La vérité sous son voile

Le 21/06/2023

Dans Actualités

Le mensonge est tellement consubstantiel au mondialisme que toute opposition à ce dernier s’est construite contre lui. Et toute l’opposition n’a eu de cesse de rechercher les éléments de vérité au sujet des responsables du nouvel ordre mondial. Chercher la vérité sur le covid, sur les vaccins, sur la formation de ce gouvernement mondial et sur ceux qui le servent devint une priorité. Débusquer leurs mensonges également. Mais pour autant, si mentir à longueur de temps permet de maintenir son pouvoir, à l’opposé dire la vérité à tue-tête permet-il de réveiller vraiment les peuples ? Rien n’est moins sûr. Rien de tel n’est gravé dans le marbre.

Dire la vérité en commençant par respecter les faits et tenir compte du factuel a le mérite de ne pas offenser le bon sens. Dire des mensonges c’est au contraire s’exposer à se contredire tôt ou tard, à dire tout et son contraire. Ce discours paradoxal, soutenir une vérité et son contraire presque simultanément, peut d’ailleurs être voulu par les menteurs compulsifs parce qu’il finit par désorienter leur auditoire. Quant aux chercheurs de vérité, ils ne sont pas non plus infaillibles. Car personne ne détient la vérité absolue. Est-on alors condamné aux mensonges perpétuels ? Est-on dans une voie sans issue ? Voués à la détresse ?

Parler et mentir

En Union Soviétique, il existait un organe de presse incontournable, la Pravda. Traduit en bon français, La Vérité. C’était la publication officielle du Parti communiste. Que ce dernier, dont on sait avec quelle poigne de fer il a dirigé le pays du temps des tzars soviétiques, ait choisi le mot de vérité pour nom constitue un pied de nez à cette même vérité. C’est un peu comme si le premier journal israélien paru en 1948 avait décidé de s’appeler National et Socialiste ! Le totalitarisme soviétique se joua si bien de la vérité qu’il galvauda le mot à jamais. S’appeler La Vérité pour le plus grand média du régime soviétique fut le comble du mensonge. Du reste, affubler d’un tel nom n’importe quel organe de presse relève d’une grande prétention, même en démocratie. A fortiori en dictature.

Nos totalitaires de mondialistes n’ont pas fait autre chose dans les médias occidentaux, quand ils ont affirmé de façon péremptoire détenir la vérité et prétendre que leurs opposants mentaient. Cela, bien qu’ils se dédisaient en quelques semaines voire en quelques jours. Souvenez-vous de Véran rejetant, outré, l’idée d’instaurer un passe sanitaire en janvier 2021 et reprochant à l’extrême-droite d’en faire courir le bruit. Et puis, quelques mois plus tard, lui et ses complices imposaient avec cynisme un passe sanitaire puis vaccinal. Sans jamais reconnaître avoir soutenu l’inverse quelque temps auparavant.

Contre les journalistes

La vérité, c’est aussi et d’abord des faits avérés. Aubontouitefrancais a écrit : « Vous connaissez la différence entre démocratie et tyrannie ? La tyrannie, c’est quand le gouvernement sait tout sur vous. La démocratie, c’est quand vous savez tout sur votre gouvernement. » Voilà un bon thermomètre, à la fois indicateur de vérité et de la nature du régime dans lequel on vit. A cette heure où le Sénat français a autorisé la surveillance de nos portables et où l’Europe compte en faire autant en espionnant les journalistes, dont pourtant la plupart sont à sa botte, les dirigeants sont à l’aube de tout savoir de nous, pauvres humains. En revanche, il nous a fallu beaucoup de réinformation alternative et documentée pour nous faire notre opinion sur les malfrats qui nous dirigent. Ne revenons pas sur la montagne de casseroles des ministres et autres députés Renaissance, sur le coup d’Etat qui a amené Macron au pouvoir en 2017, sur les conflits d’intérêts de la Commission européenne et de la principale suspecte, sa présidente Ursula Von der Leyen. Qui peut dire dans ces conditions tout connaître de ces individus ? Qui peut affirmer connaître tous leurs méfaits ? Nous pouvons seulement avoir une petite idée de leurs malversations et de leurs crimes, tant nous avons eu un aperçu de leur mauvais fond. Je vous laisse donc juge du régime auquel nous sommes soumis grâce au thermomètre du perspicace Aubontouitefrancais. Aux vérités que nous savons les uns des autres, nous pouvons nous prononcer sans guère nous tromper. Nous sommes plus proches de la tyrannie que de la démocratie. Cependant, quand bien même les citoyens sauraient tout des turpitudes de leurs dirigeants, auraient-ils encore la force de se soulever ? C’est une chose de connaître la vérité, c’en est une autre d’agir pour recouvrer la liberté.

Si la vérité absolue n’est pas de ce monde, s’il est illusoire de le prétendre, il ne faut pas cesser de la rechercher. Et si certains s’en réclament sans nuances, méfions-nous d’eux. Cependant, il existe des vérités factuelles et de fortes présomptions sur les intentions en politique. Pol Pot, Hitler ou Staline n’ont jamais signé d’aveux sur les horreurs qu’ils ont déclenchées, et pourtant il ne fait guère de doute qu’ils les aient commises volontairement.

De même, on sait aujourd‘hui qu’avec des organisations comploteuses, comme le Bilderberg, le CFR ou le FEM, leur entreprise consiste en une mainmise féroce sur l’humanité toute entière. Ils ont suffisamment recherché le secret pour ne pas les soupçonner. Et néanmoins ils ont laissé tant de preuves derrière eux pour ne plus avoir le moindre doute sur leurs intentions malsaines. A commencer par les confessions de certains d’entre eux qui n’ont pu s’empêcher de lâcher le morceau. Je pense en particulier à David Rockefeller.

Le jour où le Dr David Martin, lui, a fait le choix de la vérité sur le covid 19, celle des faits et rien que des faits, ce jour-là il a perdu toute notoriété dans les cénacles qu’il avait l’habitude de fréquenter. Figure des mainstream comme Bloomberg ou CNBC, où il avait son rond de serviette, du jour au lendemain il a perdu toute audience à cause de son franc-parler sur la pandémie. Dernièrement toutefois, au Parlement européen, non plus désormais à l’invitation des Verts (chose peu étonnante, vu leur complicité avec le mondialisme) mais à celle de la droite, son éloquence et son assurance ont fait merveille. On peut dire que ce fut le triomphe de la vérité toute nue, sans fard, sans maquillage. Une vérité brute de décoffrage. Voici ci-dessous son historique de la pandémie, compte tenu des preuves irréfutables qu’il a accumulées :

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La vérité est malheureusement étouffée lorsqu’elle s’exprime avec trop de tapage. Ironie de l’histoire, ce sont les médias qui s’en chargent, eux qui devraient au contraire la propager. La télévision a ainsi asphyxiée la vérité samedi soir, lors de la retransmission de la finale du top 14, notamment au moment où Macron est descendu sur la pelouse. Elle l’a alors bâillonnée en atténuant les sifflets d’un public désapprobateur et en augmentant à fond le volume de la voix des commentateurs, pour mieux couvrir le tollé général. Vivre sa vérité nue dérangera toujours ceux qui vivent des mensonges bien habillés.

La question est de savoir si la vérité finit toujours par éclater. Ce ne serait qu’une question de temps, entend-on souvent dire. C’est le genre d’affirmations péremptoires ne reposant sur rien qui m’horripile. Après tout, et pour ne parler que de faits remontant à moins d’un siècle, on ignore toujours la vérité sur la mort de JFK ou celle sur le 11 septembre. Et ceux qui tentent de la dire le font avec prudence et sans trop fournir de noms. En ce qui concerne les attentats des tours jumelles, un ex-agent de la CIA, John Lear, aurait réfuté le récit officiel il y a peu, ses révélations venant corroborer la confession d’un autre ancien agent de la CIA, Malcolm Howard, sur son lit de mort. « Aucun avion de ligne Boeing 767 n’a frappé les tours jumelles, comme l’ont prétendu frauduleusement le gouvernement, les médias, le NIST et ses entrepreneurs », aurait-il déclaré sous serment en tant que témoin expert. Si ces témoignages sont attestés, la vérité progresserait donc dans ce dossier. Tout comme l’implication de la CIA dans le meurtre de JFK fait son chemin dans l’esprit du public. Mais qui demandera des investigations officielles avec au bout la tête des coupables, morts ou vifs ? Qui demandera des comptes à la hauteur des énormes manipulations dont nous avons fait l’objet ? Qui exigera des mesures pour mettre hors d’état de nuire l’appareil militaro-industriel américain, ses pontes de la haute finance et ses ramifications européennes ? La vérité ne triomphera du mal trompeur qu’à la condition qu’elle soit suivie de justice et d’actes politiques forts.

La vérité ressemble à cette sublime statue du vénitien Antonio Corradini (en illustration), voilée et qui n’attend que l’homme qui la ramènera à la vie en lui ôtant son voile. Ce voile, si fin et pourtant si suffocant, est en effet à portée de main pour qui osera !¾

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