Le complot des blouses blanches

Le 09/03/2022

Dans Actualités

Non, nous n’avons pas assisté à deux ans de conduite politique du pays brusquement en proie à une crise sanitaire. Nous avons, au contraire, assisté à une mise en place d’un totalitarisme assumé par des politiciens qui ont pris la peine auparavant d’enfiler une blouse blanche pour, une fois travestis, mieux contraindre le peuple à accepter les directives qu’ils voulaient voir appliquer. L’accoutrement était une ruse, un camouflage pour mieux duper l’ennemi en temps de guerre.

Et l’ennemi c’était nous, nous qui étions censés être protégés et qui nous sommes livrés pieds et poings liés à la clique oligarchique, qui avait mis en place les rouages de son escroquerie. L’opération covid, conçue comme une opération sous couverture, a été élaborée à ces fins. Il fallait un événement qui ne laisse pas entrevoir que la classe politique, en grande partie corrompue, obéissait à un même ordre, asservir le peuple. Le genre d’événement a été choisi avec pertinence. Il fut décidé qu’il serait d’ordre sanitaire. Mais les têtes pensantes de cette prodigieuse machination y avaient déjà réfléchi depuis longtemps. Les preuves incitent à penser que la scénarisation remonte au moins à 2009. Ainsi, sous couvert de santé publique, animés soi-disant par le souci de la collectivité, les décideurs politiques ont eu les mains libres pour agir. C’est ce qu’ils firent en mars 2020. Le piège se refermait sur nous.

Les conspirateurs arrivèrent en ordre de bataille. Au service d’une unique doctrine, ils étaient tous passés par le Forum Economique Mondial. De là, Bancel partit chez Moderna, Bourla chez Pfizer. Pensez-vous que ces deux olibrius ont fait partie des Young Global Leaders pour devenir de vulgaires PDG de l’industrie pharmaceutique ? Etait-ce là leur ambition ? Assurément pas. Ils ont infiltré à tous les niveaux hiérarchiques les grands laboratoires, comme d’autres ont infiltré les strates des systèmes politiques nationaux, mais aussi économiques, judiciaires ou médiatiques…

Ces mercenaires de Bancel et Bourla se sont alors drapés dans les habits neufs du covid, à l’occasion pour nous vacciner, à l’occasion pour amasser des dizaines de milliards de dollars dans leurs caisses. Des milliards qui ici iront se cumuler à la dette déjà pléthorique du pays. Mais en fait ils n’exercent ces fonctions que dans une perspective politique. Ils occupent ces postes pour mener une guerre contre le peuple, sous prétexte de covid. Bancel, Bourla ne sont pas des PDG mus par le bien-être de l’humanité, ni même de banals PDG animés par l’appât du gain. Ce sont des pions essentiels du Nouvel Ordre Mondial dans sa manœuvre de pérennisation. Les acteurs politiques, presque tous acquis à la cause, ont revêtu l’un après l’autre une blouse blanche, pour l’un celle du médecin, pour l’autre celle du directeur de laboratoire ou encore celle de l’épidémiologiste (là je pense à Macron : ne nous ont-ils pas fait le coup du président devenu meilleur épidémiologiste de France ?). Ce qui les autorisa à parler au nom de la médecine et même de la science, tandis qu’ils appliquaient en douce la marche à suivre du Great Reset et les ordres de Klaus Schwab.

Malone cullough cdc 2

A la direction de l’OMS, ils ont également installé un des leurs, au passé violent, l’éthiopien Tedros Adhanom Ghebreyesus pour garantir la coordination de l’opération covid. A cette heure, l’OMS se targue de dicter à toute la planète la politique de santé, et non de la recommander. Tout est dans la nuance. Leur arrière-pensée est bel et bien d’établir le siège politique d’un gouvernement mondial dont la santé ne sera pas, vous vous en doutez, la préoccupation première. Les préparatifs auront lieu courant 2022. Bien entendu que Bill Gates ne sera pas en reste.

La dernière déclaration de Robert Malone montre qu’il n’est pas loin d’adhérer à ce point de vue. Voilà ce qu’il dit : « […] le CDC que j’ai bien observé au fil des ans s’est de plus en plus transformé en un bras politique et ne remplit pas sa fonction. On parle du Centre de contrôle et de prévention des maladies. Ce sont les archives de l’information sur lesquelles les médecins se sont appuyés pendant des décennies. C’est devenu une organisation purement politique et un bras du pouvoir exécutif. Et, à mon avis, ce qu’ils ont fait est obscène. Et cela explique en partie les attaques que Peter [Mc Cullough] et moi avons subies de la part de la presse […] Mais maintenant nous apprenons qui a vraiment répandu de la désinformation médicale : c’est le CDC. »

La véritable fonction du CDC est effectivement devenue politique, et n’a plus rien de sanitaire. Dans la bouche de Malone, le purement veut tout dire. Il veut dire que le CDC a oublié toute déontologie pour n’avoir plus qu’un but, ne servir qu’une cause, suivre la voie tracée par l’establishment mondialiste de Washington DC. Lorsque vous épluchez les financements du CDC et de la FDA, apparait de manière scandaleuse le nom de Pfizer, pour ne citer que lui. Il est clair qu’il y a là conflit d’intérêts. Ces organismes ne peuvent décider de manière indépendante, comme ils le devraient. Si leur sort est lié à celui des grands laboratoires, leur compagnonnage avec Big Pharma sert avant tout un but tactique. Ce qui fait dire à Malone que l’engagement du CDC est uniquement politique, et rien d’autre. Le franc-tireur qu’il est peut en juger, lui qui est familier du système de santé américain. A ce titre, il n’a pas hésité à mettre en demeure les employés de l’agence gouvernementale quant à la dissimulation de certaines données. Des enquêtes auront lieu, les a-t-il avertis.

Cela fait longtemps que j’évite de parler de dictature sanitaire. On comprend pourquoi. Nous avons eu affaire à une dictature qui s’est présentée sous les habits de la médecine. Autrement dit, une dictature qui, pour ne pas s’attirer les foudres des populations, s’est travestie. Mais, déguisée ou pas, on a été nombreux à la reconnaître par son hideux visage. Il s’agit bien de dictature, tout court. Et même davantage ici, il s’agit de totalitarisme. Le premier à surgir au vingt et unième siècle !