Nous sommes donc en avril 2020. Bill Gates s’entretient avec un certain Stephen Colbert, animateur de télévision et satiriste politique à ses heures, au cours du Late Show qu’il anime. Nous sommes en plein confinement, rappelons-le. De quoi discutent les deux hommes selon vous ? Du covid ? Eh bien non. Perdu. Le mieux est de suivre cet extrait de la discussion.
Colbert : […] A quelle autre chose n’avons-nous pas prêté attention et pour laquelle il faudrait agir maintenant ?
Bill Gates : Eh bien...l’idée d’une attaque biologique terroriste, c’est un peu un scénario cauchemar, car il y a des agents pathogènes avec un taux de mortalité élevé (Colbert s’esclaffe), mais la bonne nouvelle c’est que,… je n’essaie pas de vous mettre la pression hein !...
Colbert (toujours rieur) : Trop tard !
Gates : ...c’est que le travail que nous devons faire c’est de nous préparer à la Pandémie 2, j’appelle celle-ci [le covid] la "Pandémie 1", et on va s’atteler à être prêt à cela pour minimiser la menace du bioterrorisme !
La discussion portera ensuite sur les vaccins et Colbert se félicitera que Gates se soit impliqué dans leur fabrication. Pour information, le présentateur est un démocrate qui ne s’en cache pas. Il est remarquable, là encore, d’apprendre de la bouche du vaccinateur fou qui détient l’OMS, GAVI et la Fondation Bill et Melinda Gates qu’une seconde pandémie, dont on ne connait rien, doit nous préoccuper. Enfin s’il s’agit de bioterrorisme, qu’il nous dise d’où vient le danger ? De quel pays ? De quel genre de terroristes ? De quels agents ? De quels virus ? De tout cela il ne dit rien. Le sait-il seulement ! Mais Bill Gates a dû le lire, lui aussi, dans sa boule de cristal. Et le bon peuple doit écouter ça religieusement, sans s’interroger. Car ce n’est pas du complaisant Colbert que viendra la question. Comment sait-il que des bioterroristes vont passer à l’action, à moins, comme on l’a déjà vu, qu’il parle de lui. La pandémie numéro 2 est probablement cette variole du singe qu’il avait en tête de nous infliger afin d’arriver en sauveur avec ses pseudo-vaccins.
La troisième dame Arnica n’est autre que le farceur de la Maison blanche. Celui qui est censé être le 46ème président des Etats-Unis et dont les nom et visage ne figurent toujours pas sur le grand poster des présidents américains du Centre des visiteurs de la Maison Blanche. Comprenne qui peut. Lors d’une allocution fin juin, Joe Biden déclarait : « Nous n’avons pas seulement besoin de plus d’argent pour les vaccins pour les enfants, nous avons besoin de plus d’argent pour planifier la deuxième pandémie. Il va y avoir une deuxième pandémie. Nous devons y penser à l’avance. »