Le covid s’essouffle. On le constate au pourcentage en chute libre des troisièmes injections en France comme aux Etats-Unis ou en Australie. L’étau s’est desserré un temps. La guerre en Ukraine a pris le relais, fomentée par l’Etat profond. Mais, actuellement c’est la déroute pour ce dernier. Un jour, qui sait, on dira qu’Azovstal fut leur Stalingrad. Alors, comme le souligne si justement l’avocat Reiner Fuellmich, à défaut d’une meilleure phobie, ils reproduisent ce qui n’a au fond pas si mal fonctionné, une nouvelle épidémie, un corona 2.0. Ils se singent eux-mêmes. Pour en arriver là, c’est qu’ils sont à court d’idées et qu’il y a affolement de leur part. Du reste, les prises de paroles récentes de Soros ou d’Attali en témoignent. L’un craint l’effondrement de la civilisation face à la Russie, et l’autre le retour de Trump à la Maison Blanche. Ce qui nous vaut des messages délirants de leur part. La panique les gagne donc et c’est pourquoi ils nous rejouent l’air de la pandémie en guise de refrain. Rien n’avait autant impressionné les peuples qu’ils tiennent à maintenir sous leur coupe. L’ennui est que le tempo est plus rapide, presque endiablé. Le rythme est trop précipité pour ne pas éveiller les doutes, à l’image de l’orchestre du Titanic contraint d’accélérer son ultime morceau en s’apercevant que le naufrage du paquebot est imminent.
La maladie de la variole du singe est très rare et a été rarement vue en dehors de l’Afrique, encore moins dans plusieurs pays hors d’Afrique. D’après Robert Malone, rien de nouveau. Il y a eu un départ de variole du singe aux USA en 2003. Des cas, mais pas de morts. Ce qui fait dire à certains qu’il est très étrange de voir des cas apparaître essentiellement dans les pays où on a vacciné beaucoup contre le covid, comme par hasard. Il est fort à parier que ce sont ces injections qui en sont responsables et non une nouvelle épidémie aussi factice que la précédente. C’est l’avis à peine voilé de Peter Mc Cullough. Les symptômes du monkeypox pourraient être ceux qui apparaissent après voir pris un vaccin, pense-t-il. Le lanceur d’alerte chinois Miles Guo l’affirme carrément : « La variole du singe n’est qu’une excuse ! […] Les éruptions cutanées sont les conséquences des vaccins Covid ! » En fait, il se pourrait que les vaccins covid 19, en provoquant le syndrome d’immunodéficience acquise, engendrent ce type de réactions cutanées.
De l’aveu même de Pfizer qui a communiqué la longue, très longue liste des effets secondaires de son vaccin covid, on trouve le zona. Or, c’est peut-être bien pour couvrir ces effets très répandus qu’on prétend maintenant qu’il s’agit de ceux de la variole du singe. Tout comme on a décrété des morts à cause du covid, tandis qu’ils étaient morts d’une tout autre cause. La confusion reste la meilleure des dissimulations.