Cet ancien éditorialiste mainstream en a fini avec la langue de bois. S’il se polarise essentiellement sur les événements majeurs qui frappent la planète, c’est pour mieux dévoiler des influences insoupçonnées jusqu’ici. Et, somme toute, nous vivons des événements si insolites et si inexplicables que je me pose parfois la même question. Et si nous étions sous une ténébreuse influence ? A suivre Tucker Carlson, la poussée vers la guerre nucléaire, le mouvement transhumaniste et le transgenrisme participent d'une impulsion suicidaire indiscutable. Cette instigation serait d’après lui antihumaine, poussée par des forces spirituelles extérieures. Ecoutons-le. On ne perd jamais son temps à l'entendre.
"L'impulsion principale ici est le suicide. C'est de cela qu'il s'agit. Je pense que c'est spirituel. Le mot démoniaque est utilisé partout, parce qu'il est réel. Regardez ce mouvement humain qui est antihumain, la poussée vers la guerre nucléaire. Elle est par définition antihumaine. L'IA est aussi antihumaine, par définition. Et le transhumanisme n’est-il pas antihumain ?
Les gens agissent-ils contre leurs propres intérêts à long terme ? Les chiens agissent-ils contre leurs propres intérêts collectifs ? Et le caribou ? Aucun d’entre eux ne le fait. Aucun animal ne fait ça. Parce que ce n'est pas naturel. Les animaux font partie de la nature et font des choses naturelles.
Parce que les gens sont soumis au surnaturel, ils font des choses qui ne sont pas naturelles, comme se suicider. C'est pourquoi nous sommes la seule espèce à vouloir se suicider. Lorsque vous vous suicidez, que ce soit lentement ou d’un seul coup, vous êtes soumis à l’action de forces extérieures à vous, des forces spirituelles."
En fait, Tucker Carlson a été plus explicite encore au micro de Joe Rogan. Au cours d'une interview qu’il lui a donnée, il y parle sans détour de la présence sur Terre d'êtres qui ne font pas partie de l'espèce humaine. "Si ce sont des êtres spirituels, dit-il, et je crois qu'ils le sont, [...] certains d'entre eux sont mauvais. Et si le gouvernement américain le sait ou si des gens au sein du gouvernement le savent, alors ils servent une mauvaise force... Spirituel est peut-être le mauvais mot. Disons surnaturel. Ils sont au-delà de la nature, comme nous le comprenons [c'est-à-dire dans le cadre actuel des lois de la Physique]." A vrai dire, ce n’est pas parce que la Physique actuelle n’explique pas certains phénomènes qu’ils sont pour autant surnaturels, c’est-à-dire hors de la nature. Ils font partie intégrante de la nature. Simplement, nous ne parvenons pas à les faire cadrer avec l’état de nos connaissances.
Carlson aborde ensuite les indéniables phénomènes de type OVNI dont ces êtres seraient à l’origine. De deux choses l'une, dit-il, ou bien le gouvernement cache leur présence parce que son seul but est de ne pas affoler la population, l'armée étant dans l’incapacité de la protéger, ou bien, et c'est plus grave, le gouvernement américain est en étroite relation avec eux et cela pose la question de la nature de cette relation. En vérité, cela poserait la question de sa soumission à ces êtres de l’ombre avant même la question de leur nature exacte.
Alors que toute une frange de la population s'éveille donc à des éventualités de grande envergure, d'autres continuent d'entonner la même ritournelle, un refrain anticomplotiste de moins en moins audible, un scepticisme de bon ton mais qui ne repose sur rien qu’un suivisme des médias.
Il faut aussi se dire que si des personnalités de cet acabit, Nell ou Carlson, mettent en jeu leur crédibilité en osant de telles révélations, c'est qu'ils en savent un peu plus long que le commun des mortels, que la chose doit être difficile à garder pour soi et qu'une confession publique leur permet d'exorciser ce pesant secret. Quant à nous, le fait de nous prononcer sur le sujet n'est au fond pas plus illusoire que de savoir qui dirige le monde, des Rothschild ou des Rockefeller... ou même de ces hypothétiques êtres non-humains, dont nous ne connaissons rien. Alors tel est le grand dilemme : suivre aveuglément ceux qui nous ont déjà tellement menti et qui haussent les épaules dès qu’on évoque le sujet ou bien adhérer sans preuves tangibles au récit de personnes dignes de foi mais loin d’être infaillibles.¾