Avant le déclenchement de la deuxième guerre mondiale, les nazis avaient organisé le programme Lebensborn de création d’une génération d’enfants SS sous l’autorité d’Himmler. Le programme des Young Global Leaders visant à engendrer une pépinière de dirigeants obéissant tous au même idéal funeste, même s’il ne se fonde pas sur la race, présente une similitude singulière quant au but final recherché : créer une race de seigneurs qui gouverneront le monde. Ce monde, voilà à quoi il ressemblera à l’horizon 2030, aboutissement officiel de leur agenda : « Bienvenue à 2030. Je ne possède rien, je n’ai pas de vie privée et la vie n’a jamais été aussi belle. » Voilà ce que nous en dit la Young Global Leader danoise Ida Auken sur une publicité de 2016. Son air hagard ne vous inspire-t-il pas confiance ?... confiance en ce paradis vers lequel ils nous mènent à la baguette et bientôt au fouet, aussi radieux que l’éden soviétique des affiches du parti bolchévique. Nous sommes incorrigibles. Après le nazisme nous disions plus jamais ça, après la chute du mur de Berlin et du communisme à la soviétique nous avons dit plus jamais ça, et pendant ce temps-là nous réchauffions un serpent dans notre sein, le mondialisme. Au cœur de la vieille Europe à peine remise de ses blessures, un personnage inquiétant, dès les années 70, installait dans l’anonymat sa fabrique, son usine de politiciens robots, sans aucune pensée personnelle mais prêts à passer à l’action sous la commande du maître. Il aura fallu cinquante ans à Schwab et à ses semblables dans la pyramide mondialiste pour réunir les conditions favorables. L’acte de déclaration de guerre aura été la parution de son petit livre rouge du Great Reset en 2020. Il signait là son crime. Chaque totalitarisme ressent le besoin d’un livre fondateur.
S’il fallait compter sur une déclaration de Klaus Schwab, le jour de son éventuel procès, pour disposer d’une pièce à conviction qui l’incrimine dans la préméditation de ce crime contre l’humanité, l’interview suivante conviendrait. Elle date de 2017. En voici un extrait éloquent qui atteste de l’infiltration du Forum à tous les étages :
KS : Nous avons, si je regarde nos parties prenantes, les entreprises de l'EF [Forum Economique], bien sûr, comme audience très importante. Et nous avons la politique, nous avons des partenariats continus avec de nombreux gouvernements dans le monde entier. Et bien sûr, nous avons les ONG, nous avons les syndicats, nous avons toutes ces différentes parties.
L’interlocuteur : Les médias, bien sûr ?
KS : Bien sûr les médias et très important des experts, des scientifiques et des universitaires. Parce que si vous regardez l'avenir, je pense que nous devrions chercher de nouvelles solutions, et les nouvelles solutions seront en grande partie déterminées par les développements technologiques.
L’interlocuteur : Et vous avez même des chefs religieux, n'est-ce pas?
KS : Des chefs religieux, nous avons des entrepreneurs sociaux, de très importants entrepreneurs sociaux.
Echange auquel j'ajouterais cette déclaration encore plus explicite de Schwab : " Ce dont nous sommes très fiers maintenant, c'est la jeune génération comme le premier ministre Trudeau... Nous avons déjà pénétré dans les cabinets de plusieurs pays avec nos jeunes dirigeants mondialistes du Forum Economique Mondial. Alors hier, j'étais à une réception pour le premier ministre Trudeau et je sais que la moitié de son cabinet, voire plus de la moitié, sont en fait de jeunes leaders globalistes. C'est vrai aussi pour l'Argentine, c'est vrai pour la France et pour d'autres pays."