Ne refermons pas le dossier Von der Leyen sans noter que l’Université de Toulouse lui a décerné le titre de docteur Honoris causa pour services rendus aux arts, lettres, sciences, techniques et à la France. A chacun des mots égrenés, mon sourire n’a fait que s’élargir un peu plus pour finir par éclater en un rire franc, lorsque j’ai lu pour services rendus à la France. Soit l’Université de Toulouse est un ramassis d’abrutis, soit sa complicité a atteint des records d’obséquiosité. Ceci dit, l’un n’empêche pas l’autre.
Quand je vous dis que cet article risque de prendre des allures de catalogue à la Prévert, rappelons les scandales qui touchent rien que les instances européennes : le scandale des valises de billets du Qatar qui implique la vice-présidente du Parlement européen Eva Kaili, remise en liberté depuis peu, les vols gratuits du Directeur Transport, les sms secrets d’Ursula Von der Leyen au PDG de Pfizer, les surcommandes passées par la Commission… Et tout cela n’est que la partie émergée de l’iceberg.
Voilà pour la honte qui devrait étreindre les dirigeants politiques au plus haut sommet, après de telles révélations. Si ces gens avaient un tant soit peu de dignité, et, comme le disait ma grand-mère à propos du père de Victor Hugo, de grandeur d’âme, ils crèveraient de honte. Mais chez eux, c’est tout l’inverse. Ils s’en délectent. Car ce qui les caractérise c’est leur noirceur d’âme.
La noirceur nous l’avons vue à l’œuvre sous Macron, Véran, Salomon, Philippe et Castex. La liste n’est pas exhaustive. A analyser les chiffres officiels, les conclusions sur le covid auxquelles aboutit le statisticien Pierre Chaillot et que partagent la plupart des spécialistes sans conflit d’intérêts, donc les seuls crédibles, peuvent se résumer de la sorte : il n’y a pas eu d’hécatombe pendant la période covid ; la saturation hospitalière qui serait due à une pandémie est un mythe ; la plupart des hôpitaux étaient vides sauf les quelques-uns qui servaient aux médias pour créer la psychose ; les médecins n’ont pas rencontré de malades durant cette période… Pour faire croire le contraire, un nouveau code hospitalier a été adopté qui regroupa toutes les maladies respiratoires sous la désignation covid et le tour fut joué. De plus, l’emploi de tests frauduleux fournit le nombre de faux positifs nécessaires à ce simulacre de pandémie. On a fait peur avec des tests positifs et non des malades. A partir de là, on a instauré la vaccination, les passes et on a exempté les vaccinés de tests. Pas de test, pas de covid. Pas de covid, c’est donc que le vaccin protège. On pouvait alors avancer que la vaccination fonctionnait, sans risque d’être contredit par les faits. Voilà l’escroquerie encore une fois préméditée aux plus hauts sommets. Ici la honte n’est pas le bon mot pour se demander si les criminels en éprouvent un peu. Ce mot devrait être plutôt le dégoût de soi-même, l’effroi d’avoir participé à une telle abomination. Mais au lieu de faire contrition, ces psychopathes s’enferrent en soutenant le plus effroyable des mensonges.
Avoir pris l’habitude de faire peur en racontant des carabistouilles, les serviteurs du mondialisme y étaient accoutumés bien avant 2020. En ce qui concerne le climat et leurs théories fumeuses à son sujet, nous avons eu les prédictions de leurs oracles qui toutes se sont avérées fausses. Celles d’Al Gore, par exemple, le grand gourou dont les prédictions ont été surtout lucratives. Ou encore celles de Greta qui prédit le 21 juin 2018 que l’humanité n’en avait plus que pour cinq ans si nous ne stoppions pas l’usage des énergies fossiles. Comme le dit avec humour le Dr Eli David, qui a ressorti son tweet prophétique des archives, attention le compte à rebours s’achève. Plus que deux jours avant l’apocalypse ! N’a-t-elle pas honte aujourd’hui la petite pécore ?