Vous me direz : mais alors pourquoi cette caste est-elle si attachée à l’abolition de la peine de mort, si Macron tient tant à nous occire ? Pourquoi ce paradoxe ? Un paradoxe, en apparence seulement. Eh bien, comme toujours, sous couvert d’humanisme, leurs directives cachent en fait de noirs desseins. Ici la loi d’abolition de la peine de mort, qui, rappelons-le, allait à l’encontre de l’avis des français, dissimulait de la part de la caste le fait de vouloir éviter la peine capitale, si un jour l’un de ses membres tombait pour des crimes impardonnables. La mort récente de Badinter, le père de cette abolition, a été l’occasion de revenir sur le personnage trouble qu’il fut. Pour ce soi-disant grand pénaliste, la vie du criminel Patrick Henry, assassin d’enfant, à qui il évita la peine de mort, valait plus que celle de sa petite victime, au point de vouloir le laisser en vie et lui permettre de réaliser d’autres crimes, une fois remis en liberté. Ce qui ne manqua pas d’arriver. Mais au-delà, il est à parier que la caste a tenu à cette loi, pour protéger les siens des risques d’être exécutés. Je pense à ses nombreux pédophiles, qui tentèrent de légaliser leur perversité dans la décennie qui précéda l’abolition.
N’épiloguons pas trop sur la réforme des retraites tant défendue par Macron, quitte à déclencher des mouvements sociaux incontrôlables. En effet, en repoussant l’âge de la retraite, il devenait évident qu’il diminuerait l’espérance de vie dans un proche avenir, avec comme conséquence une moisson de morts prématurées. Pour le présent, elle a déjà diminué, mais pour une autre raison. Une étude du Lancet, dont je ne crois pas que les macroniens se défient, a montré que l’espérance de vie dans le monde avait décru de plus d’un an et demi à cause du covid. Or, comme c’est en occident qu’il a étrangement été le plus virulent, la France doit être concernée. D’après l’INSEE, nous n’avons jamais connu autant de décès qu’en 2022 et aussi peu de naissances. Il y a eu un décrochage flagrant de la natalité et de la mortalité en 2021 et 2022. Mais l’Etat se garde bien de confirmer et encore plus de donner les causes de ce surcroit de décès. Est-ce vraiment le virus ou plutôt la vaccination ainsi que la sédation par rivotril ? Pour ne pas avoir à se poser la question, l’étude du Lancet a porté sur la période 2019-2021, faisant passer les morts par sédation pour des morts covid. Une entourloupe de plus. Mais le fait est là, l’opération covid leur a permis d’« améliorer » la surmortalité. Et Macron y a été un acteur actif et zélé.
A toutes les étapes de la vie des hommes, Macron et les siens se sont échinés à faucher des vies. « Aux USA, nous révèle AuBonTouiteFrançais, on parle culture de la mort concernant Macron après l’inscription de l’avortement dans la constitution et sa prise de position dans la foulée en faveur de l’euthanasie et du suicide assisté… ». L’inscription de l’avortement dans la constitution n’est que de la poudre aux yeux de la part de Macron, sans jeu de mots. Y a-t-il une seule voix audible qui se soit élevée contre l’avortement et qui nécessitât cette précaution ? Le thème de l’avortement reste semé d’embûches néanmoins. Ils le savent et l’ont toujours promu en se donnant le beau rôle, celui d’émanciper de la femme. A vrai dire, leur objectif était moins altruiste que scélérat. Encore une fois l’argument de laisser la femme choisir pouvait partir d’un bon sentiment, mais il en a abusé plus d’un ou une. Ces roublards n’ont que faire du sort des femmes, ni d’ailleurs de celui des hommes. Leur propension à défendre l’avortement découle de leur vénération de la mort. Etre pour l’avortement, les yeux fermés, c‘est-à-dire jusqu’à neuf mois de grossesse, naissance comprise, c’est associer définitivement le choix de mort des nouveaux nés au choix légitime des femmes. Autrement dit, c‘est se faire complice d’un assassinat sans l’ombre d’un doute.
Si mon corps mon choix avait été un argument et non uniquement un slogan progressiste, alors il aurait revêtu une valeur universelle et se serait appliqué dans le cas des « antivax ». Eux aussi auraient dû disposer de leur libre choix de ne pas se faire injecter dans le corps des substances suspectes. Mais ce libre choix de disposer de leur corps ne leur a pas été accordé par ceux-là mêmes qui l’avancent à tout bout de champ, notamment à propos de l’avortement. Car, du point de vue de ces derniers, plus il y a d’avortements, moins on comptera de naissances. Et le culte de la mort sera rassasié. Faire ripaille de morts passe aussi par le stade fœtus. Que les féministes remballent leurs cris, je n’irai pas remettre en cause la loi Veil, mais j’ai toujours voulu qu’on réfléchisse tous à ce qu’on fait. Par quelque bout que l’on prenne les choses, faire mourir des nouveaux nés, et c’est bien ce qu’on fait lorsqu’on veut prolonger l’avortement jusqu’au terme des neuf mois, comme le préconisent beaucoup d’idiots utiles du mondialisme, me semble une abomination dont nous paierons le prix tôt ou tard. Ce sera mérité alors.
Avec sa politique de grande faucheuse, qui Macron n’a-t-il pas visé ? Il s’est également attaqué aux enfants, aux adolescents et aux jeunes adultes. En favorisant les conditions du mal-être des jeunes, qui sont par nature dans une phase de fragilité de l’existence, il connaissait les conséquences. Rebondissant sur un article de Marianne, Stanislas Berton a écrit à se sujet : « Quatre ans après le premier confinement, l’état de santé mentale des Français est catastrophique : symptômes dépressifs (41% des étudiants), idées suicidaires et surtout explosion des troubles chez les enfants ».