… à propos des détournements d’avions :
Concernant la défense aérienne, l’absence d’interception des avions détournés interroge. Toutes les instances au plus haut niveau étaient pourtant averties de l’imminence du détournement de plusieurs avions de ligne. Malgré cela, la défense aérienne n’était nullement renforcée le 11 septembre. Pire, de multiples exercices mobilisaient les avions de chasse sur tout le territoire. Seuls étaient en alerte quatre chasseurs pour le nord-est du pays, la zone la plus sujette à une attaque. Ces avions ne seront jamais en mesure d’intercepter les avions de ligne détournés. Par-dessus le marché, le haut commandement affichait une désorganisation manifeste et le Secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld brillait par son injoignabilité, comme un fait exprès.
Le Secret Service savait que l’avion AA 77 approchait, trente minutes avant le crash. Il le suivait au radar et avait les moyens et le devoir impératif de l’abattre pour préserver la Capitale. Mais il ne l’a pas fait. De plus, il semble que le vice-président Dick Cheney ait confirmé l’ordre de ne pas abattre l’avion, tandis qu’il approchait de la zone protégée de Washington. Cheney aurait voulu que le crash ait lieu, qu’il ne s’y serait pas pris autrement.
… à propos des pirates de l’air :
On peut se demander si les 19 terroristes étaient bien à bord des 4 avions ou s’ils ont servi de boucs émissaires. Le pirate de l’air Marwan Al-Sheikki, qui s’empara des commandes du Boeing 767 du vol UA 175 n’avait jamais piloté de jet de toute sa vie, encore moins de gros avion de ligne. Néanmoins il a pu effectuer une montée de 1000 mètres par minute puis une descente vertigineuse de 3000 mètres par minute tout en contrôlant l’avion. Un prodige pour un novice, que les pilotes interrogés récusent en bloc.
Les instructeurs des pirates de l’air ont tous fait part de l’inexpérience des terroristes. Quant à l’entrainement de certains sur simulateur, il n’eut pas lieu sur le même type de Boeing. Par exemple, le pirate de l’air Hani Hanjur qui pilota le AA 77 s’était exercé sur un cockpit de 737, fort différent de celui du 757. Toujours à propos de Hani Hanjur, on imagine mal comment ce pilote amateur, qu’on estimait incapable de manœuvrer un simple Cessna, qui avait du mal à assimiler les principes de base de l’aviation et qui ne s’était jamais assis aux commandes d’un 757, a réussi à piloter de but en blanc un avion d’une telle envergure, à de telles vitesses et au ras du sol. Par ailleurs, il a choisi de percuter une façade du Pentagone, à l’opposé de son centre névralgique, faisant bien moins de victimes et de dégâts. Il aurait pu plonger, plus simplement pour le néophyte qu’il était, sur le toit du Pentagone, mais il n’en a rien fait.
Le témoignage du journaliste de NBC Jim Miklaszewski en a rendu plus d’un perplexe. Sur le ton de la confidence, un officier du renseignement militaire lui a conseillé à l’oreille, ce matin-là, de se tenir éloigné de l’anneau extérieur du Pentagone. Comment cet officier a-t-il su à l’avance ce qui allait arriver et surtout où cela allait arriver ? Il semble que la rumeur circulait déjà au plus haut niveau de la direction militaire. Comment est-ce possible ?
Fait intriguant supplémentaire, il n’existe pas une seule image des 19 pirates de l’air dans les différentes aires des trois aéroports d’où sont partis les avions. Ni au duty free, ni au contrôle de sécurité et pas davantage dans la salle d’embarquement, ce matin du 11 septembre 2001. Il n’y a par conséquent aucune preuve attestant qu’ils se soient vraiment trouvés à bord des avions.
… à propos des avions :
On peut donc se poser la question de savoir si les avions qui ont frappé les cibles du WTC et du Pentagone ainsi que Shanksville sont bien ceux qui ont décollé des aéroports de Boston, Washington et New York, le matin du 11 septembre.
Au sujet des enregistreurs de voix dans le cockpit et de paramètres de vol, le contenu de six boîtes noires sur huit n’a jamais été rendu public et celui des deux dernières est invérifiable. L’opacité est sciemment entretenue, c’est un fait.
Les avions qui ont percuté les Tours Nord et Sud et le Pentagone se sont tous déplacés à basse altitude, à une vitesse très élevée, supérieure de plus de 300 km/h à la vitesse limite de l’appareil, ce qui aurait dû compromettre gravement leur structure.
Une thèse s’impose alors : les avions qui se sont écrasés ne seraient-ils pas plutôt des avions militaires télécommandés ? Remplacer un avion de ligne par un drone militaire était dans les cordes de la CIA depuis longtemps. Un rapport de 1962 de l’opération Northwoods détaillait comment le faire sans que le contrôle aérien s’en aperçoive. Mais alors que seraient devenus les passagers des vols qu’on nous a présentés comme détournés ? On ignore encore si la substitution a été réellement effectuée, en revanche ce qui est sûr c’est que les passagers des vols AA et UA n’ont pas pu passer de coups de téléphone depuis l’avion avec leur portable, comme l’accrédite la version officielle.
Dans le crash du AA 77, les deux réacteurs de l’avion, en raison de leur résistance et de leur matériau presque indestructible, auraient dû être retrouvés dans les décombres. Ce qui n’a pas été le cas. Inversement pour le fuselage, la partie la moins robuste, il est parvenu à conserver son intégrité structurelle en traversant trois anneaux et en décrivant une brèche parfaitement circulaire dans le mur de l’anneau de sortie. Un tel résultat ne s’explique pas. Dans ce crash on ne retrouve aucune pièce de taille significative comme dans tous les crashs. Et les dégâts occasionnés sur le bâtiment sont totalement incompatibles avec la collision d’un Boeing 757. De plus, malgré la centaine de caméras postées tout autour du Pentagone, une seule vidéo tronquée et inexploitable a été livrée au public. L’intégralité des autres est restée top secret à ce jour !
Pour le vol UA 93, le Boeing 757, d’une masse de 100 tonnes, aurait fini sa course presque entièrement enterré au fond d’un cratère qui s’est refermé sur lui-même avant l’arrivée des premiers secours. Manifestement le lieu du crash ne ressemble en rien à la scène d’un accident d’avion. On n’a trouvé aucun grand morceau de l’avion et personne n’a pu en examiner les restes. Bien des points ne cadrent pas. L’examen de l’impact et un certain nombre de témoignages laissent plutôt entendre que l’avion aurait été abattu.
Quant aux avions qui ont provoqué l’effondrement des Tours Nord et Sud du WTC, l’analyse de la chute des Twin Towers montre qu’il s’agit indubitablement d’une démolition contrôlée, seule explication plausible à une chute libre des tours comme cela s’est passé. Toutes les explications techniques concernant la rupture de structure en provenance du NIST (Institut National des Normes et de la Technologie), de la Commission 9/11 et des débunkers présentent des failles et ne permettent pas d’expliquer le phénomène. Ces derniers invoquent ainsi l’incendie provoqué par l’impact des avions pour justifier l’effondrement des tours. Or, jusqu’à présent, aucun incendie n’a fait s’écrouler de gratte-ciel. Un nombre incalculable de spécialistes (scientifiques, ingénieurs, pompiers…) ont corroboré le fait que les explications officielles ne tiennent pas. Ajoutez à cela les témoignages innombrables, dont ceux des agents de sécurité, qui parlent d’explosions à intervalles réguliers notamment au moment du premier impact sur la Tour Nord. Mais aussi, l’énorme explosion au sous-sol de la Tour Nord, juste avant l’impact de l’avion ou encore la conflagration dans le hall d’entrée de la Tour Nord une heure après l’impact de l’avion et avant la chute de la Tour Sud. Alors le faisceau d’indices devient déconcertant et ne peut être balayé d’un geste désinvolte.
S’agissant du WTC 7, là encore une forte explosion a été perçue au huitième étage avant que les deux tours ne s’effondrent. La question demeure toujours de savoir pourquoi le WTC 7, qui n’a été touché par aucun avion, s’est effondré alors qu’il est établi qu’aucun incendie n’a pu provoquer sa chute. Lui aussi s’est effondré en chute libre. Les vidéos des caméras de la BBC et de CNN le prouvent sans ambigüité. Elles attestent également d’explosions entre la chute des tours et celle du WTC 7. Tout va donc dans le sens d’une démolition contrôlée ici aussi. Enfin nombre de témoignages de pompiers ont signalé qu’on leur avait recommandé de s’éloigner du WTC 7, car il allait s’effondrer ou qu’on allait l’abattre. Rien n’indiquait pourtant une telle issue à moins que, comme pour le Pentagone, la destruction de bâtiment 7 du World Trade Center ait été voulue dès le début…