Illustrons ce propos. Pour cela, retour sur le mois de janvier 2021, où le Parisien faisait paraitre le fameux appel des 200 personnalités s’engageant en faveur de la vaccination. Notez le timing parfait. Sourds et aveugles à toute preuve et à toute mise en garde, nos people, de Dombasle à Grand Corps Malade, en passant par Nagui, Jean Michel Ribes et Zabou Breitman, mouillèrent la chemise. Tous ces artistes avaient bâti leur carrière pas tant par l’adhésion du public que par leur prise en charge par l’Etat, lui-même principal pourvoyeur de fonds. Notamment en ce qui concerne le cinéma. Pour la scène, constatez le nombre de signataires dirigeant, qui une salle de spectacle, qui une cité de la musique, qui encore un centre d’art dramatique. Ces gens-là vivent aux crochets de l’Etat. Ils dépendent de ses subsides. Mais l’Etat aujourd’hui est gangrené par des hommes corrompus, liés entre eux par un pacte en une caste criminelle qui s’apparente plus à une mafia qu’à un corps de grands commis de l’Etat. Alors toutes ces starlettes n’allaient pas faire la fine bouche, remettre en jeu leur bonne fortune et dire non, lorsque la caste a eu besoin qu’ils s’engagent pour soutenir son plan de vaccination. Ils sont tous venus, presque sans aucune défection. « Nous, on y va, on est prêts », ont-ils dit en chœur. Stanislas Nordey, à l’origine de cet appel, aura le culot d’ajouter en souriant que « si on devait découvrir des effets secondaires terribles, une bonne partie du monde de la culture » disparaitrait par sa faute ! Si le comédien a du culot, il a aussi la mémoire courte. Je l’engage à aller se renseigner, sans plus tarder, sur les terribles effets secondaires de ce soi-disant vaccin qu’il a promu et qui n’avait même pas l’effet primaire annoncé ! On attend désormais que, sur le même ton de la plaisanterie, ce monde de la culture disparaisse six pieds sous terre de honte ! Et Nordey le premier.
« S’ils ont le covid, qu’ils se débrouillent » brailla à son tour, dans ce concert de sacripants, la grande humaniste Karine Viard. Mais, c’est précisément ce que nous voulions. Qu’on nous fiche la paix ! Nous nous serions soignés à l’hydroxychloroquine, l’ivermectine ou l’artemisia annua. Mais même ça nous fut interdit. Surtout ça ! La péronnelle ne fit que se tirer une balle dans le pied avec ses incantations. Stigmatiser les non-vaccinés, c’était stigmatiser. Or je croyais que stigmatiser qui que ce soit, pour quoi que ce soit, n’entrait pas dans leurs principes. Mais le pire fut de l’entendre dire que cette partie revêche de la population ne devrait pas avoir les mêmes droits que les autres ! La stigmatisation dans sa splendeur. Où était passé tout d’un coup l’universalisme de cette gauche donneuse de leçons ? Car tout ce beau monde se revendique d’elle. Il n’était plus question d’inclusion dans sa bouche. La médisante Viard excommuniait sans vergogne et avec virulence un bon tiers de la population, qui ne lui avait rien fait. Et cela avec une fichtre bonne conscience. L’entend-on aujourd’hui déplorer les effets secondaires et s’en prendre aux vaccinateurs fous ? Ou du moins faire son mea culpa ? Non bien sûr. Ce n’est pas le problème de cette pimbêche.
Ces artistes et ce monde rabougri de la culture ont été d’ardents défenseurs de la politique mondialiste, et en France du pouvoir macronien. Pour un Gérard résistant comme Lanvin, on a compté cent Gérard collabos comme Jugnot. Ainsi que le dit Lanvin dans sa chanson Entre le dire et le faire, « les petits coqs pourront jamais voler comme des aigles. » Pour un homme resté debout, cent se sont couchés. Pour un aigle, cent petits coqs.
Au-delà de la servitude volontaire de ces complices-là, il y a l’idéologie et les idéologues. En fait partie le bouffon de service, Bernard Lavilliers. Croyez-vous que ce Che de pacotille aurait eu de l’empathie pour le peuple de France pendant le covid ? Seuls ceux d’Amérique latine l’intéressent, et encore uniquement dans ses chansons, je pense. Je ne suis pas allé vérifier sur le terrain. Ce monsieur n’a que dédain pour le peuple français. L’a-t-on jamais entendu défendre la cause des gilets jaunes ? L’a-t-on jamais entendu monter au créneau pour les retraites des travailleurs ? Et le comble, c’est que c’est sur une radio d’Etat, d’un état bien à gauche, financé aussi par tous ceux qui ne votent pas à gauche, que le chanteur est venu beugler contre les alerteurs de la toxicité des vaccins en les taxant de nostalgiques de la « dictature » et accessoirement de « connards ». Mais qui vient à la rescousse des totalitaires, si ce n’est lui en foulant la liberté de millions de français dans leur droit le plus inaliénable ? Sa conscience politique n’a d’égale que sa corruption, car lui aussi, sachez-le, émarge aux guichets de la macronie pour la modique somme de 120 000 €, euros extraits des poches de ce peuple qu’il bafoue, quoiqu’il en dise.