Comment les arrêter !

Et, par leurs actions, les prétendus journalistes se rendent aussi coupables que les politiques. De fait, ils participent diligemment à l’aliénation des masses et à la chasse aux sorcières des voix non-conformistes. Leur implication dans le crime contre les populations n’est plus à mettre en doute. On qualifie de plus en plus ces journaleux d’ennemis du peuple et leurs méthodes d’assassinat social des opposants.

Le dernier exemple en date est celui de la campagne de dénigrement de la mouche du coche, le professeur Didier Raoult. Celui-ci, se défendant avec son équipe de toute expérimentation hors piste durant le covid, se voit la cible d’une cabale médiatique honteuse et d’une mauvaise foi sans égale. Je pense notamment au Parisien. Ce torchon s’est permis, en parlant de Raoult, de titrer à sa une « Comment l’arrêter ! ». Cette cabale n’a en fait rien de spontané. Elle résulte d’une entreprise coordonnée des médias de grand chemin. Ainsi Le Monde a-t-il ouvert ses colonnes à des sociétés médicales, dites savantes (sic), pour diffamer l’ex-professeur vedette de l’IHU de Marseille. Ce que l’histoire ne dit pas, mais que FranceSoir, qui sauve l’honneur de la profession, souligne, c’est que ces anti-Raoult maladifs, qui ont signé la tribune, ont reçu plus de 18 millions d’euros des laboratoires pharmaceutiques. Ce sont bien les corrompus qui mènent ici la danse et les médias qui sont à l’orchestre. Comme le résume fort bien Patrice Gibertie sur son blog, « la presse de caniveau lance la chasse au Raoult : ils invitent de faux médecins, publient des unes honteuses, étouffent les vrais scandales. Mais qui osera en finir avec les subventions publiques pour ces merdias ! » Et en effet ces journalistes sont aussi corrompus que les experts véreux qu’ils convoquent. Tout ce petit monde de vendus émarge au même égout.

Devant tant d’ignominie, les réactions ne se firent pas attendre. « La couverture de la honte », s’exclama Nicolas Dupont-Aignan. « Ceux qui ont organisé la plus grande expérimentation, sans le consentement de millions de Français, avec un vaccin sans recul, aux effets secondaires graves, osent salir celui qui a soigné et sauvé des milliers de vie ! » Alexandra Henrion-Caude, pour sa part, ne décolère pas. « Et vous journalistes, les apostrophe-t-elle, comment vous arrêter ? Qui peut vous ramener à la raison ?  Vous n’êtes pas scientifiques ! Vous n’êtes pas médecins !  Vous n’êtes même pas indépendants d’esprit ! Et l’humilité vous fait défaut ! Celle qui a fait dire à vos confrères allemands qu’ils s’étaient trompés. Mais pas vous bien sûr ??? »

Cette méthode infâme s’appelle le name & shame. Désigner l’ennemi et le lapider jusqu’à ce que le public en soit saturé. Par ricochet, tous ceux de son bord hésiteront à se manifester. Voilà l’objectif qui a été assigné aux médias. Pourtant des centaines de médecins et scientifiques n’en démordent pas. Ils soutiennent Raoult coûte que coûte.

Même le démocrate Robert Kennedy Jr est attaqué par l’organe de presse mondialiste Le New York Times pour pousser soi-disant des idées d’extrême-droite et mésinformer. Salissez, il en restera toujours quelque chose ! Quant au Point, il s’élève contre Alexandra Henrion-Caude, amer devant le succès de son best-seller Les Apprentis sorciers. Le retors Olivier Hertel considérant que ses arguments scientifiques contre les vaccins à ARNm cache des idées religieuses ! Notez que cet ignare est incapable de l’attaquer sur le fond. Il n’en a ni le courage ni les compétences. Non, il s’en prend à sa foi qui, après tout, ne regarde qu’elle. Comme si d’ailleurs avoir des convictions religieuses était contre-indiqué pour un scientifique !

Dans le même genre de procédés, qui n’ont rien avoir avec le journalisme mais tout avoir avec une inquisition, il y a l’intimidation. Ce que fait Libé avec la Fnac en traitant l’enseigne d’agent du complotisme pour avoir eu le malheur d’afficher, dans ses rayons, les livres de personnages étiquetés complotistes qui sont de véritables succès de librairie. Soi dit en passant, c’est dire de quel côté penche la balance entre les deux camps adverses, s’ils en sont réduits à recourir à l’anathème.

Jeter la pierre aux journalistes mainstream à la Patrick Cohen ou à la Bruce Toussaint, n’évoquons même pas les fonds de cuve, comme dirait la délicate Céline Pina, que sont les fact-checkeurs, jeter donc la pierre aux journalistes découle du fait avéré qu’ils ne font pas leur métier mais se font les agents de communication des milliardaires qui les emploient ou des pouvoirs mondialistes. Et ce avec une hargne et un zèle qu’il faut leur reconnaître. Cependant rien ne laisse croire à un revirement de leur part. Ce sont nos ennemis. N’attendons rien d’eux. Comptons plutôt sur leur naufrage à force de mentir par omission et par falsification. Cohen, Toussaint, Rochebin, le NYT, le Point, Libé, LCI, BFM, CNN, MSNBC sont tous nos ennemis. Depuis longtemps, leurs rédactions ont été infiltrées par la CIA au service d’intérêts inavouables. L’Opération Mockingbird de son intrusion dans les médias n’a jamais cessé depuis qu’elle a été éventée par la Commission Church en 1975. Que tous ceux qui n’ont pas lu un traitre mot sur le sujet ne viennent pas se formaliser de mes propos, mais qu’ils aillent plutôt parfaire leurs connaissances dans le domaine. Et à tous ceux qui regardent trop les médias menteurs et truqueurs sans aucun recul, revoyez comment un servile Delahousse sur France 2 a couvert, ainsi que d’autres, la fraude à l’élection présidentielle de 2022, sous les yeux éberlués des français à qui il reste un peu de jugeotte.

Voyez encore le sujet tabou des suites de la vaccination, de la façon dont il est escamoté ou de la façon dont il est mal traité. Voyez comment ces mêmes journalistes, quand ils daignent parler des effets dommageables des vaccins, voilent la vérité. La Tribune de Genève parle, sur 3419 cas, de 62 % d’effets non graves. Autrement dit, que les 38 % d’effets graves aillent au diable, les morts avec. Et puis, est-il précisé, leur moyenne d’âge à ces gêneurs est de 65 ans. Des vieux quoi ! Pourtant je croyais qu’ils voulaient les sauver et sauver tout le monde. Que c’était pour cela précisément qu’ils imposaient leur solution vaccinale. Et que c’était surtout par précaution qu’ils rejetaient ivermectine  et hydroxychloroquine, à cause de quelques cas suspects qu’on cherche encore. Mais les morts du rivotril, du remdesivir ou des vaccins, que chacun peut constater, eux n’ont jamais compté. Dans ce cas ni le principe de précaution ni la vérité sur les injections n’ont eu droit de cité. A s’être mouillés pour que tous se vaccinent et à taire ensuite le nombre de morts et d’effets graves qui s’en sont suivis, les journalistes illustrent parfaitement ce que dénonçait Assange. Les écouter encore c’est prêter attention à un ennemi qui nous veut du mal.

Que tous ceux qui suivent encore ces médias scélérats ouvrent enfin les yeux et sondent d’abord leur conscience s’ils en ont encore une après un tel lavage de cerveaux. Plutôt que de réclamer sans cesse des preuves de la part de l’opposition et de les ignorer superbement une fois sous le nez, plutôt que de gober les fables des médias télévisuels sans avoir les mêmes exigences envers eux, allez rechercher de quoi vous forger un avis raisonné de citoyen responsable et osez affirmer après cela que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes.¾

Photo d'illustration : Une une détournée par Satire*2*Partout