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La bombe A (comme ARNm) à retardement

Le 28/02/2022

Dans Actualités

Les complotistes, qu’on a accusés de tous les maux, n’ont pourtant eu de cesse de dire le vrai depuis le début. En toute indépendance d’esprit, de clan ou d’idéologie, ils ont cherché la vérité sur l’opération covid, son origine, les traitements, les chiffres réels de la prétendue pandémie et enfin ceux de la prétendue vaccination. Or, à chaque étape, après avoir révélé que la vérité était loin du conte pour enfants qu’on nous ressassait, et avoir été vilipendés, ils ont pu faire émerger la lumière.

Les faits, une fois sortis de leur gangue de duplicité, leur ont donné raison. A chaque fois, il a été attesté de la toxicité des médias. Groggys, ceux-ci n’ont pu qu’en convenir, sans pour autant s’excuser. Et ils repartaient dans leur maudite croisade. Chaque fois les insoumis ont été sommés de montrer la preuve de ce qu’ils avançaient, même lorsqu’ils étaient prix Nobel, et malgré tout chaque fois ils furent fustigés, quand les thuriféraires du pouvoir continuaient de déverser leur propos mythomanes sans que quiconque ne leur rende la pareille. Où sont vos preuves, messieurs les affabulateurs ? Combien de fausses allégations ces criminels de Véran, Macron, Castex, Deray ou Lacombe auront proférées sur nos écrans sans qu’un seul interlocuteur n’élève la voix pour les mettre en demeure de les prouver. Le crime, on ne le dira jamais assez, a été prémédité et perpétré en bande organisée !

En premier lieu, il y a eu l’origine du virus qu’on a voulu mettre sur le compte d’innocents animaux. Un jour, un Lafontaine du XXIème siècle en fera une fable, la chauve-souris et le pangolin, qui amusera les enfants et fera jaser les moralistes. Lorsque les premières interrogations sérieuses, dont celle du Pr Luc Montagnier, ont surgi, ce fut un déluge d’anathèmes contre les chercheurs de vérité, contre tous ceux qui osèrent défier la sacro-sainte parole, simplement en enquêtant; la presse bienpensante, comme Le Monde ou Libé, largement arrosée par Bill Gates, a déferlé alors sur ces téméraires. Leurs unes les ont insultés. Il aura fallu un an pour admettre que la source probable du virus était le laboratoire de Wuhan. Les mêmes médias l’ont alors annoncé, mais sans le moindre mea culpa envers tous ceux qu’ils avaient invectivés. Puis les choses sont passées sur le terrain des produits qu’ils tenaient à nous inoculer et qu’ils nommèrent impudemment vaccins.

Une des premières objections à ces injections fut la nature de leur technologie à ARNm. Je m’adresse aux médias ici : c’était bien la peine de nous assommer avec les OGM et leurs dangers pour ensuite appeler à s’injecter, sans s’interroger, de l’ARNm. Et pourtant j’en connais de pointilleux sur la nature des aliments dans leur assiette qui n’ont pas été regardants sur la nocivité des vaccins et ont fait entière confiance au géant pharmaceutique multirécidiviste Pfizer. Non pas de souci pour notre ADN, m’entendis-je répondre. Ils balayèrent toute inquiétude d’un revers de main. Ah bon ! Sur quoi se fondaient-ils pour l’affirmer, tandis que nous avancions les arguments d’une honnête et préoccupée Alexandra Henrion-Caude ? Evidemment sur rien. Un écran de fumée, voilà leur argumentation. En revanche, la parole des alerteurs a été remise en cause en toutes circonstances, malgré la robustesse de leurs arguments et un principe de précaution élémentaire quand il s’agissait de piquer toute l’humanité. Aujourd’hui une toute récente étude suédoise confirme les pires craintes que nous soulevions déjà début 2021, avant même le démarrage de la campagne de masse. Elle établit la capacité du Pfizer à modifier le génome humain, avec de très graves conséquences. En moins de 6 heures, il pénètre et modifie les cellules humaines. Alexandra Henrion-Caude avait raison, malgré les dénégations de tous ces ignares (ces ignares ou ces machiavéliques). Quand viendra-t-on lui faire des excuses et surtout quand tous ces spécialistes du dimanche feront-ils amende honorable ? Quand tous ces médias immondes viendront-ils battre leur coulpe ? Probablement jamais, à moins d’être un jour traduits devant un tribunal qui les jugera, eux et leurs mensonges, à l’aune du crime qu’ils ont couvert et encouragé.

On expliquait aussi, à voir les résultats d’Israël qui disposait de plusieurs mois d’avance sur nous, que les vaccinés n’étaient en aucune sorte épargnés. Ils transmettaient le virus comme ils pouvaient faire la maladie. La chose fut d’abord niée avec l’aplomb, qu’on leur connait, par un Castex ou un Véran. Ils assurèrent, sans qu’ensuite on leur en tienne rigueur, que le vaccin protégeait comme n’importe quel vaccin contre l’affection dont il est supposé préserver. Point final. Quand il fut évident, et pas seulement en Israël mais aussi en France, que ce discours était encore trompeur, ils ne présentèrent toujours pas d’excuse. Ils firent faire à leur discours un virage à 90°. Bon, le vaccin ne vous empêche pas de transmettre le virus ni de faire la maladie (ah, et on appelle ça encore un vaccin ?) mais il vous épargne de faire un covid sévère. C’est textuellement ce que je m’entendis répondre par un spécialiste que je consultais pour tout autre chose. Impossible, vous imaginez, pour un néophyte comme moi de montrer à ce mandarin combien il suivait des directives sans queue ni tête et qu’il opinait à des avis hiérarchiques sans la distanciation que j’aurais espérée de lui. Les mois passèrent. Sur cette monumentale duperie on passa l’été 2021 et on bâtit dessus le passe sanitaire, puis vaccinal. Or, il n’a pas fallu attendre longtemps pour avoir les chiffres officiels à l’étranger (Israël et Grande Bretagne) puis en France (par la DREES) et s’apercevoir qu’on nous avait encore raconté des sornettes avec cette prétendue capacité vaccinale à éviter les formes graves. La dernière étude en date, en provenance de Grande Bretagne, dévoile que les non vaccinés représentent 15% des décès covid quand les vaccinés complets représentent plus de 50%. De même pour les soins intensifs. Alors, messieurs les imposteurs, où est-elle votre protection des formes graves ? A moins que vous ne considériez que, si des gens vaccinés meurent quand même du covid, cette forme-là n’est pas grave ! Vous en seriez capables. Vous êtes prêts à tout pour justifier l’injustifiable. Nous savions cela avant même qu’on entérine le passage au passe vaccinal. Mais rien n’y a fait. L’omerta a continué, et continue de plus belle.

Vaccin microscope 3
Vaccin microscope 2

Retour au printemps 2021 où les premières analyses de flacons ont été réalisées par le Dr Campra et le Dr Delgado du groupe de médecins espagnols de la Quinta Columna. Les premières constations ont fait frémir. On trouva de l’oxyde de graphène systématiquement et un cocktail infâme que Maître Brusa s’empressa de faire homologuer par huissier en utilisant des moyens spectroscopiques à la fin de l’été dernier. Puis on découvrit dans certains lots des éléments si étranges qui semblaient relever d’une nanotechnologie, des circuits miniaturisés qui sont encore à l’étude. Les chercheurs de vérité sont tellement abasourdis qu’ils n’en croient pas leurs yeux. Que dirait alors le grand public qui ne veut rien savoir ? Ajoutez à cela l’apparition d’un numéro MAC qui semble escorter les vaccinés, et vous aurez un cocktail explosif dont on n’a pas finit de comprendre les tenants et les aboutissants. En août 2021, Luc Montagnier disait : « ces vaccins ne sont pas de vrais vaccins, mais un assemblage compliqué de biologie moléculaire qui est capable d’être un poison ».

A l’été 2021 vinrent les premiers constats amers d’effets secondaires. Ceux-ci furent dressés par les agences de pharmacovigilance elles-mêmes, pourtant peu enclines à effectuer un travail scrupuleux. Parallèlement, les témoignages affluaient de toutes parts, signalant l’obstruction des systèmes de santé à vouloir faire remonter l’intégralité des effets. Les estimations allaient jusqu’à affirmer qu’un pourcent seulement des effets étaient réellement comptabilisés. Nonobstant, on observait bien l’explosion du nombre d’effets et leur variété. Il est trop tôt pour parler d’effets à moyen et à long terme. Il n’est question pour l’heure que d’effets immédiats. Devant les écrans, sur les terrains de sport, les plateaux télé, les scènes de spectacle, dans l’hémicycle de parlements se sont succédé les cas de multi-vaccinés s’écroulant, atteints par les suites de la vaccination. Des cinéastes ont recueilli les témoignages de ces êtres meurtris dans leur chair. De plus, les courbes de surmortalité ne laissent guère de doute quant à la relation aux vaccins. Là encore Israël est un exemple probant. Enfin, au bout de cette chaine morbide, l’alarme sonne également. Les directeurs de pompes funèbres et les thanatopracteurs font état d’une situation inquiétante jamais vue, notamment pour ce qui est de la dénaturation du sang après injection.

Au beau milieu de ce délire collectif, on aurait tendance à oublier d’autres effets, ceux provenant du port du masque et ceux consécutifs à l’isolement social, notamment sur les enfants. En la matière, je m’en remets à Marie Estelle Dupont. Elle est la professionnelle la plus sincère à même de dresser un tableau fidèle de la réalité et de ce qui atteint ces générations d’enfants maltraités par leurs ainés.

Il y a trois jours, la Caisse d’assurance maladie  allemande BKK ProVita a publié une lettre dont je vous donne la teneur par cet extrait : « Les bases factuelles sur lesquelles se fonde notre évaluation sont les données de facturation des médecins. L’échantillon suivant a été élaboré sur l’état de données anonymisées des caisses d’assurance maladie d’entreprise. L’échantillon comprend 10 937 716 personnes assurées. Nous avons en main, jusqu’à date, les facturations des médecins pour le 1er semestre 2021, et pour la moitié de ceux-ci, également pour le 3ème trimestre de 2021. Notre requête comprend les codes ICD valides pour les effets secondaires. Quoique n’ayant pas encore en main toutes les données 2021, le résultat de notre évaluation basée sur les chiffres disponibles actuellement donne pour l’échantillon en question, 216 695 cas ayant fait l'objet de traitement médical pour effets secondaires des vaccins anti-Covid.

Dès lors que l’on projette ces chiffres sur toute l’année et toute la population allemande, on peut vraisemblablement supposer qu’en Allemagne, entre 2,5 et 3 millions de personnes ont dû subir un traitement médical pour lesdits effets secondaires. Il s’agit pour nous d’un signal d’alarme notoire, qui devrait être pris en compte avant toute utilisation ultérieure de ces vaccins. »

Suite à une telle statistique, les spécialistes, qui ont mis en garde, réussiront eux aussi à avoir gain de cause en place publique, malgré l’ogre Big Pharma dont on ne finit plus d’exposer la malfaisance : après le Pfizergate, voici le Modernagate. En mère courage, la député Martine Wonner est la seule à interpeler avec des mots assez forts la représentation nationale si sourde à propos de la bombe des effets secondaires. Elle entrera dans l’histoire, quand cette assemblée rejoindra la lie de l’humanité. Si l’on était en temps normal, n’importe quel individu, sain d’esprit et de corps, exigerait un audit officiel et impartial. En temps normal, n’importe quel gouvernant, s’il n’avait pas d’intention malveillante envers sa population, aspirerait à la protéger et à se protéger lui-même de toute suspicion et de toute poursuite judiciaire pour action criminelle. Mais nous ne sommes pas en temps normal.

Nous sommes en des temps déraisonnables. On prend les loups pour des chiens. Et, si nous y tenons mal notre rôle, c’est de n’y comprendre rien.