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Et paf sur le PAF !

Le 05/09/2023

Dans Actualités

A de multiples occasions, les têtes connues du PAF, le paysage audiovisuel français, ont montré de quel bord elles étaient. Libérales et progressistes. Autrement dit, du côté mondialiste. En outre, aucune n’était exclusivement redevable au public de son succès, parce qu’elle le devait avant tout au marketing et au battage médiatique. En revanche, toutes devaient la pérennité de leur situation au système mis en place sous égide mondialiste. Et toutes, placées au pied du mur en 2020, ont rejoint la grande armée de ses auxiliaires. Mais avec les meilleures intentions, à les en croire.

Illustrons ce propos. Pour cela, retour sur le mois de janvier 2021, où le Parisien faisait paraitre le fameux appel des 200 personnalités s’engageant en faveur de la vaccination. Notez le timing parfait. Sourds et aveugles à toute preuve et à toute mise en garde, nos people, de Dombasle à Grand Corps Malade, en passant par Nagui, Jean Michel Ribes et Zabou Breitman, mouillèrent la chemise. Tous ces artistes avaient bâti leur carrière pas tant par l’adhésion du public que par leur prise en charge par l’Etat, lui-même principal pourvoyeur de fonds. Notamment en ce qui concerne le cinéma. Pour la scène, constatez le nombre de signataires dirigeant, qui une salle de spectacle, qui une cité de la musique, qui encore un centre d’art dramatique. Ces gens-là vivent aux crochets de l’Etat. Ils dépendent de ses subsides. Mais l’Etat aujourd’hui est gangrené par des hommes corrompus, liés entre eux par un pacte en une caste criminelle qui s’apparente plus à une mafia qu’à un corps de grands commis de l’Etat. Alors toutes ces starlettes n’allaient pas faire la fine bouche, remettre en jeu leur bonne fortune et dire non, lorsque la caste a eu besoin qu’ils s’engagent pour soutenir son plan de vaccination. Ils sont tous venus, presque sans aucune défection. « Nous, on y va, on est prêts », ont-ils dit en chœur. Stanislas Nordey, à l’origine de cet appel, aura le culot d’ajouter en souriant que « si on devait découvrir des effets secondaires terribles, une bonne partie du monde de la culture » disparaitrait par sa faute ! Si le comédien a du culot, il a aussi la mémoire courte. Je l’engage à aller se renseigner, sans plus tarder, sur les terribles effets secondaires de ce soi-disant vaccin qu’il a promu et qui n’avait même pas l’effet primaire annoncé ! On attend désormais que, sur le même ton de la plaisanterie, ce monde de la culture disparaisse six pieds sous terre de honte ! Et Nordey le premier.

« S’ils ont le covid, qu’ils se débrouillent » brailla à son tour, dans ce concert de sacripants, la grande humaniste Karine Viard. Mais, c’est précisément ce que nous voulions. Qu’on nous fiche la paix ! Nous nous serions soignés à l’hydroxychloroquine, l’ivermectine ou l’artemisia annua. Mais même ça nous fut interdit. Surtout ça ! La péronnelle ne fit que se tirer une balle dans le pied avec ses incantations. Stigmatiser les non-vaccinés, c’était stigmatiser. Or je croyais que stigmatiser qui que ce soit, pour quoi que ce soit, n’entrait pas dans leurs principes. Mais le pire fut de l’entendre dire que cette partie revêche de la population ne devrait pas avoir les mêmes droits que les autres ! La stigmatisation dans sa splendeur. Où était passé tout d’un coup l’universalisme de cette gauche donneuse de leçons ? Car tout ce beau monde se revendique d’elle. Il n’était plus question d’inclusion dans sa bouche. La médisante Viard excommuniait sans vergogne et avec virulence un bon tiers de la population, qui ne lui avait rien fait. Et cela avec une fichtre bonne conscience. L’entend-on aujourd’hui déplorer les effets secondaires et s’en prendre aux vaccinateurs fous ? Ou du moins faire son mea culpa ? Non bien sûr. Ce n’est pas le problème de cette pimbêche.

Ces artistes et ce monde rabougri de la culture ont été d’ardents défenseurs de la politique mondialiste, et en France du pouvoir macronien. Pour un Gérard résistant comme Lanvin, on a compté cent Gérard collabos comme Jugnot. Ainsi que le dit Lanvin dans sa chanson Entre le dire et le faire, « les petits coqs pourront jamais voler comme des aigles. » Pour un homme resté debout, cent se sont couchés. Pour un aigle, cent petits coqs.

Au-delà de la servitude volontaire de ces complices-là, il y a l’idéologie et les idéologues. En fait partie le bouffon de service, Bernard Lavilliers. Croyez-vous que ce Che de pacotille aurait eu de l’empathie pour le peuple de France pendant le covid ? Seuls ceux d’Amérique latine l’intéressent, et encore uniquement dans ses chansons, je pense. Je ne suis pas allé vérifier sur le terrain. Ce monsieur n’a que dédain pour le peuple français. L’a-t-on jamais entendu défendre la cause des gilets jaunes ? L’a-t-on jamais entendu monter au créneau pour les retraites des travailleurs ? Et le comble, c’est que c’est sur une radio d’Etat, d’un état bien à gauche, financé aussi par tous ceux qui ne votent pas à gauche, que le chanteur est venu beugler contre les alerteurs de la toxicité des vaccins en les taxant de nostalgiques de la « dictature » et accessoirement de « connards ». Mais qui vient à la rescousse des totalitaires, si ce n’est lui en foulant la liberté de millions de français dans leur droit le plus inaliénable ? Sa conscience politique n’a d’égale que sa corruption, car lui aussi, sachez-le, émarge aux guichets de la macronie pour la modique somme de 120 000 €, euros extraits des poches de ce peuple qu’il bafoue, quoiqu’il en dise.

Dans ce pays de gabegies, même les morts touchent des aides. Ainsi, d’outre-tombe, Johnny Halliday a-t-il reçu 330 000 €. Certains ont le toupet de mettre en avant leur liberté de pensée pour ne pas s’en servir quand le moment l’exige, à l’instar de Florent Pagny. Lequel a grassement perçu 271 000 € de son côté. Le salaire du silence, je suppose. On comprendrait que des artistes prometteurs, des talents en herbe, soient ainsi subventionnés, mais des stars beaucoup moins.

Si la posture d’un Bernard Lavilliers est symptomatique de ce microcosme de la gauche caviar, un autre exemple nous a été offert par Juliette Armanet. L’arrogante a, elle aussi, été rémunérée avec l’argent des contribuables de tous bords, d’un montant de 154 000  €. Mais cela ne lui suffit pas. Encore doit-elle vomir sa bile sur ceux qui ne pensent pas comme elle, c’est-à-dire à gauche. Avec cette suffisance des totalitaires. Sa cible fut Michel Sardou. Elle déclara ne point aimer le chanteur au motif qu’il serait de droite. La vipère n’a pas la tolérance innée, il faut dire. Elle est bien intellectuellement de cette gauche d’une basse tenue morale qui s’affiche avachie sur les sièges moelleux de Rolland Garros, dans le carré VIP s’il vous plait, et dénigre ses confrères avec un mépris de classe.

Mais revenons à Bernard Lavilliers. Le guérillero de la chansonnette a-t-il réfléchi depuis ses injures envers les courageux français que se sont levés pour sauver la démocratie ? A-t-il vu les dégâts de la pseudo-vaccination qu’il a encouragée par son engagement irresponsable ? Non, car c’est le propre des partenaires de l’ordre totalitaire que de ne pas réfléchir et de ne pas revenir sur leurs actes répréhensibles, et encore moins de demander pardon aux offensés.

Une autre figure médiatisée, qui nous a vertement offensés, est Michel Onfray, qui a comparé les non-vaccinés à des contaminateurs du sida et à des violeurs de jeunes filles. Mais le philosophe, sans aucune formation scientifique, a cru bon de faire fi des avertissements de ceux qu’il injuriait. Nous disions que la pseudo-vaccination, outre ses dangers, ne protégeait pas de la transmission, selon les aveux mêmes de Pfizer. A-t-il lu la littérature, a-t-il consulté des avis éclairés de personnes compétentes et intègres avant de se lancer dans une telle diatribe ? S’est-il depuis intéressé aux effets secondaires ? A-t-il lu les rapports du VAERS ? J’en doute. A-t-il en définitive présenté ses excuses aux offensés ? Aucunement. Ça juge, ça condamne et ça ne revient pas sur ses jugements irréfléchis.

Dans ce PAF figure en bonne place le milieu politico-journalistique. Sur le pêle-mêle ci-dessus, voyez tous ces subordonnés à la trombine bien connue, qui ont un proche dans le personnel politique encarté au mondialisme. A des degrés divers, les uns et les autres ne sont que ses attachés de presse.

Un cas similaire a été fourni par l’actualité, celui de Gérard Leclerc, insupportable laquais de la macronie sur les plateaux de télévision, sans argument le plus souvent que son propre parti pris. Ce chien de garde du macronisme n’a jamais fait beaucoup d’effort intellectuel et encore moins de travail d’investigation. La vérité des faits ne l’a jamais vraiment intéressé. Lié plutôt au monde du spectacle que de la politique par son demi-frère ainsi que par sa femme, il faisait néanmoins partie intégrante de ce milieu d’influence. Sa carrière a pris fin ce 15 août, suite à un accident d’avion. Apparemment il pilotait, et son avion emportait des passagers. Tous sont morts sous le coup. Alors nous avons entendu des oraisons funèbres élogieuses, de Françoise Degois à Elisabeth Lévy, de Guillaume Bigot à Gabrielle Cluzel, certains pourtant peu soupçonnables de protéger la macronie et de lui tresser des louanges. Mais pourquoi ne pas dire la vérité sur ce pantin qui était sans le moindre doute au service des prédateurs qui dirigent notre monde ? Pourquoi se taire ? Par peur pour sa vie, pour sa carrière ? Par peur de devenir un canard boiteux en nommant crûment les choses ?

Gérard Leclerc était un ignoble propagandiste. Lui aussi avait la bave aux lèvres en vitupérant contre les « anti-vax ». Lui aussi voulait ardemment limiter nos droits, malgré les traités qui l’interdisaient. Lui aussi éructait en faveur de la doxa. Lui aussi hurlait avec les loups. Lui aussi voulait amputer le corps social de notre présence. Et il faudrait, malgré cela, faire son panégyrique à l’occasion de sa mort en évitant de parler de ses nombreuses postures exécrables ! Eh bien non. De surcroit, en tant que journaliste aligné sur les préceptes covidistes, il a eu sur les mains le sang des morts et des estropiés de ces pseudo-vaccins. Il a eu sur la conscience les morts du covid pour non-assistance à personne en danger. De fait, il ne s’est pas offusqué de l’ordre donné aux médecins de ne plus soigner comme ils l’entendaient. Beaucoup seraient encore parmi nous, qui ont été condamnés par cette politique et ses prosélytes. Alors n’attendez pas de moi d’hommage posthume à l’adresse d’un personnage si indigne. Depuis quand glorifie-t-on les satrapes du totalitarisme à leurs obsèques ? Pour clore le dossier à charge, Gérard Leclerc appelait lui aussi à interdire les manifestations de gilets jaunes. Le brave homme… de gauche, doublé d’un mondialiste, le mord aux dents ! Et, tenez-vous bien, il en appelait à faire coffrer les personnes rassemblées dans la rue pour suspicion de manifestation non autorisée, dès lors que leur nombre dépassait trois ! C’est fou ce que les défenseurs du système ont la gâchette facile quand il s’agit d’éliminer la contradiction.

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Après une telle galerie de salauds prêts à violenter leurs semblables sans motif et obéissant au cartel criminel qui tire les ficelles, finissons sur une note positive. Cette note, c’est le billet d’humour de Naïm au fil des nouvelles qu’il nous a commentées depuis trois ans et qui nous a fait éclater de rire aux dépends des despotes et de leurs suppôts. Belle compensation. Merci à lui et à sa verve, à sa critique dévastatrice pour Macron et ses complices, car nul doute que le rire est une arme ravageuse contre ces mondialistes de malheur. Le rire fait ressortir leurs ignominies et les déconsidère sans qu’il soit nécessaire de fournir la moindre preuve de leurs forfaitures. Il atteint les plus endormis en désarçonnant leur naïveté et leur ignorance. Le rire est souvent plus efficace que le plus redoutable des réquisitoires.¾

 

Photo d'illustration : Gérard Lanvin chantant Entre le dire et le faire

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