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Gone covid gone

Le 12/06/2023

Dans Actualités

Je voudrais m’adresser à tous ceux qui ne se sont pas trop posé de questions jusqu’à présent à propos du covid. Comment selon vous le covid a-t-il disparu ? Car enfin il ne fait plus les unes des journaux ni celles des chaines de télévision. Vous-même avez-vous croisé des malades depuis, dont vous soyez assurés qu’ils aient attrapé le covid ? Par quel miracle la maladie a-t-elle reflué ? Si c’est grâce aux prétendus vaccins, que n’en entend-on pas parler ? Tous les covidistes vaccinolâtres devraient monter au créneau et pavoiser sur les ondes. Or, on ne les entend pas. Ils font profil bas, depuis notamment la réintégration des soignants suspendus. Quelle en est la raison ?

Non, le covid a disparu tout seul comme un invité qui sait s’éclipser quand il est temps, tout comme la grippe avait disparu pendant le covid. Aussi bizarrement. Beaucoup d’entre vous ayant repris une vie normale ont décidé d’oublier cet épisode malheureux. Et de considérer que nos gouvernants ont fait de leur mieux devant ce méchant virus. Alors pas question de se poser la question qui fâche. Pourquoi la maladie est-elle partie comme elle est venue ?

Ne croyons pas surtout pas qu’ils en ont fini avec le covid ou qu’ils aient fait marche arrière. Ici et là, des médias passent encore des publicités vantant les mérites de la vaccination et des médecins covidistes, qui ont cessé eux de se faire piquer au bout de quatre injections, continuent de harceler des personnes âgées pour une sixième ou septième piqûre. On a même essayé de trouver des variants à omicron qui pourraient relancer la psychose. En vain, semble-t-il. Néanmoins la ligue des Papon du covid, dont vous avez un bel échantillon sur la photo d’illustration, de Lacombe à Molimard en passant par Marty et Jomier, agit toujours à faire renaître le phénix covid de ses cendres. En atteste leur cabale contre Raoult.

Nous vivons cependant une drôle de fin de pandémie. Il devrait y avoir partout de la joie à recouvrer la santé, à ne plus se plier à des mesures confiscatoires. Eh bien non. La morosité stagne. L’indifférence est de rigueur. Inconsciemment ceux à qui je souhaite m’adresser sentent que le cauchemar pourrait reprendre. Il suffirait qu’un Véran se lève de travers pour que la panique reprenne du poil de la bête. Je dis un Véran, je devrais plutôt dire un Tedros ou un Bill Gates. Et il en faudrait peu pour que ce qui a si bien fonctionné se répète.

L’impression qui domine actuellement dans le public est la volonté d’oublier. On a le sentiment que chacun veut oublier ce qui s’est passé en 2020 et depuis. Les effets potentiellement mortels des vaccins ont beau être divulgués d’un bout à l’autre de la planète, les médias, surtout en France, se chargent d’étouffer l’énorme scandale. Ni vu ni connu. En toute discrétion, on judiciarise en Allemagne, on indemnise les victimes en Angleterre, comptant sur le silence qui s’ensuivra.

Financial times covid biontech

Que ceux qui comptent sur un silence éternel, les uns pour poursuivre leurs forfaits, les autres pour s’arranger avec leur mauvaise conscience, ne croient pas un seul instant que la vérité n’explosera pas au final. Après la fin de la seconde guerre mondiale et le retour de captivité des prisonniers des camps de la mort, la société française, travaillée par la culpabilité, a mis un point d’honneur à vouloir oublier et pendant plus d’une décennie elle y parvint. Les rescapés eux-mêmes détournaient la conversation quand leur famille les interrogeait à ce sujet. Puis vint le temps des vérités. Et la parole des survivants de l’holocauste se libéra. L’onde de choc déferla dans le pays. Au fil du temps, seules quelques voix indécentes se permirent un odieux négationnisme.

Soyez assurés qu’il en ira de même cette fois. Après une période d’amnésie, le pays cherchera à savoir. Les enfants interrogeront leurs parents. Pourquoi les enfants de 2020 ont-ils été martyrisés ? Pourquoi leurs parents ont-ils accepté le principe de se signer des autorisations de sortie de chez eux ? Pourquoi les médecins ont-ils été sommés de ne plus soigner ? Pourquoi des mesures médiévales ont-elles été adoptées pour une maladie qui, après tout, n’avait rien à voir avec la peste ? Pourquoi n’a-t-on pas hésité à démolir l’économie ? Etc.

Si ces parents-là ont quelques connaissances, ils leur répondront que la peur et la propagande ont eu raison de la population, en tout cas d’une partie d’entre elle. Que, si les gens ont peur et s’ils croient les gros mensonges que les médias leur serinent à longueur de journée, alors leur réaction après une  mise en condition par l’effroi se comprend mieux. Tétanisés, ils ne réfléchissent plus, ils obéissent, voire ils devancent les vœux des tortionnaires.

Sachant mes origines juives, une personne proche de moi me demanda un jour pourquoi les juifs ne s’étaient-ils pas rebellés contre les mesures vexatoires et meurtrières à leur encontre ? Comment avaient-ils pu accepter leur sort sans broncher ? Pourquoi avaient-ils coopéré ? Comme si j’avais dû répondre en leur nom et à leur place. Je ne me souviens plus de la réponse que j’avais faite, mais la même question fut posée à la grand-mère d’un certain Isyyes Keidar, compositeur de son état, qui témoigne dans le documentaire que vient de produire Vera Sharav. Probablement une des personnes interrogées les plus pertinentes et cinglantes de ce reportage. Eh bien, se souvient Isyyes Keidar, sa grand-mère qui n’accepta d’en parler que tardivement, dans les années 80, lui fit la réponse suivante : « Mais les nazis ne se sont jamais présentés comme négatifs, destructeurs. Ils se présentaient comme un parti qui essayait d’améliorer les choses. C’est ce qu’ils disaient aux gens. Quand on vous envoyait dans un ghetto, c’était pour votre protection. Quand on vous envoyait dans un camp, on vous disait : vous aurez du travail, de la nourriture et un toit. Ils prétendaient toujours nous aider. Tous ces juifs qui montaient dans les trains, peu de gens le savent, étaient abreuvés de propagande disant que c’était pour une vie meilleure. Et ça a continué comme ça jusqu’à la fin. » D’eux-mêmes, sans la soldatesque nazie, ils ne seraient jamais partis de chez eux. Sans leur propagande non plus. Et s’ils avaient entrevu la vérité, probablement jamais ! De même, sans l’obligation de se vacciner pour continuer à vivre normalement, beaucoup n’auraient pas pris le risque de s’injecter des produits dangereux. Sans la propagande se déversant à grands flots dans les médias encore moins. Et s’ils avaient affronté la vérité au fond d’eux-mêmes, ils auraient préféré courir le risque de la stigmatisation plutôt que la mort, la maladie ou le handicap inhérent à cette roulette russe vaccinale. Deux sortes seulement d’individus refusent le parallèle. Les coupables du crime évidemment et les ignorants obtus et fiers de l’être. Personne d’autre. Comme le dirait Mark Twain, « l’histoire ne se répète pas, mais elle rime souvent ».

Doctissimo covid 19

Malgré l’accalmie qui semble avoir lieu, ils n’en ont pas fini. Ils affûtent leurs armes. Lisez cet encart de Doctissimo, organe mondialiste s’il en est. Leur perversité est sans borne. Ne voilà-t-il pas que, si vous développez des effets indésirables, après vous être laissé injecter à contrecœur ou l’avoir fait de plein gré, ils vous disent de ne vous en prendre qu’à vous-même. En effet, selon ces abrutis, avoir des doutes sur la vaccination serait à l’origine des effets secondaires. Et tous les simples d’esprit qui ne se posent aucune question et qui en développent ? Qu’en faites-vous ? Comment expliquer chez eux aussi l’existence d’effets secondaires graves ? Combien même de prosélytes sont-ils morts après avoir été vaccinés ! Non vraiment rien ne les arrête dans l’ignominie. Puisque mêmes les conséquences de leurs actes, ils ne les assument pas ! Au contraire, ils les rejettent sur leurs victimes. N’est-ce pas là encore la signature obscène de ces psychopathes ? Est-ce qu’une personne saine d’esprit peut encore à l’heure actuelle donner le moindre crédit à des individus qui déraisonnent autant ?

Harold Luce, le présentateur de Canal 10, chaîne guadeloupéenne frondeuse, à l’image des habitants de cette belle île, a dressé un bilan de ces deux années de mensonges, de coercition, de mesures absurdes, et d’envoi de troupes depuis Paris pour mater la population. Mais il termine par une mise en garde, un avertissement adressé implicitement à tous les coupables bien sûr mais également à celles et ceux qui ont acquiescé à cette politique totalitaire. «  Et c’est sans compter les scandales à venir dans quelques années. » Sa parole est prophétique. Avec la vérité qui aura raison de tous les menteurs et de ceux qui se sont accommodé des mensonges, le plus gros de tous les scandales jamais vus éclatera, dans toute son ampleur, sa gravité et son cousinage avec la doctrine nazie. Plus personne ne contestera la chose, que l’innommable dans l’holocauste a refait surface avec le covid. Et s’il y a eu un véritable danger de maladie en 2020, ce fut incontestablement l’irruption de la maladie totalitaire qui a repris du service dans nos sociétés et de manière extrêmement violente et contagieuse, puisqu’elle n’aura épargné aucun pays.¾

Vaccins Covid Totalitarisme Effets secondaires