Sur le front

Le 21/11/2022

Dans Actualités

Qu’on ne s’y trompe pas, la guerre fait rage. L’affrontement se crispe sur tous les fronts. Economique, Politique, Scientifique, Stratégique... Dans tous les sens éclatent des bombes dont on ne sait pas trop quels dégâts réels elles ont provoqués. Tantôt elles sont à notre avantage, tantôt elles ne font que nous effrayer par les perspectives qu’elles ouvrent. Tantôt le mondialisme reçoit de sérieux coups qui le mettent à mal et ébranlent ses positions. Tantôt la bête blessée rugit de fureur et agresse les populations qu’elle retient sous sa coupe, en les menaçant des pires sévices.

Sur le front économique, il ne fait plus de doute que les BRICS+ qui recueillent jour après jour des demandes d’adhésion (Argentine, Algérie, Arabie Saoudite, Iran et peut-être même l’Allemagne…) sont en train de dédollariser la planète. Après une Russie totalement dédollarisée, la Chine en prend le chemin également. Les banques centrales des pays émergents se mettent à acheter quantité d’or. Les BRICS+ annoncent mettre en place une nouvelle monnaie de réserve mondiale, adossée à l’or, pour faire perdre au dollar sa suprématie. « Un tremblement de terre monétaire, twitte Maxime Bernier, s’en vient. » L’entretien qu’a eu Marc Luyckx Ghisi sur le média Kairos confirme amplement ce diagnostic. « La bonne nouvelle, c’est qu’on a perdu », lance avec ironie cet économiste proche de Delors, du temps où ce dernier siégeait à la Commission Européenne. Cela mérite une explication.

Notre inflation ne résulte pas, martèle Luyckx, d’une hausse des prix. Elle provient de la dépréciation de nos monnaies, euro et dollar, elle-même due à la politique folle de la planche à billets. Bien sûr, voilà des années que nous en souffrons. Mais il y a pour eux un revers à la médaille, comme on va le voir.

Le nerf de la guerre, qu’elle soit celle que mène l’OTAN en Ukraine contre la Russie ou qu’elle se situe ailleurs, a toujours été l’argent. Si les mondialistes sont parvenus à une domination sans partage, c’est bien d’abord en confisquant à leur unique profit les finances de la planète. En s’octroyant un droit de regard sur la création monétaire, ils détinrent peu à peu tous les leviers de pouvoir. Ils ont monté l’arnaque des banques centrales à la fois pour endetter les Etats, c’est-à-dire en fin de compte les citoyens, et pour enrichir leur nomenklatura par la même occasion. Aussi se voir priver du joujou vital qu’est la maitrise de la monnaie fera d’eux à terme des sdf et signera leur déclin. Sans argent, la guerre en Ukraine, pour ne prendre que cet exemple, ne s’éternisera pas. Les bastions du mondialisme ne feront alors pas long feu. En défiant l’axe atlantiste sur le terrain monétaire, les BRICS+ font donc lever un vent d’optimisme à moyen terme. Leur objectif manifeste est de briser l’imperium américain. Le pétrodollar, qui s’est imposé jusqu’ici par la dissuasion et la violence (assassinats et guerres), vit probablement ses derniers moments. On parle même, dans le camp républicain, d’un billet bleu pour remplacer le billet vert, quand il s’agira pour l’Amérique de rejoindre la communauté internationale autour des BRICS+. Cette bataille entrera dans l’Histoire, qui sait, comme le Stalingrad de nos ennemis. Bien sûr des initiatives comme celle du franc libre du capitaine Juving-Brunet sont louables, mais elles n’ont pas la force de frappe ni l’étendue de celle des BRICS+, qui entraine dans son sillage les trois quarts du globe. Alors, oui la chute financière de l’axe atlantiste face à l’émergence des BRICS+ nous fera passer d’un système de domination à un système d’équilibre, d’un système unipolaire à un système multipolaire. Et c’est cela la bonne nouvelle. Macron, lui, ne s’y trompe pas qui tente encore, en vain, de promouvoir son ordre mondial au milieu d’un champ de ruines. D’ailleurs n’espère-t-il pas aussi obtenir le prochain prix Nobel de la Paix. Autant le donner rétroactivement à tous les dictateurs passés !

Si donc la résistance au Nouvel Ordre Mondial progresse, et ce dans des domaines cruciaux, le totalitarisme progresse dans nos contrées. Ainsi l’Allemagne a adopté au Bundestag une loi prévoyant une peine de prison pour soutenir la Russie dans son conflit en Ukraine. Au B20, Trudeau confirme que seule l’expression approuvée par le gouvernement sera autorisée en ligne et surveillée par l’Intelligence Artificielle. Chez nous, les macronistes se déchainent contre les soi-disant complotistes, dans le silence à peine gêné de la classe politique. L’Education Nationale appelle même à la délation. On demande aux enseignants de dénoncer leurs collègues complotistes, mais aussi leurs élèves. Alors, enseignants, déjà plus royalistes que le roi au bon temps du covid, il est l’heure de prendre la plume pour écrire vos lettres de dénonciation à la kommandantur, comme au bon vieux temps de vos arrière-grands-parents. Et, comme si ça ne suffisait pas, la télé d’Etat est mise à contribution. France Télévisions s’implique dans la chasse aux sorcières. Le groupe entre en collaboration avec le Ministère de l’Education Nationale et de la Jeunesse contre la prétendue désinformation, avec une opération Vrai ou Fake. Regardez-la, cette belle bande de collabos, que n’aurait pas reniée Je suis partout. Les Lapix, les Roux, les Delahousse, les Sotto, les Pain… Et si on renvoyait à la figure de ces sinistres personnages leurs propres fake ? Eux, grassement rémunérés par nos impôts et par les largesses de Macron, qui les corrompe chaque fois qu’il attribue des aides supplémentaires aux médias moribonds pour nous rebattre les oreilles avec sa propagande. Si on leur renvoyait l’épisode de cette cheminée qu’ils ont voulu faire passer pour un missile russe, par exemple. Des exemples, on en a à la pelle ! Mais ça continue de donner des leçons. Ces journaleux sont la honte du métier, un métier qui a quasiment disparu des mainstream. Comme le remarquait Gilles Deleuze avec trente cinq ans d’avance : « Une information c’est un ensemble de mots d’ordre. Quand on vous informe, on vous dit ce que vous êtes censé devoir croire. En d’autres termes, informer c’est faire circuler un mot d’ordre […] ce qui revient à dire que l’information c’est le système du contrôle. » Nous sommes effectivement passés dans une société de contrôle. A commencer par le contrôle du discours et de la pensée. Autrement dit, il ne faut voir dans les Lapix, les Roux, les Delahousse, les Sotto, les Pain… que des flics ! Des flics chargés de faire respecter les mots d’ordre mondialistes. A l’occasion, ils viennent de sortir leur matraque.

France televisions les collabos

Les collabos de France Télévisions sommés de chasser le complotiste

De leur côté, les nervis de Macron propagent leurs fausses nouvelles, leur désinformation, pour le coup le mot est employé à bon escient, sans craindre la moindre sanction comme cette Laurence Haim faisant croire que les missiles tombés sur le village polonais de Przewodow étaient l’œuvre des russes. Ségolène Royal, qui n’a pas peur de devenir une pestiférée, s’insurge : « Pendant des heures, dit-elle, une fausse information sur la Pologne a semé la peur et l’escalade des menaces. Il faut des sanctions contre les auteurs de propagande de guerre qui veulent empêcher le cessez-le-feu et créer une instance de validation des informations de guerre.» Dans ce cas, chère Ségolène, il faudrait s’en prendre à l’ensemble des médias aux ordres, qui une fois encore se sont déchainés en foulant l’éthique de la profession. Ces propagateurs de fake news avérées ne seront jamais considérés quant à eux comme complotistes. Pourtant c’est bien ce qu’ils sont. Et ils devraient tomber sous le coup de la Miviludes, non ?

Quant aux soignants suspendus, sans salaire ni allocations chômage, ni aides sociales, au lieu de les réintégrer, la police française et la gendarmerie se compromettent gravement en les convoquant pour les intimider. On leur reprocherait de s’adonner illégalement à un travail de substitution. En fait, l’Etat voudrait les supprimer qu’il ne s’y prendrait pas autrement. Il n’a rien négligé sur le plan juridique pour en faire des parias, des lépreux, des intouchables. Quel dégout il m’inspire ! Une vraie résistante s’est élevée à nouveau, la merveilleuse Annie Duperey, pour lancer un coup de gueule, sur C8, contre le ministre de la santé qui refuse toujours leur réintégration. Chapeau bas, Annie !

Le Brésil, après avoir connu lui aussi des élections truquées, est descendu dans la rue et continue de le faire. Des images nous parviennent du pays pour en attester. La guerre est déclarée entre le juge Moraes du Tribunal Suprême Fédéral et les militaires brésiliens comme le général Mourao. On se souvient que c’est ce même juge qui avait fait sortir Lula de prison malgré ses condamnations. De plus les camionneurs qui se sont joints au mouvement ont vu leur compte bancaire bloqué, probablement sur ordonnance de ce juge ou d’un de ses acolytes. Ça ne vous rappelle rien ? Oui, le Canada. Trudeau en avait fait de même. On ignore à l’heure actuelle quel sort est réservé à ce courageux pays. Bolsonaro prendra-t-il le maquis à la mode Trump ou le peuple forcera-t-il la main à son armée ?

Mur autour de la maison blanche

La Maison Blanche et son nouveau mur d'enceinte

Même Washington n’échappe pas à la guerre. Admirez ce mur de béton qu’on construit tout autour de la Maison Blanche, comme si Biden s’était retranché dans son Fort Chabrol. N’oubliez pas non plus le mur érigé autour de la FED ! Comme si les mondialistes craignaient qu’on s’attaque à leur argent. Incidemment, ce genre de mur n’a pas l’air d’être désavoué par les démocrates, eux si prompts à faire tomber les murs, essentiellement ceux dressés par leurs adversaires.

Les midterms se sont donc déroulées. Mal, comme de bien entendu. La fraude a eu l’effet escompté, à savoir atténuer la vague rouge. La Chambre des représentants est cependant passée aux mains des Républicains et le Sénat reste en suspens du fait des recours. Là encore, comme en 2020, et même davantage, les fraudes ont été massives et grossières. Je n’ai pas la prétention de recenser ici les innombrables malversations qui ont fuité sur les réseaux sociaux : machines opportunément en panne dans des secteurs à majorité républicaine, urnes pour les seuls bulletins démocrates, bulletins falsifiés devant caméras, présence de la candidate démocrate Katie Hobbs dans la salle de comptage des votes, truquage algorithmique… Tous ceux, qui ont encore le toupet de balayer d’un revers de main l’existence de fraudes, soit par ignorance coupable soit par mauvaise foi idéologique, ne méritent tout simplement aucune considération. Leur parti pris de mépriser ces preuves vaut à lui seul de les considérer comme complices. Laisser faire la fraude électorale, ne pas vouloir la voir et la punir constitue en soi un crime. Un crime contre le peuple. Un crime contre la démocratie. Ces gens-là se font donc ni plus ni moins les complices d’un crime de lèse-majesté contre le peuple. Les preuves de la fraude sont là, étalées sur les réseaux sociaux. Que chacun aille les consulter et ensuite consulter sa conscience, s’il n’a pas l’intention de s’en offusquer !

Californie fraude
Katie hobbs dans la salle des bulletins
Fraude tele

Sacs de bulletins non comptés d'un bureau en Californie, Katie Hobbs surprise dans la salle de comptage le 9 nov, Un affichage incohérent qui ne vous rappelle rien ?

Aubontouitefrancais a fort bien résumé le bilan de trois années de politique américaine :

« Les démocrates

-ont triché en 2020

-ont utilisé Black Lives Matter pour tout casser pendant la campagne présidentielle

-ont organisé le coup du Capitole

-sont mouillés jusqu’au cou dans l’affaire Epstein/Maxwell

-ont ridiculisé l’Amérique en Afghanistan

-ont créé un merdier noir à la frontière du Mexique

-ont organisé de toutes pièces la provocation russe en Ukraine

-ont précipité l’Amérique dans l’inflation et la récession […]

-ont fait sauter Nordstream avec les Anglais

-ont organisé l’attentat d’Istambul

-ont volé 2 milliards de dollars aux Américains via FTX

-ont retriché aux midterms de 2022 sans même se cacher… »

Bill gates comites de la mort

Bill et Gates et ses comités de la mort au G20

Bien entendu, la liste n’est pas exhaustive. Ainsi, rien n’est mentionné à propos du covid et du rôle de Big Pharma, de Fauci… ou de Bill Gates. A ce propos, la crapule a encore fait parler d’elle. S’invitant au G20 à Bali (à quel titre, on l’ignore) le Torquemada de la santé mondialisée a prôné l’emploi des panneaux de la mort ! Selon l’humaniste préféré des mondialistes, ces panneaux de la mort seront vite jugés nécessaires pour abréger la vie des personnes malades et même de ceux qui ne le sont pas, en raison « des coûts médicaux très, très élevés ». Le philanthrope psychopathe a reproché un certain « manque de volonté ». « Est-ce que, a-t-il osé proférer, plutôt que de dépenser un million de dollars pour les trois derniers mois de la vie de ce patient, il ne serait pas préférable de ne pas licencier [par exemple] ces dix enseignants et de faire ce compromis dans les coûts médicaux ? » Je propose, vu son âge, qu’on commence par lui, en l’euthanasiant ! Comment peut-on permettre à cet ignoble rapace de continuer à défier le genre humain et à nous enfoncer dans l’obscénité ? Le terme de panneaux de la mort a été inventé par Sarah Palin quand elle a accusé en 2009 un projet de loi de créer une sorte de comité de la mort de bureaucrates qui effectuerait le tri entre les uns, dignes de soins médicaux, et les autres qui n’en sont pas. Qui en a parlé en France à l’époque ? Les médias avaient sûrement d’autres chats à fouetter comme s’en prendre à Palin elle-même. Il faut dire qu’ils n’avaient pas encore leur tête-de-turc de Trump. Si ces panneaux de la mort ne sont pas de l’euthanasie à la mode hitlérienne, je ne sais pas ce qu’ils sont. Ils sont bien une euthanasie pour les pauvres et les gueules cassées. En 2009, on avait accusée Palin de propager une théorie du complot. Eh bien, en voilà une de plus qui se réalise, au moins dans les paroles. Rendez-vous compte que même Hitler ne s’était pas vanté de massacrer les handicapés avec son programme génocidaire T4. Il avait soigneusement tu la chose à son peuple. Ici, un homme, qui ne représente au fond qu’une mafia sans foi ni loi, vomit sa bile contre l’humanité en annonçant expressément qu’il veut réduire son nombre, tient des propos ahurissants de pogrom au niveau mondial, et qui s’en émeut ? Même au Canada, il est question d’euthanasier les enfants dépressifs sans le consentement de leurs parents. Pour pasticher Sartre, je dirais, devant de telles monstruosités, que décidément le mondialisme n’est pas un humanisme.

Cette guerre qui fait rage est d’abord une guerre de l’information. La psychologue Lucia Giovannini a rappelé les trois conditions pour que règne le totalitarisme : la peur associée à l’isolement (ce fut la fonction qu’a eu le covid), la prise en otage de la masse et son syndrome de Stockholm (ce fut le but de ceux qui nous ont pris en otages en engendrant la guerre, les pénuries, et la lutte chimérique pour le climat ; ensuite ils apportent leurs solutions funestes et se font passer pour des sauveurs) et enfin ressasser le même discours paranoïaque encore et encore (ça, c’est le rôle des médias qui rabâchent le seul récit autorisé jusqu’à épuisement de leur auditoire). Journaleux de France Télévisions, vous qui avez si vite répondu à l’appel du pouvoir totalitaire, apprenez que vous êtes, à cette heure, considérés par tous les gens éveillés comme des complices et même pire comme des bourreaux. Vous cuisinez le peuple, vous le torturez et vous vous payez sur son dos. Laissez-moi donc vous dire que vous n’êtes que d’ignobles traitres, voleurs et tortionnaires, le tout à la fois ! Cela fait longtemps que le journalisme se meurt, aussi êtes-vous appelés à disparaitre, et vous le savez au fond de vous. Seul, à l’avenir, un journalisme citoyen pourra redorer le blason de la profession et faire du quatrième pouvoir un réel contre-pouvoir.¾

Macron Soignants suspendus Bill Gates BRICS+ Dédollarisation

×