L’opération covid, comme j’aime à l’appeler, a été lancée à la fois pour justifier la vaccination et avec elle un objectif double, l’accoutumance des hommes à leur traçage et l’amorce du dépeuplement de la planète. Le CDC a même, selon l’analyste Edward Dowd, des données qui montrent que plus d’un million supplémentaire d’américains sont morts depuis la campagne de vaccination. Personne n’a, à ma connaissance, fait un travail semblable en Europe. Ces pseudos vaccins, on le sait, seuls les ânes bâtés du petit écran l’ignorent, ont provoqué une multitude d’effets secondaires graves dans ce but, mais aussi ils réussissent à modifier le génome humain, causant probablement dans un avenir, plus ou moins proche, des ravages dans la population. Les médias continueront de garder tout cela sous le manteau de leur traitrise.
Mais, considère Adams, les pertes dans la population n’atteindront pas le chiffre escompté par la meute de charognes. Même une guerre qui s’étendrait à l’Europe ne ferait pas assez de victimes à leurs yeux. Une crise dans la chaine d’approvisionnement alimentaire, elle au contraire, pourrait frapper plusieurs milliards d’individus. Je vous passe les chiffres de Mike Adams qui sont plus effroyables et discutables les uns que les autres. Biden, l’OTAN et Macron, pour l’UE, encourageraient délibérément la crise ukrainienne dans l’espoir de provoquer la calamité la plus meurtrière : une rupture dans « la chaine d’approvisionnement mondiale en engrais et en combustibles fossiles qui nourrit le monde ». Le coupable tout désigné serait évidemment Poutine. Les produits alimentaires subiraient artificiellement une inflation galopante. Les rayons des supermarchés se videraient en Europe comme en Amérique. Les pénuries alimentaires toucheraient l’ensemble des secteurs. Naitraient alors des mouvements de type Gilets Jaunes à l’échelle planétaire. Des émeutes s’ensuivraient, que l’élite s’empresserait de réprimer dans le sang, sous prétexte d’ordre public. L’extermination de la population serait ainsi en marche.
A dire vrai, d’autres scénarios circulent, tout aussi radicaux : une seconde pandémie plus létale encore, un conflit avec la Chine ou bien une tragédie climatique… Qui vivra verra.
Cependant, comme j’ai eu l’occasion de le dire, le plan a du plomb dans l’aile. Aucune de ses étapes ne se déroule de manière optimale, et leur agenda s’accélère davantage par peur que l’édifice entier ne s’écroule une fois à l’arrêt qu’à cause de sa facilité d’exécution.