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Les preuves jaillissent de toutes parts

Le 11/03/2023

Dans Actualités

En une semaine, deux bombes médiatiques ont explosé. L’une en Grande Bretagne et l’autre aux Etats-Unis. La première révélant toute la supercherie de l’opération psychologique étiquetée covid et la seconde dévoilant ce que les observateurs avisés savent de longue date, c’est-à-dire le fait que la présumée insurrection du 6 janvier 2021 au Capitole était un événement sous faux drapeau. Dans un état qui se prétend démocratique, on s’attendrait à ce que ces révélations fassent la une des gazettes et celle du 20 heures de toutes les chaînes. Mais encore une fois, nous ne sommes plus en démocratie dans ce pays, si nous ne l’avons jamais été. Que ce soit clair. Comme à l’accoutumée ou presque, les médias traditionnels observent un silence de plomb sur ces sujets sensibles.

Le cadenassage de l’information est on ne peut plus hermétique. Rien ne filtre. L’omission est de rigueur. On occupe le téléspectateur avec l’écume des jours. Le choix ne manque pas. La réforme des retraites constitue une matière suffisante pour faire diversion et ne pas avoir à masquer les bombes en question avec des broutilles, ce qui finirait par se voir.

Les liens incestueux entre les médias et le pouvoir ne datent pas d’hier hélas. Le film d’Yves Boisset l’Attentat, inspiré de l’affaire Ben Barka, montrait dès 1972 au combien les milieux d’affaires, la magistrature, les services secrets, le milieu politique, le grand banditisme et donc le milieu médiatique pouvaient être en cheville dans le but de projeter l’assassinat d’un homme politique encombrant. Ainsi voit-on au cours du film s’élaborer le traquenard qui doit amener la victime à Paris, où elle sera exécutée. L’homme politique en question est censé être venu dans la capitale pour participer à une émission sur l’une des chaînes de l’ORTF. Pour le mettre en confiance, le rédacteur en chef accepte ses conditions. Mais on apprend vite que le journaliste n’est qu’un agent des services de renseignement français impliqué jusqu’au cou dans l’attentat. Ne soyons donc pas naïfs. Jamais la presse n’a été vraiment indépendante. C’était déjà le cas il y a cinquante ans. Saura-t-on un jour combien d’affaires les médias ont étouffées pour ne pas désobliger le pouvoir. Le problème s’est posé même de l’autre côté de l’Atlantique. Trois ans après l’Attentat, Sydney Pollack dressait le même constat à l’issue de son film Les Trois Jours du Condor. Turner, un obscur agent de la CIA, se retrouve victime d’une cabale interne. Bien malgré lui, il est mêlé à un complot dont l’enjeu consiste à mettre la main sur un champ pétrolier au moyen orient. Sa vie étant en jeu, Turner décide de tout balancer au New York Times. Son supérieur, un certain Higgins, le met alors en garde : Etes-vous sûr qu’ils diffuseront votre histoire ? Laissant entendre que le New York Times était lui aussi soumis aux pressions de l’Agence aux grandes oreilles. Le film s’achève sans qu’on ait la réponse. La morale que j’en tire est la suivante. N’est-il pas étrange qu’il faille se tourner vers la fiction cinématographique pour nous rappeler à la réalité politique ? Comme si l’on n’osait pas regarder cette réalité en face.

Venons-en à la première bombe. Elle éclate le 4 mars 2023, à l’initiative du Telegraph qui divulgue des milliers d’échanges Whatsapp remontant à Noël 2020. Ces messages impliquent Boris Johnson et son ministre de la Santé au plus fort de la crise covid, Matt Hancock. La journaliste Isabel Oakeshott, à l’origine des révélations, n’a pas pu se taire. Elle se devait d’exposer ces courriels compromettants, explique-t-elle sur Skynews. « Pouvez-vous imaginer un journaliste digne de ce nom, ignorant de tels documents ? »  Cette mère de trois enfants ajoute : « Matt Hancock peut me menacer autant qu’il veut, les enfants de notre nation ne doivent plus jamais souffrir de cette façon ». On se demande bien au nom de quoi ce détestable personnage se permet de l’intimider ?

Manipulation virus

Mais qu’y a-t-il au juste dans ces messages ? Dans certains, Hancock ne se cache pas d’avoir usé de la peur et de la culpabilité pour imposer les confinements. Ses conversations transpirent le cynisme et l’aplomb. Dans d’autres, il se trahit : « Nous allons faire trembler tout le monde dans son pantalon avec le nouveau variant ». « Quand déployons-nous le nouveau variant ? » Si ce n’est pas là une terrible preuve ! Celle que le ministre cherchait à manipuler l’opinion en faisant croire à l’existence d’un nouveau variant pour mieux relancer la peur et renforcer les restrictions. Last but not least, il déclare encore que Bill Gates lui doit une fière chandelle pour avoir injecté autant de britanniques avec ses puces. Nouvelle preuve, cette fois, que les injections contiennent effectivement de la biotechnologie dont le but n’est en rien de prévenir d’un virus. Et que le ministre de la Santé le savait.

Hancock pourra toujours se justifier en prétendant qu’il plaisantait. Cependant il ne semblait pas plaisanter en venant affoler ses concitoyens à la télévision comme le montre de manière suggestive la photo ci-dessous.

Hancock la peur
Matt hancock isabel oakeshott

A gauche Matt Hancock dans son numéro d'effrayer la population et à droite aux côtés d'Isabel Oakeshott

L’affaire ébranle tant le public de l’autre côté du Channel que le Telegraph en appelle maintenant à l’arrestation de Matt Hancock pour les crimes commis durant son mandat de ministre. C’est une étape décisive, car elle provient d’un média mainstream. A quand Véran poursuivi par LCI ! En Angleterre, certains médias de masse retournent leur veste et décident de faire leur métier, se libérant du coup de la férule oligarchique. Il sera intéressant de voir si ce domino en tombant va en entraîner d’autres.

La seconde bombe a explosé outre Atlantique, le nouveau président de la Chambre, Kevin McCarthy, ayant confié à Foxnews les 40 000 heures de vidéo surveillance tournées le 6 janvier 2021 au Capitole. Avant lui, la démocrate Nancy Pelosi, avait interdit la diffusion de ces images. S’il y avait bien eu insurrection, comme elle l’affirmait, pourquoi avoir fait obstruction ? On connait maintenant la réponse. Pour cacher les preuves de la manipulation à laquelle tous les démocrates se sont prêtés. Et ces preuves nous sont parvenues grâce à ces vidéos des caméras de surveillance.

Stanislas Berton a résumé sur Sud Radio les faits indiscutables qui s’en dégagent : « […] on voit qu’il y a quelques hooligans qui cassent un petit peu, mais la majorité des gens rentre dans le bâtiment, se promène, fait des selfies. C’est très paisible. C’est une ambiance bon enfant. » Il passe ensuite au cas du fameux chaman dans son accoutrement bigarré. Il s’agit de Jacob Chansley. « […] dans les vidéos on voit cet homme (qui a pris 4 ans de prison pour participation à cet événement) qui rentre tout tranquillement dans le Capitole. Il salue les policiers. Les policiers l’escortent et très gentiment l’amènent jusqu’à la Chambre du Sénat où là il sera pris en photo en train de hurler […] mais avant de faire ça, il fait une prière pour remercier les policiers. » A aucun moment, tout au long de sa déambulation, les policiers ne font mine de vouloir l’arrêter. S’il avait été un dangereux activiste, pourquoi la police ne l’a-t-elle pas intercepté ? D’autant plus qu’il n’était pas armé. Ils se sont comportés envers lui plutôt comme des alliés. Voire comme des guides touristiques, pour reprendre l’expression de Tucker Carlson. Il faut dire que nombre de policiers avaient déjà incité la foule des manifestants à s’introduire dans l’enceinte du Capitole en ouvrant portes et barrières. Ce fut le cas de l’agent provocateur Ray Heps. Mais Heps n’a jamais été poursuivi par le FBI malgré ses sms révélateurs et ses mensonges avérés. Des vidéos de témoins diffusées sur les réseaux sociaux ont attesté depuis le premier jour de ces actes incitatifs. Depuis le premier jour, il était évident que le narratif démocrate n’était qu’une fable.

J6 chaman
J6 trumpistes antifas

A gauche le fameux chaman libre de ses mouvements au Capitole et à droite des trumpistes empêchant des antifas de les noyauter

Les démocrates ont politisé sciemment l’affaire, l’ont déformée et l’ont amplifiée à travers leurs médias. Pourtant il y avait eu d’autres intrusions bien plus violentes, les années précédentes, sous la houlette des antifas. Des envahissements de lieux aussi symboliques, qui n’ont pas soulevé la moindre répression des autorités ni la moindre condamnation des médias.

La preuve par l’image démontre que le J6 fut un nouvel incendie du Reichstag, une insurrection sous faux drapeau, comme sait très bien l’orchestrer l’Etat profond. Pour avoir les mains libres et manipuler l’opinion il fallait que leurs agents (FBI, policiers soudoyés, gauchistes, petites frappes…) puissent agir à leur guise. C’est pourquoi Pelosi et les siens avaient refusé quelques jours auparavant la requête de Trump de mobiliser la Garde Nationale. On comprend mieux ce refus, s’ils nourrissaient l’idée de fomenter une fausse insurrection, censée être attribuée à Trump et à ses partisans. S’ils avaient craint en toute innocence une telle émeute, pourquoi ne pas avoir répondu positivement à la demande de Trump ? Tout avait été prémédité pour faire porter le chapeau à leur ennemi mortel. D’ailleurs ceci est si vrai que l’on dispose depuis deux ans de vidéos éloquentes. Dans un cas il s’agit d’antifas tout de noir vêtus en train de se travestir en partisans de Trump pour aller commettre des déprédations. Dans un autre, c’est un individu masqué portant une oreillette qui est surpris en train de briser une fenêtre du Capitole alors qu’un authentique partisan de Trump, qui tente sans violence de l’en empêcher, se fait repousser brutalement. Etait-ce un antifa comme Jake Sullivan ou un agent fédéral ? Avec qui était-il en communication et quels ordres a-t-il reçu ? L’avenir le dira peut-être. En attendant, les patriotes ont entre les mains assez de preuves pour que l’Histoire ne fasse plus l’impasse sur leurs mensonges et leurs menées.

J6 antifas deguises
J6 un agent provocateur

A gauche des antifas troquant leurs frusques noires contre des habits aux couleurs trumpistes et à droite un agent provocateur brisant une fenêtre du Capitole

Tucker Carlson a également réfuté le discours trompeur de la commission partisane du J6, dont l’unique objectif était de déclencher une chasse aux sorcières pour écarter définitivement Trump de la Maison Blanche. Circonstance aggravante, une vidéo mise en avant par la commission s’est avérée avoir été trafiquée. Quand les images parlent contre eux, s’ils ne les effacent pas, ils les falsifient.

Pour montrer la prétendue sauvagerie des trumpistes, les médias comme Paris Match avaient soutenu que le policier Brian Sicknick avait été « tué par des supporters de Trump ». Manque de chance, Paris Match affabulait. Les vidéos là encore démentent la version officielle. Le type se promenait, après l’heure supposée de sa mort, en bonne santé autour du Capitole. Ce n’est que le lendemain qu’il décèdera d’une attaque, comme le confirmera l’autopsie. J’ignore si Paris Match a fait un correctif pour revenir sur ses allégations mensongères d’alors. M’est avis qu’il n’en a rien été.

Devant ces vidéos ravageuses, la canaille de Chuck Schumer n’a eu d’autre réaction que celle d’en appeler au magnat de  la presse Rupert Murdoch pour tenter de censurer Tucker Carlson. Voilà tout ce que leur inspirent ces vidéos accablantes. Pensez-vous qu’ils feront un jour amende honorable ? Bien sûr que non. Ils maniganceront jusqu’à leur dernier souffle en menteurs impénitents et en comploteurs compulsifs qu’ils n’ont jamais cessé d’être. Au contraire, le républicain Andy Biggs a demandé que toutes les vidéos de surveillance soient rendues publiques et que la transparence fasse un sort aux bobards qui ont été colportés sans preuve par les démocrates. Le speaker McCarthy a annoncé qu’il allait s’exécuter.

L’accumulation des preuves arrive à un point de saturation. Tant en ce qui concerne l’arnaque covid que la fausse émeute du 6 janvier. Les peuples éveillés qui le savent sont en ébullition. Leurs médias, du moins certains, commencent à laisser fuiter les vérités. Alors on est en droit de se poser la question : quand la brèche va-t-elle être si béante que l’édifice du mensonge va s’écrouler ? Partout et sur tous les sujets, leur discours prend l’eau. Ils sont acculés. Des cris de joie et d’espérance se lèveront cependant, lorsque le courant finira par les emporter ad patres. Ce sera de nouveau le jour de la libération.¾

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