Ces effets indésirables sont tout sauf secondaires

Un nombre croissant de signaux d’urgence s’allument à cette heure. A tout seigneur tout honneur, commençons par les médecins dont beaucoup ont fait comme les médecins au temps du nazisme, ils ont suivi le mouvement, souvent avec zèle. Ceux-là n’ont fait aucun effort pour vérifier l’innocuité de vaccins pourtant décriés par leurs confrères. Big Pharma les a-t-il corrompus au point qu’ils mettent leur vie en danger ? Qu’ils écoutent le leader du mouvement des droits civiques, Franco Corbelli, et l’on verra si la peur ne les gagne pas, eux qui ont eu la frousse face à un petit virus. En effet, Corbelli leur indique un fait inquiétant, du jamais vu : « La mort due à une maladie soudaine au cours des soixante derniers jours, en Italie, de plus de 15 médecins, principalement des hommes, dont beaucoup sont très jeunes, un peu plus de trente ans. Il y a un drame dans le drame sur les morts subites, qui est incompréhensible et inexplicable. Les plus jeunes n’avaient que 33 et 37 ans. Le fait que tant de jeunes médecins meurent aussi inquiète et alarme encore plus. Ce sont tous des médecins vaccinés qui opéraient dans leur ville. »

La suspicion est de mise lorsqu’une autorité ignore les études qu’elle a commandées. Ainsi, le ministère israélien de la santé cherche-t-il à dissimuler une étude dont il est à l’origine. Elle révèle que les effets indésirables sont 2 à 4 fois plus fréquents chez les 5-11 ans. Et ce, malgré le fait que le taux de vaccination dans cette tranche d’âge est 3 à 4 fois moins élevé. De nouveaux effets indésirables non répertoriés par la notice Pfizer ont même été signalés. Contrairement à ce qui a été affirmé, les effets ne sont pas de courte durée, ni transitoires. Certains durent plus d’un an. Une proportion importante n’a pas non plus disparu à l’issue de l’étude. On ignore donc combien de temps ces effets dureront.

Une crainte semblable d’obstruction à la vérité provient du rapport de l’Office Parlementaire d’Evaluation des choix scientifiques et technologiques, l’OPECST. Un rapport qui fait l’impasse sur des tas d’effets secondaires patents notamment neurologiques, qui les confond délibérément avec les symptômes du covid long… Ces éléments démontrent que le Sénat est inféodé aux groupes de pression globalistes. Ce rapport est déconnecté de la souffrance de dizaines de milliers de citoyens. Il est à sens unique, cherchant volontairement à minimiser les effets adverses des vaccins. Le débat contradictoire a été escamoté. Pour l’exemple, le Dr Amine Umlil a été coupé en pleine audition, dès qu’il a abordé la composition des vaccins. D’un coup plus de son ! Dès lors, aucune retranscription de ses propos n’a donc été faite. En fin de compte, Cédric Villani s’est lui-même chargé d’arrêter l’audition au lieu d’attendre que le prétendu problème technique soit résolu et de redonner la parole au docteur Umlil. Il n’en a rien fait. Au contraire, il a coupé court à son témoignage. S’il avait été animé d’un souci de vérité, s’il avait aspiré à en savoir plus, le mathématicien qu’il est aurait cherché par tous les moyens à l’entendre. Mais rien de cela. Son geste méprisable, pour un scientifique de son niveau, ternira son image à tout jamais, le jetant dans le camp des vendus et des faux savants. Est-ce là le comportement d’un grand homme de science que de refuser le débat contradictoire ? N’est pas Luc Montagnier qui veut ! Villani n’est qu’un vilain.

Par comparaison avec des vaccins traditionnels, des instances ont mis en demeure de tout arrêter. Le Conseil mondial de la santé a appelé de son côté à un rappel de toutes les injections anticovid, car les effets indésirables s’accumulent. Dans toutes les bases de données de pharmacovigilance officielles (VigiAccess, VAERS, Eudravigilance…) il a été constaté que les rapports d’effets indésirables liés aux injections anticovid sont plus nombreux que ceux d’autres produits similaires d’un facteur 10 à 169. De nombreux rapports très sérieux apportent maintenant assez de preuves d’un préjudice pour justifier un tel rappel. Au total plus de 40000 décès imputables aux vaccins d’après ces données.

Par d’autres types de sources, l’inquiétude s’accentue. Les données des compagnies d’assurance maladie allemandes montrent que, de surcroît, ces effets sont largement sous-estimés : seuls 10% des 2,5 millions d’effets secondaires sont signalés !

L’inventaire des troubles persistants, qui rendent la vie impossible aux vaccinés qui en souffrent, est effrayant : problèmes menstruels, thromboses, myocardites, AVC,  maladies neurodégénératives… Et pendant ce temps-là, tf1 s’interroge sur un lien entre la vaccination et… de rares pertes d’audition. Ils se moquent littéralement du monde. A lire ce torchon, on a la nausée.

Les médias grand public sont tous à mettre à la même enseigne. Sinon ils évoqueraient les questions concernant les pilotes de ligne absents pour cause de maladies déclarées après leur vaccination. On s’en aperçoit à l’annulation de nombreux vols. Les navigants réclament, par l’intermédiaire de collectifs nouvellement créés dans les pays à fort taux de vaccination, l’arrêt des injections qui ne font que les décimer. En France, c’est l’avocate Diane Protat qui s’est emparée de ce dossier.

Suite à la vaccination, il y a une telle explosion d’AVC, d’endocardites, de thromboses… chez les jeunes que le ministère veut se couvrir en lançant une alerte. Mais à aucun moment il ne pose bien sûr la question de la cause. Alors d’autres le font à sa place. Les médias ! Comme le Sun qui prévient. Attention, le jardinage causerait des maladies cardiaques. Les médecins constatent l’augmentation de maladies cardiaques et en imputent l’origine… aux vaccins ? Non. Au jardinage ! Je suppose que les nouvelles générations d’enfants se sont mises à jardiner pour être concernées. Encore une fois, on se fiche du monde. L’obscénité ne les fait pas reculer. Ils auraient tort de s’en priver, vu que personne ne songe à leur mettre le nez sur leurs insanités. Alors ils se déchainent et rivalisent de solutions à ce problème, toutes plus farfelues les unes que les autres. Pour l’un c’est la neige, pour l’autre la télé, pour un autre l’activité sportive, ou la vie dans un couloir aérien, ou encore de sauter le petit déjeuner… Bref les médias viennent au secours des médecins et inventent les pires débilités.

Très isolé mais sauvant l’honneur de la presse écrite, le journal indépendant The Irish Light titre sur les maladies cardiaques qui explosent chez les enfants suite à la vaccination ! Il va même plus loin en annonçant que Pfizer savait que ses vaccins tueraient.

A la cantonade, voici quelques manchettes glanées ici ou là, faites votre choix :

Une nouvelle étude dans la revue Andrology certifie que le vaccin Pfizer réduit le taux de spermatozoïdes. L’accusation d’infertilité contre lui se vérifie ainsi chaque jour.

Les taux de natalité chutent dans tous les pays où on a vacciné intensément contre le covid : l’Allemagne, le Royaume Uni, la Suède, les Pays-Bas, la Suisse… Le nombre de naissances en Hongrie a diminué cette année de 20%.

Et puis le pire, The Herald Scotland indique qu’une enquête a été lancée après un pic de décès chez les nouveau-nés en Ecosse en seulement six mois.

A la télé australienne : 5% des nouveau-nés ont un système immunitaire défaillant et finissent en soins intensifs. Les médecins ne savent pas pourquoi ! Ils ne savent pas ou ne cherchent pas à savoir, ce serait plus juste de le formuler ainsi.

Sur GB News UK, Mark Steyn note la tendance à la baisse de la natalité dans de nombreux pays un an, après le début de la vaccination : « Qu’est-ce qui peut causer une telle chute ? Eh bien, cela s’est produit dans tous ces pays, essentiellement 9 mois après le lancement du vaccin COVID… »

Selon une étude française parue dans Nature, le vaccin Moderna multiplie par 44 le risque de myocardite chez les jeunes adultes.

Dans le monde entier, on constate chez les enfants et les adolescents des effets secondaires graves à très graves : une myocardite à 11 ans à Hong Kong, une mort à 13 ans sur un terrain de sport au Royaume Uni, une syncope à 13 ans en Italie sur une plage, une crise cardiaque à 14 ans en faisant du vélo au Brésil… Partout, des enfants en bonne santé mourraient comme ça subitement ? Y croyez-vous sérieusement ? La mort ne serait qu’un effet secondaire. Cela va rassurer plus d’un parent.

Un rassemblement s’est formé de personnes de plusieurs nationalités entre 18 et 45 ans qui s’estiment en grande souffrance et dans une errance médicale abominable. La médecine officielle, reniant sa vocation, ne trouve pas de solution à leurs symptômes.

En France, l’ANSM annonce 40693 effets indésirables graves. Autant dire la mort et les handicaps rédhibitoires pour les habitants d’une ville de la taille de Talence. Et toujours pas d’alarme !

Les taux d’invalidité aux USA coïncident avec l’introduction des vaccins anti-covid. Selon les données de la Federal Reserve Bank of St. Louis le nombre d’handicapés américains a augmenté de 10% cette année, soulevant la question des effets indésirables.

Pour enfoncer le clou d’une vaccination que je qualifierais d’homicide, les nouvelles hospitalisations au Québec n’affectent pratiquement que les 3 doses, bien moins les deux doses. Pour ne pas avoir une population témoin de non-vaccinés, ces derniers sont même mélangés avec les 1 dose < 14 jours. C’est dire la malhonnêteté de la méthode !

Enfin, les décès d’athlètes : 1101 entre 1966 et 2004 (2.4 morts/mois) contre 673 en moins d’un an et demi de vaccination anticovid (42 morts/mois).

Voilà en vrac quelques gros titres, et encore ai-je écrémé en effectuant une sélection qui n’en reste pas moins morbide. Je me demande si après tout cela un commentaire de ma part est nécessaire. Si les temps n’avaient pas été déraisonnables, ces meurtres programmés auraient cessé séance tenante après quelques décès. Une juste colère sociale aurait enrayé le forcing des vaccinateurs fous. Mais, aujourd’hui, nous vivons des temps où l’homme ne sait plus qui il est et s’en remet à ses bourreaux en toute inconscience.¾