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Guerre et Pain

Le 18/03/2022

Dans Actualités

Voici venu le temps des grandes manœuvres. 

Nous savons que l’intervention russe en Ukraine n’est pas un affrontement militaire entre deux pays, mais une guerre qui oppose la Russie de Poutine aux mondialistes, de connivence avec la faction gouvernementale de Kiev. L’Ukraine est devenue avec le temps une chasse gardée du mondialisme.

En attestent tous les trafics les plus illicites qui s’y sont développés. Les liens mafieux qu’entretient la famille Biden, Joe le locataire de la Maison Blanche aujourd’hui sénile et son fils cocaïnomane Hunter illustrent depuis longtemps cet état de fait. Il n’est un mystère pour personne que Hunter Biden s’est enrichi frauduleusement dans l’affaire Burisma, tout cela au détriment du peuple ukrainien qui a été lésé. Une corruption semblable règne du côté de la clique dirigeante ukrainienne. Il a déjà été fait mention de l’implication de Zelensky dans les Panama papers et les Pandora papers. L’origine de ses biens est douteuse : rentrées d’argent mensuelles, évaluées à une douze millions de dollars, une villa à Miami d’un montant de 36 millions de dollars et des comptes secrets au Costa Rica. En attestent encore les serveurs bancaires que les Rothschild ont tenu à installer en Ukraine. En attestent aussi les laboratoires d’armes biologiques que les américains y ont dissimulés, grâce à l’OTAN qui constitue un bras armé contre la Russie. La Chine de Xi Jinping est entrée dans la danse pour demander que les Etats-Unis ouvrent ces laboratoires à des experts internationaux afin de faire la lumière sur les recherches qui y sont menées. L’Etat profond est par conséquent pris en tenaille entre l’alliance bicéphale Poutine-Xi d’une part et l’ancien président Donald Trump qui s’active en coulisse pour saper toute velléité de l’administration démocrate. Une rumeur court sur les réseaux sociaux, qui fait état d’une telle Alliance internationale, initiée depuis des mois sinon des années, avec pour dessein de terrasser le cartel financier qui s’est approprié l’occident. La tournure que prennent les événements actuels tend à lui donner raison.

La guerre en Ukraine « est train de créer un champ de résistance mondial », confie le politologue russe Alexandre Douguine. Le divorce semble consommé entre Poutine et le cartel financier occidental. Poutine ne retournera plus à Davos. La confrontation a pris le chemin des armes là où les enjeux sont énormes, c’est-à-dire en Ukraine. Douguine rajoute que la bataille a lieu sur plusieurs niveaux, tant géopolitique qu’idéologique. En franchissant la frontière, la Russie a fait sécession. Son entrée en guerre s’est faite contre les provocateurs ukrainiens en place, mais par-dessus tout contre les globalistes, représentés sur la scène politique par les dirigeants européens et l’administration Biden. De surcroît, il semble clair que la Chine de Xi ait apporté son concours à son voisin russe, et plus les jours passent plus elle sort de sa neutralité pour prêter main forte à Poutine contre les Etats-Unis. Le succès de l’action russe constituerait une victoire pour la résistance des peuples face au Nouvel Ordre Mondial. Leur chute en Ukraine serait un nouveau Stalingrad dans cette guerre mondiale larvée, qui ne dit pas son nom. Si Alliance il y a réellement, alors l’étape suivante devrait être la subversion des bastions européen et nord-américain. L’affrontement est aussi idéologique car la Russie de Poutine reste éminemment attachée à ses traditions et considère d’un très mauvais œil la voie décadente empruntée par l’occident qui renie ses racines et sacrifie à un modernisme dégénéré et suicidaire.

De l’autre côté de l’Atlantique, un avis du même acabit est à relever, celui de Mike Adams. Selon son point de vue, Biden et l’Otan ne veulent pas la paix en Ukraine. Oh, ils ne s’engageront pas eux-mêmes directement, mais ils inciteront leurs subalternes ukrainiens à le faire à leur place pour entretenir ce climat de conflit et l’amplifier par une narration journalistique aux antipodes de la réalité. Remettons un peu d’ordre dans les événements actuels.

Programme nouvel ordre mondial

L’opération covid, comme j’aime à l’appeler, a été lancée à la fois pour justifier la vaccination et avec elle un objectif double, l’accoutumance des hommes à leur traçage et l’amorce du dépeuplement de la planète. Le CDC a même, selon l’analyste Edward Dowd, des données qui montrent que plus d’un million supplémentaire d’américains sont morts depuis la campagne de vaccination. Personne n’a, à ma connaissance, fait un travail semblable en Europe. Ces pseudos vaccins, on le sait, seuls les ânes bâtés du petit écran l’ignorent, ont provoqué une multitude d’effets secondaires graves dans ce but, mais aussi ils réussissent à modifier le génome humain, causant probablement dans un avenir, plus ou moins proche, des ravages dans la population. Les médias continueront de garder tout cela sous le manteau de leur traitrise.

Mais, considère Adams, les pertes dans la population n’atteindront pas le chiffre escompté par la meute de charognes. Même une guerre qui s’étendrait à l’Europe ne ferait pas assez de victimes à leurs yeux. Une crise dans la chaine d’approvisionnement alimentaire, elle au contraire, pourrait frapper plusieurs milliards d’individus. Je vous passe les chiffres de Mike Adams qui sont plus effroyables et discutables les uns que les autres. Biden, l’OTAN et Macron, pour l’UE, encourageraient délibérément la crise ukrainienne dans l’espoir de provoquer la calamité la plus meurtrière : une rupture dans « la chaine d’approvisionnement mondiale en engrais et en combustibles fossiles qui nourrit le monde ». Le coupable tout désigné serait évidemment Poutine. Les produits alimentaires subiraient artificiellement une inflation galopante. Les rayons des supermarchés se videraient en Europe comme en Amérique. Les pénuries alimentaires toucheraient l’ensemble des secteurs. Naitraient alors des mouvements de type Gilets Jaunes à l’échelle planétaire. Des émeutes s’ensuivraient, que l’élite s’empresserait de réprimer dans le sang, sous prétexte d’ordre public. L’extermination de la population serait ainsi en marche.

A dire vrai, d’autres scénarios circulent, tout aussi radicaux : une seconde pandémie plus létale encore, un conflit avec la Chine ou bien une tragédie climatique… Qui vivra verra.

Cependant, comme j’ai eu l’occasion de le dire, le plan a du plomb dans l’aile. Aucune de ses étapes ne se déroule de manière optimale, et leur agenda s’accélère davantage par peur que l’édifice entier ne s’écroule une fois à l’arrêt qu’à cause de sa facilité d’exécution.