Cherchant à découvrir les raisons de son comportement, beaucoup de commentaires suggèrent qu'il découle d'une consommation effrénée de substances psychotropes. Si Asselineau n'élude pas la question, l'hypothèse est aussi évoquée sans fard au micro de LCP-Assemblée nationale par la députée Pascale Bordes.
Des vérités sur son tempérament émergent de partout. Soit à travers des injures, soit par le biais d'expertises de psychothérapeutes. Côté insultes, on les trouve entre autres dans la bouche du journaliste russe Soloviev : "Macron est bien sûr un crétin phénoménal. Il a complètement perdu la tête !" éructe-t-il. Puis il l'apostrophe en le tutoyant : "Tu penses que tu peux frapper la Russie impunément ? Tu n'es pas l'héritier de De Gaulle, tu n'es qu'une vraie merde." Côté avis psychiatriques, celui du professeur Adriano Sagatori est sans appel. Il ne fait pas non plus dans la dentelle : "Macron est un psychopathe." Le psychiatre italien fait remonter l'origine de son comportement à l'époque où, en pleine adolescence, il a été violé par sa professeure Brigitte. Il ne s'en serait jamais remis. Je vous fais grâce des développements dans lesquels entre le spécialiste, à partir des informations grand public qu'il a recueillies pour établir son diagnostic.
C'est plutôt vers un polémiste africain que je me tourne pour avoir une opinion plus proche de celle du peuple. "Macron est un homme étrange, dit-il, mal élevé, impoli, arrogant. Il énerve tout le monde. Il dégage la mort [...] Il ne vaut absolument rien." Une grande majorité de nos compatriotes partagerait cette opinion. Peu de dirigeants, même parmi ceux qui ne sont pas en odeur de sainteté dans leur opinion publique, ont à ce point attiré sur leur personne pareille diatribe. En l'occurrence, le personnage Macron est haï pour ce qu'il est avant même de l'être pour ce qu'il représente.
Et que représente-t-il ? De l'avis de Didier Maïsto, il est avant tout l'exécuteur d'une politique calamiteuse. Ce qui conduit l'éditorialiste à réclamer sa destitution, au même titre que Francis Lalanne. "Tout chef d'état devrait défendre son peuple, c'est ça le vrai patriotisme, se récrie-t-il. Ça consiste aussi à dire la vérité et à protéger son peuple et on en est très très loin ! C'est la plus grande calamité qui soit arrivée à la France. Il est en train de détruire le pays." Ce genre de réquisitoire est souvent dressé contre lui : détruire la France en toute connaissance de cause. L'ancien directeur de programmation de France 2, Eric Stemmelin, est sur la même longueur d'onde, qui considère que le programme de Macron est "un programme de destruction massive". Passant en revue les grands secteurs régaliens, il dresse à chaque fois le même bilan catastrophique. Et de conclure que Macron nous emmène vers un régime fasciste, lui rappelant celui de Mussolini. Remarquable rapprochement entre le socialiste Macron et le tribun latin qui ne renia jamais ses débuts socialistes.
Une fois de plus, on trouvera chez Étienne Chouard et sur ce thème de quoi alimenter notre réflexion. L'acharnement que met Macron à détruire la patrie, constate-t-il, n'a qu'une explication. Il est en mission, sous entendu au service de Davos. "Hors de cette hypothèse, tout ce qu'il fait est absurde, incompréhensible. Avec cette hypothèse, tout s'éclaire et devient logique, criminel mais logique." Au delà des diverses facettes de sa personnalité, plus troubles les unes que les autres, c'est l'aspect criminel de son action politique qui interpelle. A commencer par sa complicité manifeste dans le crime organisé que fut la "vaccination" anticovid. L'homme politique Macron devra en répondre. Une fraction de plus en plus vaste de la population l'exige. La nation ne pourra se reconstruire en faisant l'économie de sa comparution. L'exaspération qu'il soulève a atteint un point de non-retour. Une certaine Michelle Toussaint sur X : "Je ne suis favorable, écrit-elle, ni à sa démission, ni à sa destitution." En fait, elle craint que Macron s'en sorte à moindre coût. "Ce que je veux, c'est son arrestation, son jugement par un tribunal crédible (populaire ou militaire), la confiscation de ce qu'il nous a volé, puis sa condamnation !" Michelle est dans son bon droit, mais elle a omis, au nombre des chefs d'accusation, les crimes commis pendant le covid. En comparaison, les autres comme notre spoliation paraissent véniels. Ces crimes-là relèvent de tribunaux spéciaux tant leur gravité dépasse l'entendement. Ce n'est pas pour rien que l'oligarchie, soucieuse de ne pas prêter le flanc à des poursuites judiciaires, de celles entreprises par exemple par l'avocat Reiner Füllmich, a tendu à ce dernier un traquenard afin de l'empêcher de lui nuire et l'a emprisonné sans que personne ne proteste.
Il faudra bien un jour instruire le procès de Macron. Il faudra alors recenser les morts qu'il a sur la conscience et dont il devrait répondre. Les morts des suites des prétendus vaccins anticovid, comme les morts qui se compteront par millions, si par malheur le pays entrait en guerre contre la Russie, poussé par la furie dévastatrice de ce conducator à la voix de fausset.♦