J’ai soutenu depuis un bon moment que le covid était une opération de l’Etat profond. Cependant je m’appuyais sur le diagnostic, je dirais classique, d’un virus modifié en laboratoire. Les pseudo-vaccins demeuraient quant à eux totalement mystérieux dans leur composition. Puis des scientifiques indépendants se penchèrent sur eux, les observèrent et firent part de leur stupéfaction. Ils étaient éberlués, et nous avec, de découvrir, au sein des inoculats, des nanotechnologies d’auto-assemblage qui pouvaient communiquer par signaux électromagnétiques. Mais peu se hasardèrent, jusqu’ici, à expliquer les objectifs ni même les fonctionnalités de ces technologies. Et pour cause. Il s’agissait de réalisations de la recherche de pointe, ignorées du grand public bien sûr, et des spécialistes, en dehors de ceux à l’origine de leur développement. Ces derniers étant tenus au secret, on s’en doute. Si tous les brevets ne sont cependant pas scellés, il est à parier que, sous couvert militaire, les autorités ont conservé le secret. Elles ont évité toute publicité préjudiciable. Des décennies de recherches poussées, en coopération avec la Chine, sous le parrainage des services secrets américains, ont travaillé à ce scénario à la Hitchcock. Mais, comme le dit Karen Kingston, bien des documents demeurent accessibles, qui permettent de savoir en quoi a consisté exactement le covid 19. Encore fallait-il un esprit curieux, intègre et surtout connaisseur pour aller extraire les preuves de la masse de publications.
Le substack (plateforme en ligne fournissant une infrastructure de publication) de Karen Kingston, accessible depuis son site web, regroupe tous les documents officiels auxquels elle se réfère dans ses entretiens audiovisuels, que ce soit chez Stew Peters, Mike Adams ou Maria Zeee. Ces documents ne souffrent d’aucune contestation possible. Ils constituent les preuves accablantes que les principaux intéressés ont préparé et exécuté un crime contre l’humanité.
Les recherches de Karen Kingston allaient donc bouleverser la vision des choses que nous avions à ce stade. L’analyste en biotechnologie a mis le nez dans tout un tas de brevets, ceux des fabricants et des sous-traitants. Un travail fastidieux et ingrat, mais ô combien fécond et cauchemardesque. D’abord pour elle-même qui y allait en éclaireur et qui découvrit la première le pot aux roses avec stupeur. « Les citoyens du monde, allègue-t-elle, ont été manipulés pour faire croire que le virus SRAS-CoV-2 était très infectieux et produisait des protéines de pointe (protéines spike) très mortelles. Ce récit trompeur était nécessaire pour susciter la peur et la confiance aveugle qui seraient nécessaires pour lancer avec succès la guerre via le Covid 19 contre l’humanité, y compris l’acceptation par le monde entier des injections mortelles de l’arme biologique Covid 19. »
Le premier enseignement, qui ressort de ses travaux, est que le covid 19 ainsi que les vaccins ARNm contre le covid 19 ne sont pas ce qu’ils sont censés être. Ils sont, l’un comme les autres, la même arme biologique artificielle. La même arme biotechnologique, de l’infection à l’injection.
A la question directe de Stew Peters, qu’est-ce qui a alors infecté les gens si ne ce n’est pas un virus ? Karen Kingston, ancienne employée de Pfizer, a répondu : « Ce qui a infecté les gens était un parasite de l’Intelligence Artificielle (IA). Cette nano-arme est une nouvelle sorte d’IA ».