Or, jusqu’à présent, une partie seulement avait été évoquée. Revenir sur le reste du message et ses injonctions est intéressant afin d’évaluer le degré de panique qui gagne l’oligarchie. Si elle est plus que jamais à la manœuvre dans son projet de domination, ses dernières actions ont peut-être une finalité moins glorieuse : ne pas prendre l’eau, tout simplement.
Rappelons qu’après Poutine, Nathaniel Rothschild, dit Nat pour les initiés, voit en Xi Jinping un ennemi presque aussi redoutable. Ceci va nous permettre d’éclairer notre lanterne sur l’échiquier planétaire. Une analyse opportune, que nous devons à Mathieu Sirvins, récemment parue dans The Epoch Times, va dans ce sens. L’article est sous titré : «Tout le monde peut sentir qu’un changement profond est en train de s’opérer ». Sans trop s’avancer, et si l’exposé fournit un juste aperçu de la situation, on peut dire que la Chine de Xi, déjà bien engagée officiellement aux côtés des russes, est loin de collaborer avec les tenants du Nouvel Ordre Mondial. En revanche, on peut supposer que la clique de Jiang Zemin, l’éternel rival de Xi, dont les crimes commis contre les pratiquants de la méthode bouddhiste Falun Gong sont avérées, est la faction objectivement alliée au mondialisme. Jiang Zemin, alors maire de Shangaï, avait été poussé à la direction du pays par Deng Xiaoping, à la suite du massacre des étudiants de la place Tian An Men, le 4 juin 1989. Mais depuis 2012 et l’arrivée au pouvoir de Xi, une lutte à mort entre les clans de Xi Jinping et Jiang Zemin fait rage. Depuis son accession au pouvoir, Xi tente d’en finir avec les réseaux de Jiang Zemin. Mais le parti communiste chinois est un panier de crabes, et Xi n’a pas non plus les mains propres. Les Ouighours lui doivent leur persécution. Soros a affirmé que l’âge d’or des relations entre les financiers ou les hommes politiques occidentaux et la Chine remontait à Deng Xiaoping et Jiang Zemin. Le PCC aurait alors assuré leur enrichissement. Mais le PCC, par ses exactions, est devenu infréquentable entre temps. En s’attaquant aux réseaux de Jiang Zemin, Xi a donc nui à l’oligarchie mondialiste à laquelle appartient Soros. Nul doute que le mondialisme perçoive Xi comme un nouvel ennemi. Chine non censurée avance même que Xi aurait l’intention de faire tomber la faction de son adversaire historique et le PCC avec, après l’avoir déjà purgé de 4 millions de membres ! Xi se retrouve plutôt en position de force. Pour preuve, Bo Xilai, le poulain de Jiang Zemin promis aux plus hautes fonctions à seule fin de renverser Xi, est actuellement en prison. Ce dernier était compromis dans le trafic d’organes des victimes du Falun Gong. De plus, la gestapo personnelle de Jiang, que fut le bureau 610, a été démantelée.
Au fil de l’article, Mathieu Sirvins a l’occasion d’illustrer les méthodes de la clique de Jiang Zemin, si chère aux mondialistes : « Jiang Zemin, dit-il, […] a pris une partie de la population innocente, l’a désignée comme un ennemi du peuple sous un torrent de propagande pour inciter à la haine, à la dénonciation, ou encore à la torture. Toute la société a dû participer, par peur ou pour une récompense en argent. Des écoliers ont dénoncé leur camarade de classe, des travailleurs leurs collègues, des résidents leur voisin. Pour atteindre leur quota et toucher leur prime, des gardes de prison ont redoublé ‘’d’effort’’ pour rééduquer et transformer les récalcitrants. » Tout cela ne vous rappelle-t-il rien ? N’est-ce pas ce que nous avons vécu, je le concède en moins barbare, venant de nos tortionnaires. On reconnait les mêmes ressorts pour mettre au pas une société. Nos médecins ont joué aux gardiens de prison. Grassement payés pour cela, ils ont étiqueté covid malades et morts, ils ont promu une vaccination qui n’en était pas, ils ont inoculé eux-mêmes leurs semblables ou ont nourri la propagande du seul discours autorisé… La fracturation de notre société a été obtenue grâce à l’incitation à la haine contre les non-inoculés et la délation. Les mêmes ressorts, vous dis-je.