Bienvenue dans le Nouvel Ordre Mondial

Le 03/03/2022

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L’hystérie, qui se déverse unilatéralement sur les ondes pour souder l’occident contre la Russie, n’est qu’un effet miroir de la panique qui gagne l’Etat profond. Outre l’intervention récente de Soros, celle d’un autre parrain du Deep State a attiré mon attention. Il s’agit d’un Rothschild, l’héritier Nathaniel, qui est sorti de ses quartiers pour s’adresser au gouvernement britannique.

A l’en croire, Poutine serait « l’homme le plus dangereux depuis la défaite d’Hitler », suivi de près par Xi Jinping. Il indique, en ces termes, que « l’Ukraine est une pièce essentielle que nous ne pouvons pas nous permettre de perdre, sur l’échiquier géopolitique ». Le représentant notoire du mondialisme renchérit. Pour lui, « la Russie doit être excisée du système bancaire et économique international ». Il écrit encore : « Nous devons mettre la Russie à genoux par tous les moyens possibles, pour envoyer un signal fort aux Chinois et pour protéger notre système mondial de normes et de valeurs libérales ».

Dans ce message, tout est à peser. La forme écrite d’abord qui en dit long de l’état de préoccupation voire d’inquiétude de son auteur. Quant au fond, il n’est ni plus ni moins qu’une directive ordonnée aux subalternes que sont, pour un Rothschild, les membres du gouvernement britannique. Là encore, son auteur soumet la comparaison Poutine-Hitler à la logorrhée journalistique qui ira inonder les médias. Comme le martèle fort justement le manifeste conspirationniste, « rien ne ressemble plus à une manœuvre concertée, à un complot centralisé que l’unité dans la falsification journalistique quotidienne ». Ensuite il souligne l’importance non point de l’Ukraine mais d’une opération sous le drapeau ukrainien dont il dit qu’il est crucial pour lui de ne pas la perdre. Mais quel est ce nous dont il parle ? Ce nous n’est pas celui de la citoyenneté britannique, dont cet apatride n’a que faire. Ce nous c’est le nous de l’Etat profond. Rappelons que Boris Johnson, le premier ministre britannique, en est. La branche américaine, basée à Washington DC, avait précipité ce pays dans leur giron, après Euromaïden, et elle en avait fait une pièce maitresse de sa volonté de domination. Depuis 2014, l’Ukraine a été leur terrain de jeu, avec l’installation de leurs laboratoires d’armes biologiques, leurs sociétés offshore, le blanchiment d’argent et les trafics en tous genres. Les ambitions hégémonistes des mondialistes (ils ne s’appellent pas ainsi pour rien) sont manifestes dans ce texte. Le banquier, dans sa fureur, ordonne ensuite d’exclure la Russie du système financier international Swift. Mais le meilleur est à suivre : mettre la Russie à genoux par tous les moyens possibles ! Qu’entend-il au juste par tous les moyens possibles ? Envisage-t-il sérieusement une riposte nucléaire ? S’il écrit tous les moyens possibles, c’est que l’idée lui a traversé l’esprit. En ce cas, qui de lui ou de Poutine joue à l’apprenti sorcier ? Poutine, au moins, n’avance pas dans l’ombre. Et une riposte dans quel but ? Pour sauvegarder ce qu’il appelle notre système mondial de normes et de valeurs libérales. Entendez par là notre Nouvel Ordre Mondial. Il n’invoque en rien de quelconques valeurs humanistes. Non, il se réfère à un système de normes. Est-ce de cela dont nous avons besoin ? A moins que dans son esprit le terme normes signifie sommations. Et il se réfère à des valeurs libérales, expression qu’il faut traduire par antinationalisme et progressisme. Pour envoyer un tel ultimatum, il faut que l’individu soit au bord de la rupture, et que la panique l’ait gagné. Quelque part, c’est bon signe. C’est signe que la bête convulse.

Pourquoi avoir débuté par cet oukase ? Qu’il n’y ait d’abord pas de méprise. Il s’agit bien de l’ordre d’un parrain destiné à la mafia qui règne sur l’occident, et non la recommandation bienveillante d’un homme d’influence aux dirigeants de sa nation. Le sieur a tout d’un Don Corleone et rien d’un Churchill. J’ai donc tenu à ce préambule, afin de pointer du doigt toute la duplicité du mondialisme, qui a envahi notre gouvernance, et ses sombres desseins. Mais pas seulement. Pour montrer à quel point nous sommes, nous en occident, entre les mains d’une bande organisée la plus ignoble et la plus puissante de tous les temps. Cette faction nous dirige de plus en plus d’une main de fer, avec un cynisme affiché, sans que le moins du monde elle ne se préoccupe de notre opinion. Les gens qui ne le comprennent pas sont désarmants. Aussi faut-il les réveiller, faut-il tous nous réveiller.

Si jadis nos aînés pouvaient se reconnaître dans le camp des alliés, le camp de la liberté face au totalitarisme, il faut ouvrir les yeux, nous n’appartenons plus à ce camp aujourd’hui, nous ne sommes plus dans le camp de la liberté, le camp d’une démocratie se battant contre une dictature extérieure sanguinaire, nous ne sommes plus dans le camp du bien face au mal. Cette fois-ci, nous sommes clairement dans le camp du totalitarisme, dans le camp d’une dictature tyrannique, nous sommes désormais dans le camp du mal ! Nous sommes opprimés par un ogre dévoreur de ses enfants, on l’a vu avec le covid, un ogre qui a étendu ses bras sur une bonne partie de la planète, on le voit avec l’ukrainisme, et qui a pris possession du monde occidental, jadis jugé comme le principal garant des valeurs des hommes de bien. Aussi, sachant les interventions sanglantes de l’Occident en Serbie, en Irak, en Lybie ou au Yémen, soutenir sa politique actuellement, une politique du deux poids deux mesures, prendre le parti de la caste manipulatrice et sadique qui la conduit, c’est accepter l’héritage du mal qu’elle répand et même le revendiquer. Alors, ce sera sans moi ! Est-ce ainsi que les hommes honnêtes vivent ?

Si les temps sont durs, c’est aussi parce que cette mafia voit ses bases contestées. Bien entendu, il y a pour elle le nœud gordien de la Russie et bientôt de la Chine, mais avant tout il y a les Etats-Unis de Trump, leur autre ennemi mortel, qui s’adonne à un travail de sape et ne l’épargne pas sous ses coups de boutoir. La bête immonde se débat actuellement avec férocité. Ses forces comme ses faiblesses sont exposées à la vue de tous. Aussi montre-t-elle ses griffes et son hideux visage. Elle est le véritable ennemi du genre humain, le nazi des temps modernes. C’est pourquoi elle accuse si promptement ses ennemis de l’être. On connait dorénavant sa tactique de l’inversion accusatoire.

Nous sommes donc prisonniers de ces monstres dans nos propres pays, sous le joug de gouvernements qui nous amènent en enfer pour accomplir leur forfaiture. Nous nous retrouvons dans la position des allemands sous dictature nazie. Ne vous en laissez pas compter. Le parallèle est juste. D’autant plus que nous n’y sommes pas habitués. Par notre histoire et notre culture, nous nous sommes souvent considérés comme les détenteurs du bien. Constater qu’il n’en est rien, remettre en cause les supposées bonnes intentions de nos dirigeants à la seule lumière des faits et dénoncer leurs méfaits n’est pas chose aisée. Peu d’allemands à la fin des années 30 percevaient dans quelle spirale infernale leur chef les entraînait et encore bien moins pensaient se retrouver dans le camp du mal.

De même qu’il a été impossible et qu’il l’est toujours pour certains de prendre conscience que le covid est une effroyable opération d’ingénierie sociale, parce qu’ils ne peuvent imaginer une seconde que leurs dirigeants soient des individus malfaisants, de même ces personnes ne peuvent imaginer se retrouver dans le camp du mal lors de cette nouvelle opération Ukraine. Ils pensent encore défendre la liberté et la démocratie, quand ils ne font que soutenir la tyrannie qui brouille leur jugement. Leur situation est trop confortable intellectuellement pour l’admettre ou se poser les bonnes questions. La propagande sévit à un tel point de pathos que l’artifice fonctionne chez les personnes confortées dans leurs certitudes. Leur ignorance de la situation réelle et leur volonté de ne pas l’analyser en toute impartialité leur procurent comme une tunique de Nessus, une tunique d’autant plus empoisonnée qu’elle est seyante. Elle permet d’envisager le monde avec la prétention de savoir, mais elle brûle son possesseur par le poison de l’imposture. Si les Macron, les Trudeau ou les Morrison se souciaient un tant soit peu de notre bien-être et de notre sécurité, enverraient-ils leurs nervis éborgner de simples manifestants, les matraquer et les mutiler ? Est-ce là comment agissent les démocrates ?

Que les peuples aveugles prennent garde à ne pas faire les autruches plus que de raison, car il se pourrait alors qu’ils laissent derrière eux les décombres d’une civilisation en ruines.