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Panique à l'état-major

Le 08/03/2022

Dans Actualités

Au déclenchement de l’intervention russe en Ukraine, beaucoup ont dénoncé les provocations de l’administration Biden, de l’Union européenne et de l’OTAN qui n’avaient d’autre but, semble-t-il, que de rendre vain tout espoir de sortie de crise pacifique. Il m’a paru alors éclairant d’insister sur le branle-bas de combat lancé par l’héritier des Rothschild dans son message au gouvernement britannique.

Or, jusqu’à présent, une partie seulement avait été évoquée. Revenir sur le reste du message et ses injonctions est intéressant afin d’évaluer le degré de panique qui gagne l’oligarchie. Si elle est plus que jamais à la manœuvre dans son projet de domination, ses dernières actions ont peut-être une finalité moins glorieuse : ne pas prendre l’eau, tout simplement.

Rappelons qu’après Poutine, Nathaniel Rothschild, dit Nat pour les initiés, voit en Xi Jinping un ennemi presque aussi redoutable. Ceci va nous permettre d’éclairer notre lanterne sur l’échiquier planétaire. Une analyse opportune, que nous devons à Mathieu Sirvins, récemment parue dans The Epoch Times, va dans ce sens. L’article est sous titré : «Tout le monde peut sentir qu’un changement profond est en train de s’opérer ». Sans trop s’avancer, et si l’exposé fournit un juste aperçu de la situation, on peut dire que la Chine de Xi, déjà bien engagée officiellement aux côtés des russes, est loin de collaborer avec les tenants du Nouvel Ordre Mondial. En revanche, on peut supposer que la clique de Jiang Zemin, l’éternel rival de Xi, dont les crimes commis contre les pratiquants de la méthode bouddhiste Falun Gong sont avérées, est la faction objectivement alliée au mondialisme. Jiang Zemin, alors maire de Shangaï, avait été poussé à la direction du pays par Deng Xiaoping, à la suite du massacre des étudiants de la place Tian An Men, le 4 juin 1989. Mais depuis 2012 et l’arrivée au pouvoir de Xi, une lutte à mort entre les clans de Xi Jinping et Jiang Zemin fait rage. Depuis son accession au pouvoir, Xi tente d’en finir avec les réseaux de Jiang Zemin. Mais le parti communiste chinois est un panier de crabes, et Xi n’a pas non plus les mains propres. Les Ouighours lui doivent leur persécution. Soros a affirmé que l’âge d’or des relations entre les financiers ou les hommes politiques occidentaux et la Chine remontait à Deng Xiaoping et Jiang Zemin. Le PCC aurait alors assuré leur enrichissement. Mais le PCC, par ses exactions, est devenu infréquentable entre temps. En s’attaquant aux réseaux de Jiang Zemin, Xi a donc nui à l’oligarchie mondialiste à laquelle appartient Soros. Nul doute que le mondialisme perçoive Xi comme un nouvel ennemi. Chine non censurée avance même que Xi aurait l’intention de faire tomber la faction de son adversaire historique et le PCC avec, après l’avoir déjà purgé de 4 millions de membres ! Xi se retrouve plutôt en position de force. Pour preuve, Bo Xilai, le poulain de Jiang Zemin promis aux plus hautes fonctions à seule fin de renverser Xi, est actuellement en prison. Ce dernier était compromis dans le trafic d’organes des victimes du Falun Gong. De plus, la gestapo personnelle de Jiang, que fut le bureau 610, a été démantelée.

Au fil de l’article, Mathieu Sirvins a l’occasion d’illustrer les méthodes de la clique de Jiang Zemin, si chère aux mondialistes : « Jiang Zemin, dit-il, […] a pris une partie de la population innocente, l’a désignée comme un ennemi du peuple sous un torrent de propagande pour inciter à la haine, à la dénonciation, ou encore à la torture. Toute la société a dû participer, par peur ou pour une récompense en argent. Des écoliers ont dénoncé leur camarade de classe, des travailleurs leurs collègues, des résidents leur voisin. Pour atteindre leur quota et toucher leur prime, des gardes de prison ont redoublé ‘’d’effort’’ pour rééduquer et transformer les récalcitrants. » Tout cela ne vous rappelle-t-il rien ? N’est-ce pas ce que nous avons vécu, je le concède en moins barbare, venant de nos tortionnaires. On reconnait les mêmes ressorts pour mettre au pas une société. Nos médecins ont joué aux gardiens de prison. Grassement payés pour cela, ils ont étiqueté covid malades et morts, ils ont promu une vaccination qui n’en était pas, ils ont inoculé eux-mêmes leurs semblables ou ont nourri la propagande du seul discours autorisé… La fracturation de notre société a été obtenue grâce à l’incitation à la haine contre les non-inoculés et la délation. Les mêmes ressorts, vous dis-je.

Cliques chinoises
Zel

Mais revenons au message de Nathaniel Rothschild qui se poursuit ainsi : « Nous ne devons pas nous faire d’illusions : si nous laissons Vladimir Poutine s’emparer de l’Ukraine, cela enverra à nos ennemis, l’Iran, la Chine et la Corée du Nord en particulier, le signal que nous ne ferons rien face à un assaut de force. » C’est clair. Le mondialisme est encore loin de dominer tout le globe. Russie et Chine, en tête, figurent au nombre de ses rivaux. En Russie, leur bête noire Vladimir Poutine parait indéboulonnable. C’est pourquoi des voix radicales parmi les mondialistes osent en appeler à son élimination physique. C’est toujours ainsi avec cette clique. Lorsqu’elle n’a pas d’autre moyen d’arriver à ses fins, l’élimination directe est son recours. En ce qui concerne la Chine, comme on vient de le voir, un autre épouvantail a assis son pouvoir. Le chemin des globalistes vers la domination totale est encore semé d’embûches et sa dynamique en a pris un coup, compte tenu du rapport de forces qui se dessine et qui ne semble pas jouer en leur faveur.

La fin du communiqué abonde en indications sur l’état du conflit. « En effet, notre voie actuelle, s’écrie l’héritier Rothschild, celle de l’absence d’action militaire, signifie que notre ordre mondial est mort sur pied. » Voilà un aveu qu’un général ne s’aventurerait pas à écrire avant la bataille. J’y vois un véritable feu de détresse lancé par un conspirateur aux abois. Le communiqué se poursuit ainsi : « Je vous invite à déployer davantage de force contre la Russie et ses mandataires, à intensifier ‘’la guerre de l’information’’ pour corriger l’opinion, notamment en ligne, et à envoyer des armes à nos amis en Ukraine. Sans l’Ukraine, l’ordre mondial pourrait ne pas survivre. » On comprend pourquoi avoir fomenté l’opération Ukraine. Ce n’est peut-être pas pour remplacer l’opération covid qui s’essoufflait, mais parce qu’il semble que ce pays soit devenu une pièce maîtresse pour le Nouvel Ordre Mondial. Ce dernier serait-il un colosse aux pieds d’argile ? Les pieds en Ukraine ? Tout est exprimé en quelques mots. Aux dires du maréchal en chef du mondialisme, l’Ukraine serait la mère de toutes les batailles, d’où cet ordre d’intensification du bombardement médiatique. On distingue de l’affolement et de la brutalité qui va jusqu’à vouloir corriger l’opinion comme on corrige un enfant, un inférieur, un soumis, pire un esclave. En lui faisant la guerre. Comme Macron, ils n’ont que ce mot à la bouche. Tout est bon pour la mener contre les peuples. En particulier une guerre de l’information pour nous apprendre à penser comme il se doit, comme ces führers l’ordonnent.

Sans l’Ukraine, l’ordre mondial pourrait ne pas survivre. C’est exactement notre vœu, la chute du régime faussement démocratique, acoquiné aux ukronazis, du dépravé, crapuleux et grand-guignolesque Zelensky. Ce président fantoche se serait réfugié, dit-on, dans l’ambassade américaine, en attendant que l’on découvre grâce aux enquêtes de George Webb la noirceur du personnage que nos médias s’ingénient à faire passer pour un héros. Et sa chute, à en croire Rothschild, serait en mesure d’entrainer celle du Nouvel Ordre Mondial. L’opération Ukraine ne semble donc pas une simple opération de plus pour l’état profond, mais vraisemblablement l’ultime atout dans sa manche avant de renverser la table.

Terminons par les paroles pleines d’espoir de Donald Trump prononcées en 2019 aux Nations Unies, qui pourraient augurer du fait que dans un proche avenir le mondialisme batte en retraite : « Si vous voulez la liberté, soyez fiers de votre pays. Si vous voulez la démocratie, accrochez-vous à votre souveraineté. Et si vous voulez la paix, aimez votre nation. Les dirigeants sages considèrent toujours le bien de leur propre peuple et de leur propre pays comme prioritaire. Le futur n’appartient pas aux mondialistes. Le futur appartient aux patriotes. Le futur appartient aux nations souveraines et indépendantes qui protègent leurs citoyens, respectent leurs voisins, et honorent les différences qui rendent chaque pays spécial et unique. »

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