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ONG : une arnaque à la Soros

Le 14/03/2025

Dans Actualités

L’Etat profond, on le constate quotidiennement, se fait fort d’instrumentaliser les individus les plus violents et les plus fanatiques : milices ukronazies, meutes d’antifas ou commandos d’islamistes, le sabre entre les dents. Il affectionne jouer sur tous les tableaux à la fois. Et il sait exploiter le potentiel de violence et d’extrémisme dont ces brutes épaisses sont capables. Il peut ensuite infiltrer les manifestations qui lui sont hostiles (cf. les Gilets Jaunes) ou fomenter ses révolutions colorées (cf. l’euromaïdan). Quand il détient l’appareil police-justice, les policiers et les juges se montrent alors complaisants envers ces agitateurs. A contrario, les mêmes sont sans pitié pour les détracteurs de l’establishment. En France, par exemple, antifas et islamistes sont particulièrement choyés par le pouvoir. La police et la justice tenues en laisse se montrent en effet d’un même laxisme coupable envers les islamo-gauchistes. On peut dire sans exagérer que toutes deux les protègent. En revanche, la moindre association qui se forme en réaction à ce pouvoir castrateur est aussitôt déclarée d’extrême-droite afin de susciter le rejet, puis est réprimée, voire carrément dissoute.

L’Etat profond a mis en place toute une stratégie qui apparait aujourd’hui très clairement. Rien n’est dû au hasard. Et tout est financé par le contribuable pour se retourner contre lui. Que ce soit le grand remplacement des populations occidentales, les taxations au nom d’un prétendu réchauffement climatique, le wokisme qui déstructure la cellule familiale ou que ce soit la sape des fondements démocratiques de nos sociétés, tout est organisé et encadré sans notre consentement mais avec les deniers publics. Dans cette optique, la manipulation par ONG interposées a été amplement utilisée. Elle a permis le noyautage des masses et leur approbation tacite de l’endoctrinement par le système en place. Il en va ainsi de la religion climatique au service de laquelle prospère une myriade d’ONG. Ces organisations regroupent tous les crétins de la terre qui ont séché leurs cours de Physique étant jeunes, mais qui ânonnent le catéchisme climatique en vigueur sans réfléchir une seconde. Leurs connaissances scientifiques volent au ras des pâquerettes. Mais leur propension inquisitoriale atteint des sommets. De même pour l’immigrationnisme forcené. Si pendant un temps il ne fallait pas croire qu’il y avait de plus en plus d’immigrés en France et il fallait nier le grand remplacement, dorénavant la volonté de ce grand remplacement est assumée par l’extrême-gauche, de connivence avec le pouvoir mondialiste. L’Etat profond a su pénétrer les masses, au moins à la marge.

Les ONG présentent un avantage supplémentaire pour le système. Elles permettent d’occuper un tas d’associatifs à ne rien faire et à les faire vivre. La grande majorité est de gauche. Au départ, ils n’ont d’autre but que de vivoter, se contentant du minimum vital et de Netflix. Le projet de Soros leur permet de se donner une contenance tout en restant de grands enfants ignares, croyant défendre la veuve et l’orphelin, et réalisant au contraire la destruction de la société au profit des oligarques. La vie est belle pour eux et de plus ils n’hésitent pas le cas échéant à faire preuve de violence, quand on les mobilise pour la cause. En dépit de leur origine bourgeoise, ils ont peu de culture politique, mais militent tous à l’extrême-gauche. Ils sont encore moins scientifiques, mais prétendent connaître un phénomène aussi complexe et multifactoriel que le climat. De nature grégaire, ils aiment se réunir, déboucher des bouteilles de champagne, payées on ne sait comment, pour trinquer à la mort de leurs opposants politiques, de droite, évidemment pas d’ailleurs. En guise de littérature, ils ne savent entonner que des slogans promettant la mort à ceux qui ne leur ressemblent pas. Ils prennent aussi plaisir à tout casser, se sachant impunis au bout du compte. Ce sont des décérébrés, des parasites et des brutes épaisses. Des zombies, diraient certains. Personnellement, je trouve que leur psychisme s’apparente beaucoup à celui des chemises brunes qui formaient les sections d’assaut. Dans un cas comme dans l’autre, il leur faut donner libre cours à leur violence, au nom bien entendu de leurs idéaux, faire peur et laisser un champ de ruines derrière eux. Souvenons-nous des troupes presque paramilitaires d’activistes BLM qui incendièrent nombre de villes américaines pendant le premier mandat de Trump.

Ces organisations non gouvernementales ont en fait tout de « gouvernemental ». La duperie commence là. Elles sont portées à bout de bras par les Etats à travers des programmes financés naguère encore par l’USAID aux Etats-Unis ou par l’AFD en France. Prenez ces ONG environnementales, comme Les Amis de la Terre, le Bureau européen de l’environnement… qui viennent de subir un revers de fortune, selon l’expression de Clément Solal dans un article sur Sud Ouest. Elles avaient pourtant poussé au Pacte vert. Mais l’UE a changé de priorité, actualité oblige. L’économie remplace désormais le climat. L’économie de guerre surtout, depuis que Trump a lâché l’UE dans son conflit avec la Russie. Solal, en bon journaliste servile, déplore que ces ONG soient en perte de vitesse, à cause d’eurodéputés conservateurs. Ces derniers ont en effet parlé à leur sujet de lobbying fantôme. Mais Solal balaie l’accusation d’un revers de main et parle de prétendu système. Or il est de notoriété publique aujourd’hui que la Commission a subventionné ces ONG en échange de leur engagement à défendre ses projets en matière environnementale. Evidemment Solal, comme tous les européistes qui campent sur une position indéfendable, n’apporte aucune preuve abondant dans son sens. Reste au contraire un faisceau de présomptions qui lui donnent tort. Il ne cherche d’ailleurs pas à prouver le bien fondé de son opinion mais simplement à démentir les accusations.

D’une manière générale, qui dit ONG à gros budget, dit corruption. Beaucoup de dirigeants de ces organisations faussement humanitaires se voient ainsi accorder des salaires aussi absurdes que mirobolants. C’est une façon à peine dissimulée de corrompre les masses avec leur propre argent tout en les impliquant dans la réalisation d’objectifs programmés.

Le financement de ces ONG est un puits sans fonds proprement hallucinant. Pour marquer les esprits, prenons l’exemple de l’organisation d’un certain Stacy Abrams. Celle-ci ne récoltait qu’une centaine de dollars. Dès lors qu’elle fut subventionnée, elle est passée à 2 milliards de dollars ! Et si ces aides étatiques allaient au moins à de l’humanitaire, mais ce n’est pas le cas pour leur grande majorité. Ces sommes sont le plus souvent allouées à des projets délirants du type construction de clinique transgenre en Inde ou recherche sur la création de souris transgenres…

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Autre cas de figure : en avril 2024, Kamala Harris a remis un chèque de 7 milliards de dollars à une association environnementale, à but non lucratif (cela dépend pour qui), dirigée par les Démocrates et fondée seulement cinq mois auparavant, le Climate United Fund. Voilà comment une même clique crée de pseudos ONG et les finance avec l’argent des contribuables, qui ira arroser entre autres ses politiciens. Et ce n’est qu’un cas parmi d’autres. On estime à plus de 20 milliards le coût de ces combines.

Dans son rapport pour la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée Nationale d’octobre 2024, Guillaume Bigot a montré que les mêmes délires avaient cours en France. Une Agence hors de contrôle, l’AFD, a levé 50 milliards d’euros pour les dépenser en projets baroques et dispendieux, tandis que les services publics s’en vont à vau-l’eau.

Virginie Joron nous apprend aussi que 75 ONG allemandes, sans compter des représentants de diocèse et des syndicats, ont écrit aux partis de gouvernement exigeant une réglementation plus stricte des plateformes américaines de médias sociaux. La lettre ouverte était adressée aux chefs de la CDU/CSU et du SPD. Parmi ces ONG, la plupart obscures, une association de conservation des baleines, Wikimédia et de multiples autres ONG dont personne n’a jamais entendu parler. Ces ONG se plaignent, écoutez bien, que X, Facebook ou Instagram encouragent les extrêmes. Comprenez l’extrême droite. Qu’elles mettent en danger la démocratie et que la soi-disant désinformation qui y est véhiculée empêche de prendre des mesures urgentes par exemple en matière climatique. On se demande d’abord ce que l’Eglise protestante et les syndicats viennent faire dans les affaires de climat. Depuis quand est-ce de leur ressort ? Quant à leur pseudo inquiétude sur la désinformation, ils feraient mieux de s’inquiéter de la propagande outrageuse des européistes allemands et de leurs mesures de censure inadmissibles contre lesquelles on ne les entend pas s’offusquer.

Maintenant, si on souhaite voir ces ONG en action, il faut se tourner vers la Serbie. Là-bas se déroule une révolte du peuple serbe que tente de récupérer l’Etat profond. Le président de Radio Courtoisie, Pierre-Alexandre Bouclay, a expliqué le 7 mars dernier comment le réseau Soros instrumentalisait le mouvement populaire pour le récupérer. Il s’agit d’un cas d’école très instructif. La plupart des ONG sur le terrain sont affiliées à la nébuleuse Soros et à son Open Society. Elles entretiennent de concert la contestation à des fins qui ne sont pas naturellement celles de ses instigateurs, en l’occurrence les étudiants et les paysans. Ce sont elles qui structurent le mouvement. Les manifestations populaires sont ainsi encadrées. Les pancartes sont payées par les ONG. Les relais médiatiques sont organisés par elles. Les services de presse également. Il y a une espèce de professionnalisation de ces manifestations spontanées qui est tout à fait surprenante parce que visiblement les Serbes sont toujours dans la rue mais la manière dont médiatiquement la chose est exploitée est aux mains de personnes qui savent comment faire. Elles ont encadré, pris en main les manifs et les détournent de leur juste cause. Là comme ailleurs, l’Open Society fait avancer son agenda progressiste. Des ONG expliquent aux manifestants comment échapper aux souffrances des gaz lacrymogènes mais aussi comment se comporter en cas d’arrestation, quels sont leurs droits etc. Tout un travail est fait pour structurer l’agitation. Le très mondialiste Guardian se vante même de documenter cette récupération.

En fait de philanthrope, comme l’a expliqué Elon Musk, « George Soros est une espèce de pirate. Il a compris comment pirater le système. Il a compris qu’il était possible d’utiliser une petite somme pour créer une organisation à but non lucratif, puis de faire pression sur les politiciens pour qu’ils envoient une tonne d’argent à cette organisation. Il est donc possible de faire un don de 10 millions de dollars à une de ces organisations, pour la créer et en faire une ONG d’un milliard de dollars. Et le gouvernement continue de la financer chaque année. L’ONG porte un nom qui sonne bien, comme l’Institut pour la paix ou quelque chose comme ça. Mais en réalité c’est une machine à corruption.» Sylvia Miami résume cette immense opération de racket dans les termes suivants : « Soros ne dépense pas son propre argent. Il investit stratégiquement [dans les ONG] pour prendre le contrôle du vôtre. Puis, à travers le gouvernement, il vous fait financer votre propre destruction. » C’est aussi simple que ça.

Musk lui-même a fait les frais d’opérations subversives téléguidées contre ses modèles Tesla. Des ONG vertes, derrière lesquelles se trouve une fois de plus le diable de Soros, ont ainsi organisé des manifestations « spontanées » (inutile de sourire) devant les Bureaux Tesla, au cri de « nous avons besoin d’air pur et pas d’un autre milliardaire ». Remarquez que le milliardaire Soros, lui, n’est pas dans le viseur de ces militants d’opérette. Il ne mérite pas le même traitement. Ou encore au cri de « Musk doit partir », mais pas Soros apparemment. Il faut dire que c’est lui qui les paye. Comme ses troupes sont violentes, on a pu déplorer des véhicules incendiés dans des salons d’exposition ou dans des stations de recharge en France et aux Etats-Unis. Sans compter les attaques au cocktail Molotov et les tirs de fusil. En Europe, les manifs sont coordonnées via un site web financé par le groupe ActBlue, le bailleur de fonds du Parti Démocrate. Ce Parti est décidément de toutes les manigances. ActBlue fait malgré tout l’objet d’une enquête. Seulement, si le juge a été acheté par Soros, vous vous doutez bien qu’elle n’aboutira pas.

Soros finance encore des ONG comme Destin commun, dont la directrice n’est autre que l’épouse du directeur de l’Arcom, afin d’imposer des migrants en zone rurale ou afin de préparer l’opinion à la guerre avec la Russie en réalisant un « sondage » paru dans Ouest France et faisant croire que 6 français sur 10 se prononçaient en faveur du rétablissement du service militaire. La ficelle est grosse, mais au point où ils en sont, ils ne mégotent plus !

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Une poignée de mains entre l'ambassadeur de France et le président de la Cour roumaine qui en dit long... Sinon quel besoin ces deux-là avaient-ils de se rencontrer ?

Nous connaissions déjà le rôle des ONG Soros dans la crise migratoire en Méditerranée. Nous connaissions aussi le contrôle qu’exercent les procureurs Soros aux Etats-Unis ou ses ONG à la CEDH. L’European Center for Law and Justice a rédigé un rapport en 2020 où il en apportait toutes les preuves devant la Commission européenne qui, bien sûr, a botté en touche. Mais la sorosphère est partie depuis longtemps à la conquête de nouveaux horizons, comme la Roumanie. Asselineau l’a évoqué dans une vidéo fin 2024. Ses ingérences dans l’élection présidentielle roumaine ne font pas l’ombre d’un doute. Et de manière bien plus significative que la supposée ingérence russe sur Tik-tok dont il a été démontré par Virginie Joron, au Parlement européen, qu’aucune preuve n’était venue étayer cette allégation. Or c’est sur cette accusation gratuite que la Cour constitutionnelle s’est basée pour annuler le premier tour de l’élection en décembre 2024 et barrer la route au candidat Georgescu, un nationaliste issu pourtant de l’establishment. On évoque aussi le fait que Soros aurait suborné la Cour à cette occasion. Le fils Soros en effet est arrivé en visite en Roumanie la veille de l’annulation des élections. Etrange, non ? L’ancien Premier ministre Adrian Nӑstase a reconnu que l’Etat roumain était sans équivoque sous l’influence du Département d’Etat américain et de George Soros. Quel meilleur témoin que lui ? La journaliste roumaine Iosefina Pascal confirme, de son côté, que Soros a bien ourdi en 2018 une révolution colorée pour renverser le gouvernement de l’époque. Selon elle, les manifestations ont alors été orchestrées par les ambassades, ses ONG et l’USAID. Mais, comme si les agents Soros ne suffisaient pas, Macron a aussi trempé dans la machination, ce que confirme encore Iosefina Pascal. Il a dépêché son ambassadeur à Bucarest pour rencontrer le président de la Cour et cela n’a pas été une visite protocolaire, on le devine. Ce fut dans le but de lui intimer l’ordre d’empêcher Georgescu de se présenter, si tant est que le président de la Cour n’en ait pas eu l’intention. En fait, vu les grandes chances qu’avait Georgescu de l’emporter en mai prochain comme en décembre dernier, l’UE n’a donc pas lésiné. Elle a choisi de bafouer le choix du peuple. « L’UE est aux abois, prévient Thierry Mariani. Depuis l’élection de Trump, elle a perdu son masque. Finie la façade démocratique, il ne lui reste plus que la force brute : censure, sanctions, répression. » Sur ordre, la Cour vient de rejeter la candidature de Georgescu et même son appel de cette décision. En langage clair, ça s’appelle un coup d’Etat. Et les putschistes se nomment Soros et Macron.¾

 

Photo d’illustration : Image générée avec Grok 3