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Les bioterroristes en action

Le 29/05/2022

Dans Actualités

On prête à Eleanor Roosevelt, l’épouse du président Franklin Delano Roosevelt, la citation suivante : « Si quelqu’un vous trahit une fois, c’est sa faute. S’il vous trahit deux fois, c’est la vôtre ». On nous a fait le coup du covid, et nous avons mis un certain temps à comprendre le subterfuge. Mais nous avions des circonstances atténuantes. Au point que certains n’ont toujours pas compris. Passons. Cette fois, rebelote, gare à la variole du singe ! Monkeypox, en anglais.

On dirait le nom d’une danse à la mode dans les années 20. Après le foxtrot, le monkeypox. Le mondialisme fait dans le grand-guignol. Pourquoi pas. D’aucuns marcheront. Pour eux, la citation Eleanor Roosevelt résonne comme un sérieux avertissement.

Une réflexion m’est venue en visionnant une capsule de la chaine youtube L’investisseur africain. L’intervenant rappelle d’abord quels sont les comploteurs. Puis ce qu’il pense de cette nouvelle farce, la variole du singe. Il souligne la mégalomanie de la caste, bien blanche remarque-t-il au passage, celle des Gates, Soros, Schwab, et ses contradictions. Une caste qui déblatère contre le mâle blanc raciste à longueur d’année et qui n’a jamais été aussi addicte au métissage. Toutefois elle se garde bien de suivre ses propres préceptes, à examiner sa composition.

Elle nous a conté dans un premier temps la fable du Pangolin et de la Chauve-souris, dénigrant ainsi une certaine Asie et ses marchés. Et maintenant, la caste en remet une couche avec le Monkeypox. Cette fois, c’est la fable du Singe. A quand celle du Fox à poil dur ? Même si on dénombre a priori quelques cas en Europe et aux Etats-Unis, mais délibérément c’est l’Afrique noire qui est visée à nouveau avec ses singes comme réservoir de maladies. Peut-être parce que la variole du singe est apparue pour la première fois en République démocratique du Congo en 1970. Souvenez-vous aussi de l’origine géographique du VIH. L’Afrique se sent souvent accusée implicitement. Le Courrier du Soir rapporte que la stratégie de la peur exaspère les scientifiques africains, qui siègent au Bureau CDC Africa. S’adressant aux médias occidentaux, ils ont bien insisté sur le fait que de leur côté ils avaient « traité la variole du singe sans créer la panique ». Ne trouvez-vous pas que pour une prétendue élite, fière de son progressisme, celle-ci est passablement raciste en choisissant de mettre toujours en cause, dans sa trame narrative, l’étranger et qu’elle ne manifeste aucune empathie envers l’animal, systématiquement considéré comme un vecteur de maladies. La bête a bon dos avec eux.

Cdc africa variole du singe

Membres du CDC Africa

Venons-en maintenant à cette nouvelle histoire encore cousue de fil blanc, cette variole du singe, bien que je n’aie aucune envie de l’aborder, tellement elle a tout du copier-coller de la précédente : prédiction à la Nostradamus, diagnostic foireux, test PCR qui ne l’est pas moins, traitement soi-disant inexistant (on sait que la prise d’antibiotique guérit de la variole du singe) et bien entendu vaccin déjà empaqueté, prêt à la livraison. Le tout à la vitesse de la lumière, puisque on apprend qu’ils sont dans les starting-blocks. Ils ont déjà les vaccins. Fauci a financé leur fabrication depuis les années 2000. Ou bien ils recycleront la même mixture que celle appelée à tort vaccin anticovid, pour continuer à servir leurs buts obscurs. Seule l’étiquette changera. C’est tout bénef et le sieur Bancel, après avoir pleurniché à Davos sur ses millions de doses invendues, pourra nous les refourguer.

Monkeypox virus

Le covid s’essouffle. On le constate au pourcentage en chute libre des troisièmes injections en France comme aux Etats-Unis ou en Australie. L’étau s’est desserré un temps. La guerre en Ukraine a pris le relais, fomentée par l’Etat profond. Mais, actuellement c’est la déroute pour ce dernier. Un jour, qui sait, on dira qu’Azovstal fut leur Stalingrad. Alors, comme le souligne si justement l’avocat Reiner Fuellmich, à défaut d’une meilleure phobie, ils reproduisent ce qui n’a au fond pas si mal fonctionné, une nouvelle épidémie, un corona 2.0. Ils se singent eux-mêmes. Pour en arriver là, c’est qu’ils sont à court d’idées et qu’il y a affolement de leur part. Du reste, les prises de paroles récentes de Soros ou d’Attali en témoignent. L’un craint l’effondrement de la civilisation face à la Russie, et l’autre le retour de Trump à la Maison Blanche. Ce qui nous vaut des messages délirants de leur part. La panique les gagne donc et c’est pourquoi ils nous rejouent l’air de la pandémie en guise de refrain. Rien n’avait autant impressionné les peuples qu’ils tiennent à maintenir sous leur coupe. L’ennui est que le tempo est plus rapide, presque endiablé. Le rythme est trop précipité pour ne pas éveiller les doutes, à l’image de l’orchestre du Titanic contraint d’accélérer son ultime morceau en s’apercevant que le naufrage du paquebot est imminent.

La maladie de la variole du singe est très rare et a été rarement vue en dehors de l’Afrique, encore moins dans plusieurs pays hors d’Afrique. D’après Robert Malone, rien de nouveau. Il y a eu un départ de variole du singe aux USA en 2003. Des cas, mais pas de morts. Ce qui fait dire à certains qu’il est très étrange de voir des cas apparaître essentiellement dans les pays où on a vacciné beaucoup contre le covid, comme par hasard. Il est fort à parier que ce sont ces injections qui en sont responsables et non une nouvelle épidémie aussi factice que la précédente. C’est l’avis à peine voilé de Peter Mc Cullough. Les symptômes du monkeypox pourraient être ceux qui apparaissent après voir pris un vaccin, pense-t-il. Le lanceur d’alerte chinois Miles Guo l’affirme carrément : « La variole du singe n’est qu’une excuse ! […] Les éruptions cutanées sont les conséquences des vaccins Covid ! » En fait, il se pourrait que les vaccins covid 19, en provoquant le syndrome d’immunodéficience acquise, engendrent ce type de réactions cutanées.

De l’aveu même de Pfizer qui a communiqué la longue, très longue liste des effets secondaires de son vaccin covid, on trouve le zona. Or, c’est peut-être bien pour couvrir ces effets très répandus qu’on prétend maintenant qu’il s’agit de ceux de la variole du singe. Tout comme on a décrété des morts à cause du covid, tandis qu’ils étaient morts d’une tout autre cause. La confusion reste la meilleure des dissimulations.

Monkeypox zona

Quand la même photo illustrant le zona est recyclée pour la variole du singe

Bill Gates l’avait même prophétisé ! Et avait poussé ses vaccins sous prétexte de biosécurité, si ce virus devait être lâché par des bioterroristes. Une simulation internationale, qui s’est tenue en 2021, a prédit une épidémie de monkeypox, allant jusqu’à imaginer sa date de lancement, le 15 mai 2022 ! Ces gens-là sont tous devins. Tout rapprochement avec l’Event 201 ne serait que pure coïncidence. Ici la Nuclear Threat Initiative de Ted Turner l’a organisée, à laquelle ont participé la fondation Bill et Melinda Gates ainsi que l’OMS et Big Pharma. Autrement dit la même bande de nuisibles. Le problème est que les bioterroristes ce sont eux ! Et à leur tête, le Ben Laden du bioterrorisme, Bill Gates, jamais à court de virus et de vaccins pour terroriser son prochain.

J’apostrophe maintenant les endormis devant leur poste de télévision. N’en avez-vous pas assez d’être pris pour les cibles d’un jeu de fléchettes où les joueurs sont visiblement des détraqués avec leurs seringues à la main en guise de fléchettes ? N’en avez-vous pas assez de ces fables ubuesques qu’on donne à vos dépends ? ¾

 

Photo d'illustration : Test PCR de la variole du singe (Crédit : Dado Ruvic / Reuters)

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