Mais la dissimulation n’est pas réservée à la lointaine Chine. L’Allemagne de Scholz et Von der Leyen est aussi experte en la matière. Les RKI Files ont montré l’étendue de la fraude covid, nous l’avons déjà signalé, mais afin d’éviter des poursuites judiciaires, le Robert Koch Institute (RKI) a mandaté ses avocats pour ne laisser filtrer que des documents caviardés. Ce n’est certes pas la première fois que les mondialistes opèrent de la sorte. Malgré ces méthodes de barbouze, il est apparu que le RKI était au courant, dès février 2021, d’un nombre significatif d’effets secondaires, liés aux vaccins anticovid. L’indélicat ministre de la santé Karl Lauterbach est venu, lui, devant les micros justifier la tentative de dissimulation en invoquant la protection des données sensibles. Sensibles ? Mais sensibles pour qui ? Pour eux, les comploteurs, bien évidemment ! Or ces données sont exigées par tous ceux que le besoin de vérité anime face aux autorités sanitaires, qui les ont longtemps fustigés. Les misérables effacent leurs crimes et se tiennent les coudes tant qu’ils le peuvent encore. Pour le chef du parti de droite FPÖ, l’autrichien Herbert Kickl, ces révélations indiquent que les complotistes avaient une nouvelle fois raison. Il accuse sans détour le gouvernement allemand d’ « avoir caché des secrets sur les effets secondaires des vaccins ».
Caviarder des documents compromettants n’est pas une méthode originale pour la bande de personnages véreux à la tête de nos Etats et de nos Institutions. Les contrats signés avec Pfizer, qui ont pu nous parvenir, à l’instar de celui d’Afrique du Sud, l’ont assez prouvé. Ils étaient tous caviardés. Dans l’affaire des sms d’Ursula von der Leyen au PDG de Pfizer, Albert Bourla, révélée par le New York Times en avril 2021, là on est carrément en face d’un refus de livrer les sms à travers lesquels les contrats ont été conclus pour fournir l’UE à raison de 35 milliards. La tête de linotte dit les avoir effacés ! Et la justice la croit sur parole ? Pourquoi ne saisit-elle pas son ordinateur ? Comme si l’on n’était incapable de récupérer ses messages. Ce serait un jeu d’enfant pour la police scientifique. Non, décidément la dissimulation est leur marque de fabrique, au même titre que le mensonge. Et la justice y prend sa part. Ainsi, la procédure engagée contre Von der Leyen par un lobbyiste belge est toujours bloquée et n’est pas traitée. Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour… vous connaissez la suite. Et là c’est bien la justice qui se commet en entravant le jugement des criminels !
Dans le land de Brandebourg, ce sont des milliers de dossiers de vaccination qui ont disparu sans laisser de trace. Les responsables admettent leur ignorance. C’est trop facile, surtout venant de la part d’autorités qui ont l’obsession du contrôle des individus. Il est fort probable qu’une enquête rondement menée ferait toute la lumière et verrait ressortir opportunément ces dossiers. Mais l’obstruction de la justice, ici aussi, risque d’enterrer l’affaire.
Un autre gouvernement noyauté par les mondialistes, le gouvernement hollandais, a été pris la main dans le sac en train de dissimuler ses données sensibles sur les effets indésirables des vaccins anticovid. L’excédent de mortalité suite à la vaccination corrobore le fait que les dirigeants bataves cherchent à empêcher le public d’avoir accès à leurs données. Le même cas de figure se retrouve en Suisse avec la parution des Covid Files Suisses ou en Finlande avec la déclaration du Dr Nohynek, médecin-chef à l’Institut finlandais de la Santé et à la tête du Groupe stratégique d’experts sur la vaccination de l’OMS, qui a enfin déballé la vérité, à savoir que l’Institut dès l’été 2021 savait que les vaccins anticovid n’empêchaient pas la transmission du virus. Mais aussi aux Etats-Unis, où le CDC est mis en cause pour avoir dissimulé itou des informations sur les effets indésirables des vaccins Pfizer-BioNTech et Moderna. La grande dissimulation Covid, c’est ainsi qu’une tribune de Fox News qualifie l’opération psychologique covid. Même le CNRS, chez nous, en convient. Le covid fut une opération de surveillance des masses. Le chapeau de la tribune va plus loin. « Honte, est-il écrit, sur tous les employés fédéraux qui ont dissimulé ces faits sur le covid 19 » ! Les mondialistes usent et abusent de la grande lessiveuse, après avoir abusé de la grande sulfateuse. En Italie, c’est le ministre de la Santé, Roberto Speranza, qu’on traque dans la rue au cri d’assassin, pour s’être tu sur les effets secondaires de la vaccination.