Frauder, censurer et dissimuler : l’art de gouverner en « démocratie » (I)

Le 18/04/2024

Dans Actualités

Si les gens ne comprennent pas qu’ils sont pris pour des abrutis, c’est qu’ils doivent l’être, faisait remarquer un internaute, suite au traitement par les médias du vote électronique. Dans le cas présent, c’est LCI qui a eu le culot d’expliquer en mars dernier que Poutine détournerait ce mode de votation à son profit, laissant entendre que ce moyen permettait au pouvoir en place de frauder allègrement, alors que la même chaîne avait soutenu, un an et demi plus tôt, que le vote électronique n’avait posé aucun problème à l’élection présidentielle, aussi bien au Brésil qu’aux Etats-Unis, et que prétendre le contraire relevait du complotisme. Un deux poids deux mesures de leur part, auquel nous sommes habitués, me direz-vous.

Peut-on vraiment donner tort à cet internaute et le critiquer d’avoir admonesté le public de LCI lorsque ce dernier avale une chose et son contraire, du moment que ça sort de son poste de télévision ? Je ne le crois pas. Pour tous ceux qui tentent d’y voir clair dans le chaos actuel, il est insupportable de constater que tant de gens encore se comportent en béni-oui-oui du petit écran.

En France aussi, la fraude a eu lieu lors de l’élection présidentielle, tant en 2022 qu’en 2017. Je ne parle pas seulement à la sortie des isoloirs, lorsque des bulletins Marine Le Pen ont dû être annulés pour avoir été retrouvés déchirés. Je ne parle pas non plus des manœuvres judiciaires en 2017 pour évincer Fillon. Non, je parle du soir du second tour en 2022, lorsque devant les yeux des français la fraude s’est étalée sur les écrans en direct, au fur et à mesure que tombaient les résultats. Seuls ceux qui ont décidé de ne rien voir d’anormal au rebroussement intempestif du score de la candidate Le Pen n’y auront trouvé à redire. Et qu’un Macron, qui n’aura pas réussi à faire campagne, ait pu l’emporter ne les aura pas davantage intrigués. Au-delà de toutes ces incongruités, le fait même qu’aucun observateur indépendant ne soit en mesure de vérifier les chiffres annoncés par le Ministère de l’Intérieur et que personne ne semble s’en émouvoir en dit long, et sur la crédulité des électeurs et sur la latitude considérable dont dispose le pouvoir pour frauder dans leur dos. Evidemment les rares voix qui ne se payent pas de mots et qui exigent des comptes sont dénigrées à la fois par ce pouvoir qui déteste être mis sur la sellette et par ces électeurs benêts qui croient dur comme fer aux calembredaines qu’on leur raconte dans les médias.

Je me souviens de ce que me disait mon père à propos de l’importance d’inverser, après un certain temps, le train de pneus d’un véhicule, afin de mieux répartir leur usure. Sur un des pneus, à la craie, fais une marque discrète, me disait-il, puis va demander à ton garagiste d’inverser les pneus. Mais en récupérant ton auto, vérifie qu’il a bien exécuté le travail que tu lui as demandé. Regarde où se trouve désormais la marque. C’est dire si en ce temps-là on ne prenait pas pour argent comptant la parole de son garagiste ! En outre, personne n’aura traité mon père de complotiste, uniquement pour s’être assuré que son garagiste avait fait le boulot.

Si les médias faisaient leur travail, le pouvoir n’aurait pas meilleure presse que les garagistes d’antan. Nous connaitrions le fin mot de ses agissements pour se maintenir en place, et les électeurs le sommeraient de se soumettre à un contrôle sévère, notamment pendant les élections. Se contenter de supposer qu’il n’y a pas de fraude de sa part, c’est lui signer un chèque en blanc. C’est faire preuve d’une naïveté coupable et c’est laisser le champ libre aux manipulateurs.

La fraude ne se limite pas hélas aux seules élections. Elle s’est généralisée sous la coupe du pouvoir actuel. Elle est devenue non pas un sport national mais le sport favori de la classe dirigeante. Tous les jours, l’actualité dévoile les malversations de tel ou tel politique. Qui pour un détournement de fonds publics, qui pour un abus de biens sociaux ou pour des conflits d’intérêts, qui encore pour fraude fiscale… Nous pourrions égrener la kyrielle de figures de la macronie qui n’échappent pas à la règle. Une trentaine d’entre elles sont concernées par des affaires judiciaires. C’est à se demander si la carte de fraudeur n’est pas exigée pour faire partie de ce gouvernement !

Screenshot 20240414 173617 opera

Mais la plus insupportable des fraudes auxquelles s’est livrée la classe dirigeante est bien celle du covid. Aujourd’hui encore des publicités continuent de vanter, et avec quel toupet, la « vaccination » anticovid. Quant à la presse française, elle continue de taire le scandale qui éclate partout ailleurs et principalement en Allemagne. Le gouvernement allemand a en effet été contraint d’admettre qu’il n’y avait pas eu de pandémie. Sous la pression populaire, des documents secrets ont été déclassifiés, 2000 pages au total, qui révèlent que la pandémie n’a été qu’une fumisterie, une fraude sournoise avec les conséquences qu’on imagine. Les faits sont accablants pour les gouvernants et les grands médias qui ont poussé à la roue en faveur d’une politique covidiste. Il s’agit du scandale des RKI Files, les dossiers du Robert Koch Institute. Il est maintenant fait mention de manière officielle que le covid n’a été qu’une gigantesque fraude : fausse létalité du virus, vraie létalité des prétendus vaccins, inutilité de la distanciation sociale, nocivité du port des masques, inutilité médicale du passe sanitaire puisque le « vaccin » n’empêche pas la transmission, discrédit jeté sur des traitements qui avaient pourtant fait leurs preuves, encouragement à user de nouveaux médicaments onéreux et dangereux… Libre aux médias français de persister à faire la sourde oreille et à se murer dans le silence. Ils n’en seront que plus malmenés le moment venu. Et le moment viendra tôt ou tard.

Screenshot 20240417 182258 youtube

Tiens donc ! Le CNRS, cette grande institution, découvrirait que le covid a été une supercherie scientifique ! Serait-il devenu complotiste ?

Il y a eu sans aucun doute fraude à la science, fraude à la médecine, en réalité fraude à la démocratie, non seulement de la part des politiques mais aussi de médias grandement complices. Un livre en a fait son titre en 2024 : Epidemic of Fraud. Eh oui, depuis 2020, nous n’avons pas vécu une épidémie à cause d’un virus mais bien une épidémie de fraude !¾

Election présidentielle Fraude électorale Covid Corruption