Nous voici arrivés aux portes de l’Enfer

Le 24/11/2022

Dans Actualités

« La seule façon d’arrêter cela est que les personnes cessent de fuir la vérité et l’affrontent. »  Karen Kingston

Depuis un certain nombre de semaines, je n’ai cessé de remettre à plus tard ce que je vais évoquer maintenant. Bien d’autres alerteurs ont eu le même réflexe. D’abord à cause de la complexité du sujet, de son énormité, mais ensuite du fait des répercussions effroyables pour l’humanité. Arrivé aux portes de l’Enfer, c’est un réflexe naturel que de reculer d’un pas. C’est bien là, en effet, que nous somme arrivés, comme on va s’en apercevoir. Finalement, il a bien fallu que je me décide à avancer et à aborder les terrifiantes découvertes de Karen Kingston, tant leurs conséquences nous touchent tous au plus profond.

J’ai soutenu depuis un bon moment que le covid était une opération de l’Etat profond. Cependant je m’appuyais sur le diagnostic, je dirais classique, d’un virus modifié en laboratoire. Les pseudo-vaccins demeuraient quant à eux totalement mystérieux dans leur composition. Puis des scientifiques indépendants se penchèrent sur eux, les observèrent et firent part de leur stupéfaction. Ils étaient éberlués, et nous avec, de découvrir, au sein des inoculats, des nanotechnologies d’auto-assemblage qui pouvaient communiquer par signaux électromagnétiques. Mais peu se hasardèrent, jusqu’ici, à expliquer les objectifs ni même les fonctionnalités de ces technologies. Et pour cause. Il s’agissait de réalisations de la recherche de pointe, ignorées du grand public bien sûr, et des spécialistes, en dehors de ceux à l’origine de leur développement. Ces derniers étant tenus au secret, on s’en doute. Si tous les brevets ne sont cependant pas scellés, il est à parier que, sous couvert militaire, les autorités ont conservé le secret. Elles ont évité toute publicité préjudiciable. Des décennies de recherches poussées, en coopération avec la Chine, sous le parrainage des services secrets américains, ont travaillé à ce scénario à la Hitchcock. Mais, comme le dit Karen Kingston, bien des documents demeurent accessibles, qui permettent de savoir en quoi a consisté exactement le covid 19. Encore fallait-il un esprit curieux, intègre et surtout connaisseur pour aller extraire les preuves de la masse de publications.

Le substack (plateforme en ligne fournissant une infrastructure de publication) de Karen Kingston, accessible depuis son site web, regroupe tous les documents officiels auxquels elle se réfère dans ses entretiens audiovisuels, que ce soit chez Stew Peters, Mike Adams ou Maria Zeee. Ces documents ne souffrent d’aucune contestation possible. Ils constituent les preuves accablantes que les principaux intéressés ont préparé et exécuté un crime contre l’humanité.

Les recherches de Karen Kingston allaient donc bouleverser la vision des choses que nous avions à ce stade. L’analyste en biotechnologie a mis le nez dans tout un tas de brevets, ceux des fabricants et des sous-traitants. Un travail fastidieux et ingrat, mais ô combien fécond et cauchemardesque. D’abord pour elle-même qui y allait en éclaireur et qui découvrit la première le pot aux roses avec stupeur. « Les citoyens du monde, allègue-t-elle, ont été manipulés pour faire croire que le virus SRAS-CoV-2 était très infectieux et produisait des protéines de pointe (protéines spike) très mortelles. Ce récit trompeur était nécessaire pour susciter la peur et la confiance aveugle qui seraient nécessaires pour lancer avec succès la guerre via le Covid 19 contre l’humanité, y compris l’acceptation par le monde entier des injections mortelles de l’arme biologique Covid 19. »

Le premier enseignement, qui ressort de ses travaux, est que le covid 19 ainsi que les vaccins ARNm contre le covid 19 ne sont pas ce qu’ils sont censés être. Ils sont, l’un comme les autres, la même arme biologique artificielle. La même arme biotechnologique, de l’infection à l’injection.

A la question directe de Stew Peters, qu’est-ce qui a alors infecté les gens si ne ce n’est pas un virus ? Karen Kingston, ancienne employée de Pfizer, a répondu : « Ce qui a infecté les gens était un parasite de l’Intelligence Artificielle (IA). Cette nano-arme est une nouvelle sorte d’IA ».

Kingston chez adams

Karen Kingston montrant à Mike Adams une publication Moderna en guise de preuve

Science-fiction, penserez-vous ? Alors écoutez Karen Kingston et découvrez à l’écran les pièces qui authentifient ses allégations. Les protéines spike du SRAS-CoV-2 ne sont pas des produits biologiques, synthétisés par les cellules du corps humain ou émergents d’un virus. Ce sont des hydrogels magnétiques intelligents, encapsulés dans des nanoparticules lipidiques (LNP)PEGylées. Au lieu de protéine spike naturelle, on a affaire ici à une nanoparticule lipidique magnétisée appelée mPEG de technologie CRISP-Cas9. Cette nano-arme ressemble beaucoup à la protéine spike de par sa structure sphérique en épis qui pénètrent les cellules (cf. ci-dessous les images d’une protéine spike courante et de la nano-arme). Son aspect rappelle, à une autre échelle, celui de ces boules recouvertes d’alu où sont piquées des mini brochettes servies à l’apéritif ! Selon les brevets déposés par un certain Ralph Baric à la DARPA (Agence de Projets de Recherche Avancée de la Défense Américaine) on peut la disséminer de plusieurs façons, par exemple en la pulvérisant dans l’eau ou dans la nourriture, mais aussi en l’introduisant dans les injections qu’on appelle vaccins. Ce sont en réalité des parasites biosynthétiques qui altèrent les gênes pour générer virus et maladies.

Spike naturelle et spike artificielle
Darpa

Spike naturelle et spike artificielle

Une autre partie dans cette arme est technologique. Aidée d’ingénieurs et munie des brevets, Karen Kingston a pu investiguer ce second versant. La séquence technologique, poursuit-elle, est basée sur la notion de points quantiques (Qdots). On en trouve par exemple dans les LED qui procurent à leur lumière des couleurs vives. On les trouve par exemple dans certains téléviseurs. Une consultation du brevet Moderna prouve qu’on les a employés dans les injections. Cependant cette technologie se retrouve dans tous les pseudo-vaccins dits à ARNm. Le fait a été constaté par des expérimentateurs indépendants. Ces Qdots peuvent se mouvoir et baliser les organes et les tissus. Ils sont eux-mêmes encagés dans des nano-tubes à paroi simple d’oxyde de graphène. Cette technologie est ensuite soumise à des fréquences électromagnétiques. Certaines d’entre elles permettent d’interagir avec la pseudo-protéine spike. Les tours 5G sont la source émettrice mais non exclusive de ces ondes électromagnétiques. Du reste, les documents confirment que la technologie en question est en rapport avec la 5G. Ceci doit être dit pour les petits malins, payés par nos ennemis, ou pour les invétérés sceptiques, qui crieraient encore et toujours à une théorie du complot.

Comme tout bon scientifique le sait, reste à soumettre ces éléments à l’appréciation de l’expérience. Ce que l’on a constaté depuis 2020 est-il en adéquation avec l’usage de cette nano-arme ?

Tout d’abord, l’efficacité des traitements proposés par les médecins courageux trouve sa justification. Brevets et publications indiquent noir sur blanc que ces parasites réagissent aux produits chimiques. Et, étant donné que le vaccin n’est pas un vaccin respiratoire mais une nano-arme d’IA qui agit en parasite, ceci explique pourquoi l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine ou tout traitement anti-parasitaire analogue parvient à l’éliminer ou du moins à ralentir sa réplication.

D’autres observations échelonnées sur ces deux dernières années trouvent enfin une interprétation. Pourquoi les personnes injectées sont-elles devenues magnétiques, se demandait-on. En effet, combien d’entre elles ont fait l’expérience d’une petite cuillère métallique qui collait d’elle-même au bras qui avait été piqué. Si on avait affaire à une protéine spike biologique, cela ne s’expliquerait pas. Les propriétés électromagnétiques de cette nanotechnologie sont au contraire susceptibles de l’expliquer.

Autre constatation, depuis un an et demi, qui prend sens, hélas : la présence de caillots sanguins de nature inconnue que les embaumeurs des pompes funèbres extirpent chaque jour des cadavres de personnes vaccinées. On sait désormais de quoi ils sont constitués. De ces parasites biosynthétiques, qui peuvent continuer à se développer en dehors des tissus hôtes.

Guerre covid 19

Si l’arme mise au jour par Karen Kingston est conçue pour transformer le génome, à quelles fins direz-vous ? A des fins d’expérimentation ou à des fins d’extermination, voire aux deux. Tous ces produits sont le fait d’une volonté de détruire en grande partie l’humanité et d’en asservir l’autre. Leur emploi devrait être interdit. Leur emploi, en toute connaissance de cause, devrait faire l’objet d’une enquête pour meurtre ou tentative de meurtre, car c’est bien ce que c’est. Aussi doit-il être mis fin à cette technologie. La 5G n’a rien à voir avec un service rendu aux hommes. Ces antennes n’ont pas poussé comme par miracle pendant les confinements pour notre bien-être. Elles sont un élément essentiel dans cette opération de type militaire contre les peuples. On saisit maintenant pourquoi Macron avait tellement moqué les opposants à la 5G, les qualifiant d’amish. S’il y a un jour une justice dans ce pays, l’occupant de l’Elysée devra répondre devant elle de tous ses crimes.

« Finalement, le covid 19 n’est pas un virus mais l’inoculation de l’IA aux humains […] Le covid 19 est une guerre contre l’humanité. » Voilà le cri d’effroi de Karen Kingston. Il ne tient qu’à nous d’en tenir compte en faisant toute la lumière ou de faire les autruches. Si les trois quarts des français se sont inoculés de gré ou de force des parasites qui peuvent les foudroyer à tout instant, dès lors qu’un bourreau recevra l’ordre d’appuyer sur le bouton, n’est-il pas temps d’ouvrir les yeux devant ces portes de l’Enfer grandes ouvertes, prêtes à nous happer ou préférons-nous passer le seuil en sifflotant ?¾

 

Photo d'illustration : La porte de l'Enfer d'Auguste Rodin

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