Les faits, une fois sortis de leur gangue de duplicité, leur ont donné raison. A chaque fois, il a été attesté de la toxicité des médias. Groggys, ceux-ci n’ont pu qu’en convenir, sans pour autant s’excuser. Et ils repartaient dans leur maudite croisade. Chaque fois les insoumis ont été sommés de montrer la preuve de ce qu’ils avançaient, même lorsqu’ils étaient prix Nobel, et malgré tout chaque fois ils furent fustigés, quand les thuriféraires du pouvoir continuaient de déverser leur propos mythomanes sans que quiconque ne leur rende la pareille. Où sont vos preuves, messieurs les affabulateurs ? Combien de fausses allégations ces criminels de Véran, Macron, Castex, Deray ou Lacombe auront proférées sur nos écrans sans qu’un seul interlocuteur n’élève la voix pour les mettre en demeure de les prouver. Le crime, on ne le dira jamais assez, a été prémédité et perpétré en bande organisée !
En premier lieu, il y a eu l’origine du virus qu’on a voulu mettre sur le compte d’innocents animaux. Un jour, un Lafontaine du XXIème siècle en fera une fable, la chauve-souris et le pangolin, qui amusera les enfants et fera jaser les moralistes. Lorsque les premières interrogations sérieuses, dont celle du Pr Luc Montagnier, ont surgi, ce fut un déluge d’anathèmes contre les chercheurs de vérité, contre tous ceux qui osèrent défier la sacro-sainte parole, simplement en enquêtant; la presse bienpensante, comme Le Monde ou Libé, largement arrosée par Bill Gates, a déferlé alors sur ces téméraires. Leurs unes les ont insultés. Il aura fallu un an pour admettre que la source probable du virus était le laboratoire de Wuhan. Les mêmes médias l’ont alors annoncé, mais sans le moindre mea culpa envers tous ceux qu’ils avaient invectivés. Puis les choses sont passées sur le terrain des produits qu’ils tenaient à nous inoculer et qu’ils nommèrent impudemment vaccins.
Une des premières objections à ces injections fut la nature de leur technologie à ARNm. Je m’adresse aux médias ici : c’était bien la peine de nous assommer avec les OGM et leurs dangers pour ensuite appeler à s’injecter, sans s’interroger, de l’ARNm. Et pourtant j’en connais de pointilleux sur la nature des aliments dans leur assiette qui n’ont pas été regardants sur la nocivité des vaccins et ont fait entière confiance au géant pharmaceutique multirécidiviste Pfizer. Non pas de souci pour notre ADN, m’entendis-je répondre. Ils balayèrent toute inquiétude d’un revers de main. Ah bon ! Sur quoi se fondaient-ils pour l’affirmer, tandis que nous avancions les arguments d’une honnête et préoccupée Alexandra Henrion-Caude ? Evidemment sur rien. Un écran de fumée, voilà leur argumentation. En revanche, la parole des alerteurs a été remise en cause en toutes circonstances, malgré la robustesse de leurs arguments et un principe de précaution élémentaire quand il s’agissait de piquer toute l’humanité. Aujourd’hui une toute récente étude suédoise confirme les pires craintes que nous soulevions déjà début 2021, avant même le démarrage de la campagne de masse. Elle établit la capacité du Pfizer à modifier le génome humain, avec de très graves conséquences. En moins de 6 heures, il pénètre et modifie les cellules humaines. Alexandra Henrion-Caude avait raison, malgré les dénégations de tous ces ignares (ces ignares ou ces machiavéliques). Quand viendra-t-on lui faire des excuses et surtout quand tous ces spécialistes du dimanche feront-ils amende honorable ? Quand tous ces médias immondes viendront-ils battre leur coulpe ? Probablement jamais, à moins d’être un jour traduits devant un tribunal qui les jugera, eux et leurs mensonges, à l’aune du crime qu’ils ont couvert et encouragé.
On expliquait aussi, à voir les résultats d’Israël qui disposait de plusieurs mois d’avance sur nous, que les vaccinés n’étaient en aucune sorte épargnés. Ils transmettaient le virus comme ils pouvaient faire la maladie. La chose fut d’abord niée avec l’aplomb, qu’on leur connait, par un Castex ou un Véran. Ils assurèrent, sans qu’ensuite on leur en tienne rigueur, que le vaccin protégeait comme n’importe quel vaccin contre l’affection dont il est supposé préserver. Point final. Quand il fut évident, et pas seulement en Israël mais aussi en France, que ce discours était encore trompeur, ils ne présentèrent toujours pas d’excuse. Ils firent faire à leur discours un virage à 90°. Bon, le vaccin ne vous empêche pas de transmettre le virus ni de faire la maladie (ah, et on appelle ça encore un vaccin ?) mais il vous épargne de faire un covid sévère. C’est textuellement ce que je m’entendis répondre par un spécialiste que je consultais pour tout autre chose. Impossible, vous imaginez, pour un néophyte comme moi de montrer à ce mandarin combien il suivait des directives sans queue ni tête et qu’il opinait à des avis hiérarchiques sans la distanciation que j’aurais espérée de lui. Les mois passèrent. Sur cette monumentale duperie on passa l’été 2021 et on bâtit dessus le passe sanitaire, puis vaccinal. Or, il n’a pas fallu attendre longtemps pour avoir les chiffres officiels à l’étranger (Israël et Grande Bretagne) puis en France (par la DREES) et s’apercevoir qu’on nous avait encore raconté des sornettes avec cette prétendue capacité vaccinale à éviter les formes graves. La dernière étude en date, en provenance de Grande Bretagne, dévoile que les non vaccinés représentent 15% des décès covid quand les vaccinés complets représentent plus de 50%. De même pour les soins intensifs. Alors, messieurs les imposteurs, où est-elle votre protection des formes graves ? A moins que vous ne considériez que, si des gens vaccinés meurent quand même du covid, cette forme-là n’est pas grave ! Vous en seriez capables. Vous êtes prêts à tout pour justifier l’injustifiable. Nous savions cela avant même qu’on entérine le passage au passe vaccinal. Mais rien n’y a fait. L’omerta a continué, et continue de plus belle.