, j’aimerais qu’une commission d’experts indépendante ou composée de représentants de tous les partis puisse se pencher sur ce qui a été mis en place au Ministère et puisse y assister en temps réel, entre 20h et 22h. […] Personne ne pose la question ! Ils s’entendent tous pour ne jamais le faire. […] Aucun des grands partis ne demande au Ministère de l’Intérieur des explications calmes et préalables au décompte, le soir du dépouillement. On ne nous dit pas comment ni sous le contrôle de qui ça se passe. Mélenchon avec sa grande gueule a fait profil bas là-dessus. Zemmour fait semblant de ne pas avoir entendu, comme d’habitude je dirais. Marine Le Pen demande s’il y a une autre question… »
Que toutes ces questions tombent sous le bon sens ! Maintenant, si une personne ne se les pose pas à un moment donné ou à un autre, c’est qu’elle n’attache aucune importance à la probité et qu’elle se moque royalement que la France aille dans la mauvaise direction. Pour être juste, Zemmour n’a pas toujours été aussi hypocrite. Sur CNews, dans l’émission Face à l’Info qui le consacra, il osa enfreindre la loi d’airain qui fait régner l’omerta dans les médias français aussi bien qu’américains. Il n’hésita pas à soutenir Donald Trump et ses légitimes doutes quant à la validité des résultats au sortir de l’élection présidentielle américaine de novembre 2020. Il appelait au moins à la prudence et ne vouait pas aux gémonies ceux qui certifiaient qu’il y avait eu fraude. Je me souviens que Dimitri Pavlenko lui vola dans les plumes malgré sa réaction pondérée, lui interdisant tout bonnement de tenir ce discours. Oh, son argumentation était d’une telle pauvreté, qu’on peut se demander s’il en avait une. Il se contentait, ni plus ni moins, de blâmer Zemmour comme s’il blasphémait !
Dans ce constat mérité, Combaz aurait pu citer également Philippot. Bien que considéré comme infréquentable par la caste, le numéro un des Patriotes a refusé à son tour d’admettre que l’élection présidentielle française avait pu être frauduleuse. L’establishment l’avait déjà exclu de la course par des moyens ceux-là tout à fait légaux, grâce à l’obstacle des 500 signatures dont la plupart font partie du système. Philippot a rejoint le conformisme totalitaire plutôt que le questionnement légitime des patriotes, balayant sans le justifier leurs arguments massues. Il a eu assez de courage pour signaler les magouilles de l’Eurovision, mais son courage l’a lâché lorsqu’il s’est agi de révéler les failles du système électoral et la fraude patente. Ne m’en demandez pas la raison !
Bref, en France, pas un pour se lever et taper du poing sur la table. Pas un pour dire que le roi est nu, que le suffrage universel est bafoué. Pour ceux qui refusent de vérifier si les dés sont pipés et qui ne veulent pas l’envisager, c’est qu’ils savent au fond d’eux-mêmes qu’ils le sont et qu’ils préfèrent s’en accommoder. Alors, si vous acceptez la fraude en toute connaissance de cause, ne venez plus nous assommer avec le devoir moral de voter. Cet acte aura perdu toute valeur à cause de votre lâcheté. Le plus terrible est le fait que le peuple dans son écrasante majorité garde le silence. On lui vole son élection majeure et la masse n’exige même pas de connaître la vérité. Non seulement elle emboîte le pas aux tricheurs, mais en plus elle dénie à ceux qui s’interrogent le droit de s’interroger. Beaucoup ont choisi de ne pas être regardant, quitte à favoriser le mal. Beaucoup ont préféré se leurrer. Ils avaient déjà eu la même attitude vis-à-vis des vaccins, et ils ont été jusqu’à mettre en jeu leur santé plutôt que de prêter attention aux arguments de médecins bien intentionnés. Alors, pour un simple vote, ils n’allaient pas regarder de si près. Et tout ça se passe dans la patrie des droits de l’homme. N’est-ce pas Edmund Burke qui disait que « la seule chose qui permet au mal de triompher est l’inaction des gens de bien » ? Une citation qui figure en introduction du film Hitler, la naissance du mal.