Les psychopathes ne renonceront jamais à mentir

Le 13/03/2022

Dans Actualités

Une fois n’est pas coutume, je ferai allusion à un épisode d’une série policière française, Section de recherche, dont le titre importe peu, mais dont les choix du scénariste résonnent dans mon esprit. Voilà le pitch. Les enquêteurs de l’unité recherchent une famille disparue.

Après moult péripéties, ils en viennent à suspecter une personne considérée au départ comme un témoin sans importance dans l’affaire. L’étau se referme sur elle lorsqu’on apprend, par l’analyse de ses empreintes, qu’elle n’est autre que la mère de famille disparue. Aussitôt mise en garde à vue, la suspecte est transférée en salle d’interrogatoire, puis confrontée aux éléments incriminants de l’enquête.

Ce qui m’amène à parler de ce scénario, en particulier, est le déni effronté de la suspecte. Ainsi rejette-t-elle avec désinvolture toutes les accusations qui sont portées contre elle. Dans un premier temps, elle nie être la femme disparue. Elle ne le reconnait même pas devant les preuves flagrantes qu’on lui oppose. Et elle reconnait encore moins avoir tué mari et enfants. Elle campe sur ses positions avec un aplomb et une morgue qui ne font que l’accabler. Un tel comportement en dit long évidemment sur la psychopathe. Mais entre temps cette dernière a dû se débarrasser d’un témoin gênant, une jeune fille qui a vu par hasard ses agissements et qu’elle a eu le temps de séquestrer dans un lieu connu d’elle seule. Une course contre la montre s’engage alors. Mais rien ne fera changer d’attitude la suspecte qui finira par répondre que, sur un plan juridique, tant qu’aucun corps n’aura été découvert elle ne risque rien. Elle ne compte donc pas les aider pour retrouver la jeune fille saine et sauve; c’est ce que les enquêteurs comprennent vite. Le mutisme, la négation et le mensonge sont ses armes, et l’indifférence vis-à-vis de tout ce qui ne concerne pas sa petite personne constitue son principal mode de défense.

Après tout, qu’ont fait d’autre les protagonistes de l’élite ces deux dernières années. Les politiques et les médecins se sont présentés à nous, auréolés de l’éclat de leur statut, et beaucoup se sont fiés à eux. Ils n’étaient coupables de rien, ils étaient à tout prendre de simples témoins de ce qui se passait. Au fur et à mesure, des intervenants intègres ont débarqué avec des preuves en béton. Alors de témoins ils sont passés à suspects. L’opinion publique, un peu comme des observateurs derrière le miroir sans tain d’une salle d’interrogatoire, a recueilli leurs allégations. Quel spectacle ! Rien ne nous aura été épargné de la part de ces psychopathes. Ils ont nié, menti ou se sont tus. Ils nous ont intoxiqués avec un culot hors paire. Faut-il revenir sur l’interdiction des médicaments expérimentés contre le virus qui soi-disant ne convenaient pas. La preuve ? Uniquement des études erronées voire frauduleuses comme celle du Lancet contre l’hydroxychloroquine. Ils sont parvenus à lui inventer une nocivité de pure forme. Nombre de morts depuis 70 ans ? On attend toujours ! Mais pour les vaccins, ils n’auront pas été aussi regardants. Ils ont donc nié sans preuve, mieux avec des faux. Et quand des spécialistes impartiaux avancèrent les leurs, la réaction de nos psychopathes fut de ne pas en parler ou de discréditer leurs auteurs, ou encore de dénicher quelque défaut méthodologique, défaut dont ils vont eux-mêmes s’affranchir pour leurs propres « traitements » ou « vaccins ». Par rapport à l’ivermectine, on vient d’apprendre que le Dr Andrew Hill, mandaté par l’OMS, aurait subi des pressions pour enterrer la molécule. La vérité sort toujours pour qui sait attendre. Quant à leurs « vaccins », aucune étude sérieuse ne fut exigée pour garantir leur innocuité et leur efficacité. On se fia les yeux fermés à la pseudo-étude transmise par Pfizer, qui relevait davantage d’une publicité que d’un véritable article scientifique. Ils s’abstinrent même d’en communiquer la composition pendant longtemps. Les faits montreront quelle escroquerie monumentale ce fut. Faut-il parler aussi des effets secondaires des inoculations ? Les dégâts se multiplient autour de nous à vitesse grand v. Et que répondent ces psychopathes ? Rien d’abord. Circulez, il n’y a rien à voir. Puis, tout serait faux alors même que leurs propres agences de santé indiquent des chiffres déjà hors normes. Discours de complotiste !, s’écrient-ils. Ne voyez-vous pas qu’ils réagissent exactement comme la coupable de la série dont il a été question ? Par le mutisme, la négation et au besoin le mensonge qui est leur façon de se sentir supérieur et qui est d’autant plus gros qu’ils se sentent acculés. Il n’est pas question pour eux, en effet, de céder un pouce de terrain. Ils osent tout avec la même impudence. Le parallèle est décidément saisissant.

Carlson nuland

 

Dans la crise ukrainienne qu’ils ont montée de toutes pièces, on retrouve chez nos psychopathes un silence éloquent sur les origines du conflit, parmi elles le noyautage de l’Ukraine par l’OTAN. On retrouve un refus d’admettre l’existence de laboratoires d’armes biologiques installés par les Etats-Unis sur le territoire ukrainien ou la présence de groupes néonazis actifs auprès du pouvoir. Les russes auront eu beau apporter des preuves, rien n’y a fait. Même la sous-secrétaire d’état américano-ukrainienne, Victoria Nuland, artisane des menées américaines en Ukraine à partir de la révolution Euromaïden et peu soupçonnable de sympathie pro-russe, a admis l’implantation de ces laboratoires. Mais, là encore, c’est le black-out. Autocensure des médias, à l’exception du commentateur de Fox news Tucker Carlson. Sur d’autres sujets en revanche ils auront proféré une avalanche de mensonges au moyen des médias fake news : images supposées montrer les exactions de l’armée russe, quand ce sont systématiquement des images de conflits passés, touchant d’autres régions du globe, montages vidéo grossiers pour accréditer une version fictive de la réalité… La quantité de désinformation et de falsifications aura atteint des sommets.

Passons à l’élection présidentielle française maintenant. Nos psychopathes, en France, renoueront avec les mêmes ficelles, n’en doutons pas. Ils taisent l’impopularité de Macron et mentent en sortant de faux sondages. Comment imaginer qu’un tiers des français voteraient pour le squatteur de l’Elysée alors que celui-ci ne peut plus mettre un pied dehors sans affronter la vindicte populaire? On truque les débats en triant sur le volet un public à qui on a distribué les questions par avance. Et si l’élection s’avère être un four, on en viendra à trafiquer les résultats si nécessaire. Dominion Voting n’est pas fait pour les chiens.

Pour en revenir à l’épisode de notre série, la coupable n’éprouvera aucun remord quand elle sera mise devant le réel. Une équipe de terrain parviendra à localiser le lieu où ont été abandonnés les corps des victimes. Croyez-vous qu’elle s’effondrera alors ? Sa seule réaction sera de ne pas en avoir. On la presse pourtant de livrer l’emplacement où elle détient la jeune fille. Rien n’aura raison d’elle. Il faudra la perspicacité des enquêteurs et l’empathie des sauveteurs pour sauver la jeune suppliciée. Les gendarmes ne purent rien espérer de la coupable. Elle aura été jusqu’au-bout de sa perversité. Les investigateurs n’auront dû compter que sur eux-mêmes et garder le sens des réalités pour arriver à leurs fins.

Par conséquent, n’attendons pas un revirement de nos psychopathes, ouvertement entrés depuis deux ans dans la commission de leurs crimes. N’espérons pas qu’ils avouent l’horreur de leurs actes. Ils n’en ont aucunement l’intention. Leur psychisme est calibré ainsi, froid, calculateur et pervers. Ils resteront impassibles jusqu’à leur jugement. Ils nieront avoir prémédité le moindre mauvais coup. Après avoir protesté de leur innocence, ils resteront de marbre.

C’est pourquoi ne misons pas trop sur eux. Nous n’en réchapperons que par la diffusion de la vérité. Or, toute la planète, contrairement à ce qu’on aurait cru, ne s’est pas pliée à leur mainmise. L’oligarchie a devant elle des forces armées qui contestent sa puissance, de même que notre coupable, à la fin du film, quitte la scène entre deux gendarmes. Toute force est raison contre la tyrannie. Nos psychopathes ne font que se débattre actuellement par impuissance, d’où leur animosité et leur hystérie. Comme en 1945, nous devrons probablement notre salut au reste de la planète, une pensée qui n’aurait pas déplu à Raymond Aron. Ces pays, frères d’armes au moins pour un temps, nous aideront à terrasser les criminels entre nos murs et à les mettre hors d’état de nuire.

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