Le petit faucheur

Le 19/03/2024

Dans Actualités

En quelques jours, Macron a prêché la mort pour les français avec obsession. Il a fait feu de tout bois, battant le rappel de tous les moyens de réduire leur nombre. Une performance sans antécédent de la part de notre pire ennemi. Alors, comment faire chuter la démographie d’un pays ? Encourager la baisse des naissances, opérer une saignée dans les jeunes générations en incitant à la guerre, se débarrasser des malades en les invitant à mourir, se débarrasser des vieux dans une pandémie en les rivotrilisant, alimenter une ambiance malsaine pour mieux susciter l’envie de quitter ce monde et accepter une euthanasie, créer les conditions d’une vaccination pour mieux injecter à toute la population des liqueurs toxiques qui feront leur œuvre macabre dans le temps, promouvoir la destruction de la famille et de la dualité homme-femme par le transgenrisme, inciter à l’homosexualité, à l’avortement pour les unes et à la vasectomie pour les autres, de façon à freiner la procréation autant que faire se peut. Tout cela fait partie de son bilan ou de ses annonces.

Si, avec ces mesures tous azimuts, le cheptel humain ne s’effondre pas, c’est à désespérer d’agir en bon mondialiste. Vous penserez peut-être que c’est leur faire un procès d’intention. Mais y a-t-il dans l’actualité macronienne des mesures positives, encourageantes, pleines de promesses ? Par exemple l’aide sociale accrue, la hausse des subventions pour l’hôpital, des aides à mieux vivre, à vivre tout court, comme dirait Ségolène Royal, des lois optimistes, utopistes, la création d’un ministère du temps libre ou de la joie de vivre ? Ce dernier était sorti de l’imagination de Frédérique Hébrard et de Louis Velle dans La Demoiselle d’Avignon, à une époque de croissance et d’insouciance, durant les trente glorieuses. Non, rien de tout cela dans la bouche de notre Badinguet allant en guerre. Il l’a lui-même claironné : « C’est la fin de l’insouciance ». Rien d’autre que la mort ! La mort de son pays, de sa nation et la mort de ses habitants, pour le plus grand bonheur de sa caste d’ultra-nantis apatrides. La mort comme programme politique. La mort comme seule perspective.

C’est en reliant ces diverses mesures lancées par Macron à la cantonade que l’on peut discerner le tableau d’ensemble ainsi que les sinistres objectifs qui les sous-tendent.

Le machiavélisme de Macron et de sa généreuse aide à mourir en a consterné et attristé plus d’un, même parmi les soignants qui ont déjà avalé bien des couleuvres. Celle-ci n’a pas eu l’air de passer. Donner la mort n’est pas un soin, ont-ils répliqué à Macron et à ses annonces sur sa loi de fin de vie. Comme le montre cette affiche de propagande détournée, le travail jusqu’à 70 ans après quoi il sera temps de proposer aux humains de quitter la scène. Au début on s’adressera aux malades. Le projet de loi offre aux personnes âgées gravement atteintes le droit de se suicider. Comme si les candidats au suicide avaient besoin d’un agrément ! Elles n’auront qu’à montrer qu’elles sont pleinement conscientes de leur décision. Altruiste, le Macron ! Pas assez toutefois pour aller jusqu’à financer le développement de traitements pour elles ou le rétablissement de nos hôpitaux. Comme le dit un internaute, « Quand t’as défoncé l’hôpital et que tu n’es plus capable de soigner les gens correctement, alors tu leur proposes de crever. La logique macroniste. » Puis très vite vous verrez que cela concernera tout le monde au-delà d’un certain âge, âge qui lui-même ira en s’abaissant jusqu’à atteindre l’âge de la retraite. La merveilleuse algèbre de la mort !

Vous me direz : mais alors pourquoi cette caste est-elle si attachée à l’abolition de la peine de mort, si Macron tient tant à nous occire ? Pourquoi ce paradoxe ? Un paradoxe, en apparence seulement. Eh bien, comme toujours, sous couvert d’humanisme, leurs directives cachent en fait de noirs desseins. Ici la loi d’abolition de la peine de mort, qui, rappelons-le, allait à l’encontre de l’avis des français, dissimulait de la part de la caste le fait de vouloir éviter la peine capitale, si un jour l’un de ses membres tombait pour des crimes impardonnables. La mort récente de Badinter, le père de cette abolition, a été l’occasion de revenir sur le personnage trouble qu’il fut. Pour ce soi-disant grand pénaliste, la vie du criminel Patrick Henry, assassin d’enfant, à qui il évita la peine de mort, valait plus que celle de sa petite victime, au point de vouloir le laisser en vie et lui permettre de réaliser d’autres crimes, une fois remis en liberté. Ce qui ne manqua pas d’arriver. Mais au-delà, il est à parier que la caste a tenu à cette loi, pour protéger les siens des risques d’être exécutés. Je pense à ses nombreux pédophiles, qui tentèrent de légaliser leur perversité dans la décennie qui précéda l’abolition.

N’épiloguons pas trop sur la réforme des retraites tant défendue par Macron, quitte à déclencher des mouvements sociaux incontrôlables. En effet, en repoussant l’âge de la retraite, il devenait évident qu’il diminuerait l’espérance de vie dans un proche avenir, avec comme conséquence une moisson de morts prématurées. Pour le présent, elle a déjà diminué, mais pour une autre raison. Une étude du Lancet, dont je ne crois pas que les macroniens se défient, a montré que l’espérance de vie dans le monde avait décru de plus d’un an et demi à cause du covid. Or, comme c’est en occident qu’il a étrangement été le plus virulent, la France doit être concernée. D’après l’INSEE, nous n’avons jamais connu autant de décès qu’en 2022 et aussi peu de naissances. Il y a eu un décrochage flagrant de la natalité et de la mortalité en 2021 et 2022. Mais l’Etat se garde bien de confirmer et encore plus de donner les causes de ce surcroit de décès. Est-ce vraiment le virus ou plutôt la vaccination ainsi que la sédation par rivotril ? Pour ne pas avoir à se poser la question, l’étude du Lancet a porté sur la période 2019-2021, faisant passer les morts par sédation pour des morts covid. Une entourloupe de plus. Mais le fait est là, l’opération covid leur a permis d’« améliorer » la surmortalité. Et Macron y a été un acteur actif et zélé.

A toutes les étapes de la vie des hommes, Macron et les siens se sont échinés à faucher des vies. « Aux USA, nous révèle AuBonTouiteFrançais, on parle culture de la mort concernant Macron après l’inscription de l’avortement dans la constitution et sa prise de position dans la foulée en faveur de l’euthanasie et du suicide assisté… ». L’inscription de l’avortement dans la constitution n’est que de la poudre aux yeux de la part de Macron, sans jeu de mots. Y a-t-il une seule voix audible qui se soit élevée contre l’avortement et qui nécessitât cette précaution ? Le thème de l’avortement reste semé d’embûches néanmoins. Ils le savent et l’ont toujours promu en se donnant le beau rôle, celui d’émanciper de la femme. A vrai dire, leur objectif était moins altruiste que scélérat. Encore une fois l’argument de laisser la femme choisir pouvait partir d’un bon sentiment, mais il en a abusé plus d’un ou une. Ces roublards n’ont que faire du sort des femmes, ni d’ailleurs de celui des hommes. Leur propension à défendre l’avortement découle de leur vénération de la mort. Etre pour l’avortement, les yeux fermés, c‘est-à-dire jusqu’à neuf mois de grossesse, naissance comprise, c’est associer définitivement le choix de mort des nouveaux nés au choix légitime des femmes. Autrement dit, c‘est se faire complice d’un assassinat sans l’ombre d’un doute.

Si mon corps mon choix avait été un argument et non uniquement un slogan progressiste, alors il aurait revêtu une valeur universelle et se serait appliqué dans le cas des « antivax ». Eux aussi auraient dû disposer de leur libre choix de ne pas se faire injecter dans le corps des substances suspectes. Mais ce libre choix de disposer de leur corps ne leur a pas été accordé par ceux-là mêmes qui l’avancent à tout bout de champ, notamment à propos de l’avortement. Car, du point de vue de ces derniers, plus il y a d’avortements, moins on comptera de naissances. Et le culte de la mort sera rassasié. Faire ripaille de morts passe aussi par le stade fœtus. Que les féministes remballent leurs cris, je n’irai pas remettre en cause la loi Veil, mais j’ai toujours voulu qu’on réfléchisse tous à ce qu’on fait. Par quelque bout que l’on prenne les choses, faire mourir des nouveaux nés, et c’est bien ce qu’on fait lorsqu’on veut prolonger l’avortement jusqu’au terme des neuf mois, comme le préconisent beaucoup d’idiots utiles du mondialisme, me semble une abomination dont nous paierons le prix tôt ou tard. Ce sera mérité alors.

Avec sa politique de grande faucheuse, qui Macron n’a-t-il pas visé ? Il s’est également attaqué aux enfants, aux adolescents et aux jeunes adultes. En favorisant les conditions du mal-être des jeunes, qui sont par nature dans une phase de fragilité de l’existence, il connaissait les conséquences. Rebondissant sur un article de Marianne, Stanislas Berton a écrit à se sujet : « Quatre ans après le premier confinement, l’état de santé mentale des Français est catastrophique : symptômes dépressifs (41% des étudiants), idées suicidaires et surtout explosion des troubles chez les enfants ».

Screenshot 20240315 090320 youtube

Quant à sa soif de guerroyer, ou plutôt d’envoyer les français le faire sans lui-même courir le moindre risque, elle ruisselle de ses discours et de ses risibles airs martiaux. Le Monde rapporte les paroles suivantes prononcées le 21 février à l’Elysée en petit comité par le maître des lieux, un verre de whisky à la main et l’air dégagé : « De toute façon, dans l’année qui vient, je vais envoyer des mecs à Odessa ». Notez qu’il n’enverra pas des soldats mais des mecs. Cette chair à canon ne mérite même pas pour lui le qualificatif de militaire. Non. Ce sont des mecs, de la piétaille quoi, des sous-hommes dont il fera ripaille de la mort. Ce degré de cynisme et de désinvolture est effarant. Ce seul mot en dit long. Que pèse pour lui la mort de ses subordonnés !

En guise de préambule à cette guerre tant appelée de ses vœux, la fragmentation du corps social désirée par le mondialisme et mise en œuvre à travers le grand remplacement a suscité dans nos pays les prémices d’une autre forme de guerre, la guerre civile. Ce climat de guerre larvée, on s’en rend compte, a été entretenu de longue date. On en voit aussi les effets, par exemple dans la libanisation de la France, avec la montée des antagonismes culturels et cultuels, sans parler de la délinquance de plus en plus violente d’un lumpen prolétariat face à un Le Pen électorat.

Cet appel à la brutalité chez le squatteur de l’Elysée a aussi pour effet de se transmettre. N’avons-nous pas tous, peu ou prou, réprimé des « envies de violence pure et débridée » envers lui, selon l’expression d’AuBonTouiteFrançais ? Seulement nous savons nous contrôler. Certains iraient cependant plus loin dans leur détestation de Macron. Ils l’expriment ouvertement aujourd’hui. Des exemples, j’en ai eus à la pelle, ces jours-ci. Je n’évoquerai que le dernier en date. Non loin de la personne qui m’a rapporté l’anecdote, se tiennent deux nounous en grande discussion, un œil sur la progéniture dont elles ont la charge. Des nounous, autrement dit des âmes bienveillantes par nature sinon par devoir. L’une d’elles parle de la promesse de Macron de plonger dans la scène, une fois le fleuve assaini à l’occasion des JO. Et la nourrice de poursuivre qu’à ce moment-là on devrait relâcher dans son sillage un requin. La seconde n’est pas de reste, qui surenchérit avec délectation en suggérant d’y déverser plutôt une bande de piranhas. J’ajouterais qu’il y serait parmi les siens.¾

Macron Covid Guerre Euthanasie Avortement