La vérité, c’est aussi et d’abord des faits avérés. Aubontouitefrancais a écrit : « Vous connaissez la différence entre démocratie et tyrannie ? La tyrannie, c’est quand le gouvernement sait tout sur vous. La démocratie, c’est quand vous savez tout sur votre gouvernement. » Voilà un bon thermomètre, à la fois indicateur de vérité et de la nature du régime dans lequel on vit. A cette heure où le Sénat français a autorisé la surveillance de nos portables et où l’Europe compte en faire autant en espionnant les journalistes, dont pourtant la plupart sont à sa botte, les dirigeants sont à l’aube de tout savoir de nous, pauvres humains. En revanche, il nous a fallu beaucoup de réinformation alternative et documentée pour nous faire notre opinion sur les malfrats qui nous dirigent. Ne revenons pas sur la montagne de casseroles des ministres et autres députés Renaissance, sur le coup d’Etat qui a amené Macron au pouvoir en 2017, sur les conflits d’intérêts de la Commission européenne et de la principale suspecte, sa présidente Ursula Von der Leyen. Qui peut dire dans ces conditions tout connaître de ces individus ? Qui peut affirmer connaître tous leurs méfaits ? Nous pouvons seulement avoir une petite idée de leurs malversations et de leurs crimes, tant nous avons eu un aperçu de leur mauvais fond. Je vous laisse donc juge du régime auquel nous sommes soumis grâce au thermomètre du perspicace Aubontouitefrancais. Aux vérités que nous savons les uns des autres, nous pouvons nous prononcer sans guère nous tromper. Nous sommes plus proches de la tyrannie que de la démocratie. Cependant, quand bien même les citoyens sauraient tout des turpitudes de leurs dirigeants, auraient-ils encore la force de se soulever ? C’est une chose de connaître la vérité, c’en est une autre d’agir pour recouvrer la liberté.
Si la vérité absolue n’est pas de ce monde, s’il est illusoire de le prétendre, il ne faut pas cesser de la rechercher. Et si certains s’en réclament sans nuances, méfions-nous d’eux. Cependant, il existe des vérités factuelles et de fortes présomptions sur les intentions en politique. Pol Pot, Hitler ou Staline n’ont jamais signé d’aveux sur les horreurs qu’ils ont déclenchées, et pourtant il ne fait guère de doute qu’ils les aient commises volontairement.
De même, on sait aujourd‘hui qu’avec des organisations comploteuses, comme le Bilderberg, le CFR ou le FEM, leur entreprise consiste en une mainmise féroce sur l’humanité toute entière. Ils ont suffisamment recherché le secret pour ne pas les soupçonner. Et néanmoins ils ont laissé tant de preuves derrière eux pour ne plus avoir le moindre doute sur leurs intentions malsaines. A commencer par les confessions de certains d’entre eux qui n’ont pu s’empêcher de lâcher le morceau. Je pense en particulier à David Rockefeller.