Ne vous voilez pas la face, le masque revient

Souvenez-vous de ces paroles prononcées en 1971 par Léo Ferré : « La gauche est la salle d’attente du fascisme. » Eh bien nous y sommes ! Les avez-vous vu les Valls du PS, les Jadot d’EELV ou les Roussel du PC accourir pour quémander un poste dans un gouvernement Macron, après les législatives ? Ils sont tous d’accord pour se retrouver sous la bannière du dictateur d’opérette. C’est donc bien qu’il n’y a pas l’épaisseur d’un papier à cigarette entre les positions des uns et celles de l’autre. Le poète avait vu juste il y a cinquante ans, la gauche a plongé tête la première dans le fascisme. Elle n’en était jusqu’à présent que l’antichambre. Et là je ne parle pas seulement de la gauche consciente de jouer dans son intérêt le jeu du mondialisme, je parle de la grande majorité de la gauche, sûre de son bon droit, qui n’a aucune conscience des conséquences liberticides de ses choix et de ses actes. Après avoir soutenu au nom de l’antiracisme le droit des musulmans à draper leurs femmes d'un symbole d’infériorité, la voilà donc toute entière engagée à soutenir le masque, signe d’une nouvelle soumission à un fascisme dévoilé en 2020.

Le masque, certains disent plutôt la muselière, est le marqueur de ce totalitarisme. Ils l’ont imposé comme marque de soumission à leur nouvel ordre. L’image d’un Attali, faisant un signe à son interlocutrice pour lui signifier que son masque avait glissé de son visage, est restée dans les mémoires. Un geste d’arrogance, de supériorité puisque lui-même s’en était exempté, que ce doigt du maître en direction de l’esclave. De même cette photo des membres du G7 tombant dans les bras les uns des autres, alors que notre nouveau ministre de la santé, à peine en fonction, rechantait le couplet du port du masque par prudence. C’est devenu maladif chez les covidistes. Que n’ont-ils été aussi précautionneux vis-à-vis des vaccins !

Aussi lorsque je parcours les rues des villes et que je croise ces silhouettes sans visage, le masque en guise d’expression faciale, j’ai un haut-le cœur comme lorsque je croise une femme voilée. Ce ne sont plus des êtres à peu près libres que je rencontre, mais des esclaves de leur clan ou de leur peur. Le pire est qu’ils perpétuent, en l’arborant, la tyrannie des tyrans. Nous avions cru que les vichystes n’étaient que quelques âmes égarées que la guerre avait fini par décimer, mais nous n’avions pas compris que pendant toute la guerre le peuple de France en majorité s’était tenu derrière Pétain, parce qu’il était devenu le peuple de la résignation, de la servitude et de la défaite.

Aujourd’hui, les individus qui portent le masque chirurgical malgré la levée de l’obligation le font sous le coup de l’anxiété, ou bien avec la fierté mal placée de croire qu’ils sauvent leur prochain, ou encore parce qu’ils sont en mission pour la cause mondialiste comme ces pourris de médecins de plateau télé. Ceux que je croise font partie de la première sorte. Ce sont des êtres en pleine errance qui ont peur de leur ombre. Je suis à la fois compatissant et irrité de leur attitude. D’autres poussent si loin le grotesque que je n’ai plus que mépris pour ces êtres sans aucun amour propre.

Nous savons dorénavant que le masque diminue l’apport en oxygène, rend la respiration difficile, favorise l’inhalation des toxines, diminue le bon fonctionnement du système immunitaire, encourage le déclenchement et l’infection par des rétrovirus dormants dans l’organisme et est scientifiquement inutile vu la taille du virus. Comment le savons-nous ? Par plus de cent cinquante études, au bas mot. La dernière en date, une étude danoise, réalisée sur 6000 personnes et parue dans les Annals of Internal Medecine, démontre une fois de plus la parfaite inutilité des masques. Mais ces arguments, je le sais, ne pèsent rien dans la conversation avec ces farouches adeptes du système totalitaire. Ils sont conformistes, ils sont légitimistes à souhait. Ils vous répondent que le pouvoir en a décidé ainsi en l’ordonnant et qu’il faut s’y plier. J’en ai fait l’expérience moi-même. A ce stade, je n’ai plus que dédain envers une collaboration aussi cynique qui a choisi son camp. Ces personnes ne réfléchissent plus. Elles ne vivent qu’à travers leur adhésion au régime totalitaire.

Il faut dire que les médias leur facilitent la tâche. Avec leurs sondages trafiqués, à l’exemple de ce sondage IFOP du JDD, un organe prêt à mille courbettes devant le pouvoir, il y aurait 71% de français favorables à un retour du port du masque obligatoire dans les transports en commun. Tous ceux effectués dans le cadre des réseaux sociaux disent pourtant le contraire. La manipulation mentale continue de plus belle, au grand bonheur des collabos.¾

Photo d'illustration : La vérité sur le masque que porte l'alerteuse Syvia Miami bannie de youtube pour sa vidéo Le masque de la honte