Les deux cabinets de conseil en stratégie ont chacun leur mission, la mise en coupe réglée des Etats pour le premier et des peuples pour le second. Sous les auspices de la CIA, ces bureaux politiques se sont donné pour but entre autres d'aider à la décomposition des nations européennes. La fin de cet article apportera la preuve que ce projet est bien dans les tiroirs.
"Ils sont partout. C'est une pieuvre, une armée de l'ombre. McKinsey est un cabinet conseil de la CIA pour arriver à la conformité des règles européennes qui sont celles du groupe Bilderberg et de Davos (deux émanations de l'agence fédérale américaine CIA)". C'est en ces termes que Geopolintel présentait McKinsey l'an dernier.
En France, le gouvernement a abusé de ses prétendus conseils au détriment de notre portefeuille. Un de ses domaines d'intervention, c'est de notoriété publique, a été la crise sanitaire. Le fait même que certains de ses plus hauts cadres soient passés de McKinsey à Moderna en dit long sur sa vocation réelle.
Mais les prestations de McKinsey ne se sont pas bornées au domaine de la santé. Le cabinet a conseillé par exemple l'Office fédéral allemand en 2016 sur la crise migratoire ou encore l'Etat français sur le démantèlement d'EDF. N'oublions pas non plus son intervention sur la Réforme des retraites. Entre 2019 et 2020, McKinsey a préparé la réforme auprès de la CNAV. Son étude a duré cinq mois et a été facturée un million d'euros. Aux États-Unis, le cabinet a même contribué à la crise des opioïdes en travaillant pour Purdue Pharma ou Johnson & Johnson. Résultat : 500000 morts ! Mais il a également participé à la restructuration de la CIA et s'est retrouvé en affaires avec des protagonistes du mondialisme aussi éclectiques que Mario Draghi, le PCC ou encore BlackRock. Son domaine d'expertise n'a décidément aucune limite, du moment qu'il met de l'huile dans les rouages du meccano globaliste.
Un esprit naïf pourrait se demander ce qui pousse tant de pays à avoir recours à ce cabinet sulfureux. Un esprit raisonneur lui répondrait que la réponse coulerait de source en considérant que ses recommandations traduisent surtout les injonctions du cartel. Il faut bien coordonner les efforts. On s'en est aperçu à l'occasion du covid. Plus d'un parmi nous fut surpris de la quasi unanimité des réponses gouvernementales. Le mimétisme des politiques sanitaires ne pouvait que résulter de consignes édictées au plus haut niveau. Et quoi de plus adéquat et discret que ces cabinets de conseil ! Les gouvernants avaient beau sortir du même moule, encore fallait-il qu'ils exécutent les ordres sans cacophonie. Les cabinets à la McKinsey ont eu ce rôle et continuent de l'avoir.
Si donc McKinsey a été une courroie de transmission des donneurs d'ordres, encore ces derniers doivent-ils s'assurer de la coopération des peuples. Et là, l'opération covid a été riche d'enseignements. Elle leur a montré que même en corsetant le discours avec des médias à la botte les populations ne s'en laissaient pas conter. Les réseaux sociaux ayant été le déversoir des contestations et des remises en question, spécialement depuis la libération de twitter, leur répréhension va bon train aussi bien par les petits télégraphistes de la Commission européenne que par leurs commanditaires outre atlantique. Il devient impératif, de leur point de vue, de cibler ces ultimes refuges de la libre parole.