A la direction de l’OMS, ils ont également installé un des leurs, au passé violent, l’éthiopien Tedros Adhanom Ghebreyesus pour garantir la coordination de l’opération covid. A cette heure, l’OMS se targue de dicter à toute la planète la politique de santé, et non de la recommander. Tout est dans la nuance. Leur arrière-pensée est bel et bien d’établir le siège politique d’un gouvernement mondial dont la santé ne sera pas, vous vous en doutez, la préoccupation première. Les préparatifs auront lieu courant 2022. Bien entendu que Bill Gates ne sera pas en reste.
La dernière déclaration de Robert Malone montre qu’il n’est pas loin d’adhérer à ce point de vue. Voilà ce qu’il dit : « […] le CDC que j’ai bien observé au fil des ans s’est de plus en plus transformé en un bras politique et ne remplit pas sa fonction. On parle du Centre de contrôle et de prévention des maladies. Ce sont les archives de l’information sur lesquelles les médecins se sont appuyés pendant des décennies. C’est devenu une organisation purement politique et un bras du pouvoir exécutif. Et, à mon avis, ce qu’ils ont fait est obscène. Et cela explique en partie les attaques que Peter [Mc Cullough] et moi avons subies de la part de la presse […] Mais maintenant nous apprenons qui a vraiment répandu de la désinformation médicale : c’est le CDC. »
La véritable fonction du CDC est effectivement devenue politique, et n’a plus rien de sanitaire. Dans la bouche de Malone, le purement veut tout dire. Il veut dire que le CDC a oublié toute déontologie pour n’avoir plus qu’un but, ne servir qu’une cause, suivre la voie tracée par l’establishment mondialiste de Washington DC. Lorsque vous épluchez les financements du CDC et de la FDA, apparait de manière scandaleuse le nom de Pfizer, pour ne citer que lui. Il est clair qu’il y a là conflit d’intérêts. Ces organismes ne peuvent décider de manière indépendante, comme ils le devraient. Si leur sort est lié à celui des grands laboratoires, leur compagnonnage avec Big Pharma sert avant tout un but tactique. Ce qui fait dire à Malone que l’engagement du CDC est uniquement politique, et rien d’autre. Le franc-tireur qu’il est peut en juger, lui qui est familier du système de santé américain. A ce titre, il n’a pas hésité à mettre en demeure les employés de l’agence gouvernementale quant à la dissimulation de certaines données. Des enquêtes auront lieu, les a-t-il avertis.
Cela fait longtemps que j’évite de parler de dictature sanitaire. On comprend pourquoi. Nous avons eu affaire à une dictature qui s’est présentée sous les habits de la médecine. Autrement dit, une dictature qui, pour ne pas s’attirer les foudres des populations, s’est travestie. Mais, déguisée ou pas, on a été nombreux à la reconnaître par son hideux visage. Il s’agit bien de dictature, tout court. Et même davantage ici, il s’agit de totalitarisme. Le premier à surgir au vingt et unième siècle !