D’abord, ne nous laissons pas intimider par la diabolisation des soldats digitaux qui ont alerté l’opinion sur la monstruosité des buts et des actions d’une élite-racaille. En son temps, Radio Londres était pareillement stigmatisée par la propagande de Vichy. La vision géopolitique des forces en présence face à l’impérialisme mondialiste circule sur les réseaux sociaux depuis plusieurs années. Elle fait état d’une dévolution de pouvoir de Trump à une armée de l’ombre, à charge pour elle de faire chuter l’administration Biden et de débarrasser les Etats-Unis de la vermine républicaine comme démocrate. Elle fait également état d’une coalition appelée l’Alliance qui va de la Russie de Poutine à la Chine de Xi en passant par l’Amérique de Trump. Sa mission est de libérer la surface du globe de la canaille globaliste partout où elle s’est infiltrée. Si ses prétentions sont considérables, son plan de bataille demeure secret défense.
Quels sont donc les faits susceptibles de soulever l’espérance ? Pour beaucoup d’entre eux, ces faits sont plus apparents qu’il ne semble. Mais ils sont dilués dans le temps et c’est pour cette raison qu’ils ne donnent pas une vision fidèle de la réalité. Nous avons la sensation de ne rien faire d’autre que subir, tandis que le Nouvel Ordre Mondial avance triomphalement, entend-on dire. C’est que nous sommes bombardés par le baratin médiatique, qui évite soigneusement les déroutes de son bord. Jusqu’à l’arrivée des troupes de Leclerc dans Paris en août 1944, comment pouvait-on savoir que la retraite de l’armée allemande était imminente ? Pas en écoutant radio Paris ! Radio Paris mentait, c’était un secret de polichinelle, on le chantait même. Rien ne l’aurait laissé présager si le bouche à oreille ne s’était chargé d’en informer la population. Pour choisir un autre exemple puisé dans le catalogue des totalitarismes encore en activité, aucun signe n’indiquait, à la veille de la chute du mur de Berlin, que le colosse communiste avait des pieds d’argile sur le point de céder et pourtant, le lendemain, de toute sa masse, il s’écroulait !
Quels sont donc les faits porteurs d’espérance ?
Le premier est incontestablement que Donald Trump est à la manœuvre, en coulisses, dans son propre pays. Trump, épaulé peut-être par une armée fantôme qui travaillerait à démolir l’empire que le Deep State a mis des décennies à bâtir par la corruption et le crime, s’immisçant partout dans les rouages de l’Etat, la Justice, l’Université, les milieux politique, économique et médiatique… La presse mainstream, à moins de considérer qu’elle trempe à son tour dans le complotisme, a même estimé cette armée à près de 60 000 hommes. L’Etat profond ne l’ignore pas. Bien d’autres faits accessibles au public attestent d’une situation trop ubuesque pour n’être le fruit d’aucune action souterraine. Ainsi l’administration Biden, surprise à s’exprimer depuis une fausse Maison Blanche, ou le président embarquant à bord d’un faux Airforce One ou trébuchant à plusieurs reprises incitent à se poser des questions. Les bourdes et la désinvolture d’une Kamala Harris, honnie dans le pays, ainsi que les pitreries d’un Biden plus sénile que jamais offrent là encore des motifs d’interrogation sur l’existence d’une opération clandestine, chargée de décrédibiliser le sommet du camp démocrate.
Soyez juge de la dernière intervention de Kamala Harris : « Nous allons travailler ensemble et continuer à travailler ensemble, pour résoudre ces problèmes… et travailler ensemble, alors que nous continuons à travailler à partir des nouvelles normes, règles et accords que nous convoquerons pour travailler ensemble… Nous travaillerons sur ce, ensemble. » Qui lui écrit ce galimatias ? Et cette femme serait la vice-présidente ?
Plus encore, la ville fantôme de Washington DC, siège de l’Etat profond, le fameux marais, où bien des administrations gardent porte close, devrait susciter des enquêtes approfondies. Le mutisme des journalistes aux ordres ne peut qu’accréditer l’idée que l’Etat profond subit des revers qu’il tente de dissimuler. De cela, nous avons des témoignages de source sûre et des vidéos qui l’illustrent.
Trump serait-il donc encore le vrai président des Etats-Unis ? N’oublions pas qu’il n’a jamais reconnu sa défaite, ni avant ni après le 20 janvier 2021, date de l’investiture de Biden. La cérémonie a présenté les stigmates d’une mascarade, et ce ne sont pas les troupes qui ont tourné le dos au passage du 46ème président qui auraient pu redorer le blason de cette satanée journée.
Un dernier exemple est à relever lors du meeting Awaken America. Le général Flynn qui y participait a ouvertement admis que « Donald Trump était toujours le président des Etats-Unis », à la plus grande joie de l’assistance. Non seulement cela signifie que le bras droit de Trump ne tergiverse plus pour l’affirmer haut et fort, mais encore faut-il qu’il ne court aucun risque pour le proclamer. Le compte à rebours a commencé. La fin du Nouvel Ordre Mondial est plus proche qu’on ne croit.