Hervouët dénonce encore le parti pris des enquêteurs, leur dissimulation d’indices, leur altération de preuves, leur pression sur les témoins et leurs mensonges réitérés. Ainsi, il n’y a pas eu un seul mais deux tireurs impliqués dans l’assassinat. Le second serait un certain Mac Wallace, un tueur ayant travaillé pour Johnson alors sénateur et que Johnson devenu président protègera sans défaillir. Peu à peu, avec les années, l’Agence lâche du lest devant le redoublement d’accusations.
Seulement l’Etat profond américain s’arc-boute. Il préfère dire qu’on ne saura jamais ou carrément il refuse, comme Biden, de divulguer certaines archives de la CIA. Depuis 1964, on le sait, la CIA dénigre le complotisme. C’est d’ailleurs là l’origine du terme. Avant, il n’apparait nulle part. Après cette date, on constate, par exemple, que le New York Times en est truffé. Ce même procédé a été recyclé dans l’affaire du covid. Ce n’est pas le fruit du hasard. L’Etat profond, quand il est mis en accusation, choisit à chaque fois de dénigrer les complotistes afin de blanchir les comploteurs. Or, justement, les comploteurs d’aujourd’hui sont les héritiers des comploteurs d’hier. Cette mafia se succède à elle-même. Voilà le lien tant recherché entre l’assassinat de JFK et les événements actuels. Hervouët termine son éditorial par ces mots : le fantôme de Kennedy n’a pas fini de hanter Washington. Et effectivement s’il hante encore le peuple américain c’est que ce dernier a conscience de la relation avec ce que nous vivons. Le peuple se défie de la CIA, du FBI, des médias et du marigot politique, aujourd’hui comme hier.
Une rumeur persistante circule impliquant George Bush père. Elle prête à ce dernier d’avoir dirigé alors la CIA. Cependant, officiellement, Bush n’a dirigé l’Agence que bien plus tard, dans les années soixante dix. Pour autant, on le soupçonne d’avoir effectué à l’époque des opérations noires pour le compte du Renseignement central. Le New York Times l’a même évoqué dans un de ses articles. Son rôle sera peut-être élucidé par les documents publiés. On comprendrait alors pourquoi la lignée des Bush, Clinton, Obama et Biden, tous dignes représentants du mondialisme, appréhende les divulgations, surtout si Bush père a trempé dans l’organisation de l’attentat contre JFK.
Cependant la CIA n’a peut-être pas agi sous la seule injonction de son vice-président. Johnson n’était pas le seul à avoir intérêt à éliminer Kennedy, ni à avoir les moyens de le faire. JFK avait annoncé son intention de démanteler la CIA, de se retirer du Vietnam privant ainsi de son business le complexe militaro-industriel auquel appartenait la famille Bush, mais aussi de mettre un terme au système bancaire central, l’œuvre du Deep State et son plus sûr moyen de domination. Chacun de ces motifs est à lui seul suffisant pour qu’il soit passé à l’acte. Tout cela reste à éclaircir et on attend des documents qu’ils aident à faire toute la lumière. Ce qui est acquis, en revanche, c’est que les complotistes triomphent une fois de plus. C’est comme s’ils déclaraient : nous vous l’avions bien dit, mais vous préfériez écouter les médias menteurs !