N’oublions pas que leur objectif, sous le vocable de transhumanisme, ne concerne que la population des manants que nous sommes, un cheptel de futurs esclaves dont ils veulent réduire drastiquement le nombre à une valeur suffisante pour faire marcher la machine mais pas au-delà. Comme toujours ils s’exempteront des obligations qu’ils nous imposeront. La race des seigneurs, comme dirait Laurent Alexandre, n’est évidemment pas concernée par leurs plans dystopiques.
En fait d’abâtardi, le Dr Yuval Noah Harari, un proche conseiller de Klaus Schwab, n’est pas mal non plus. Braquons le projecteur sur ses discours les plus déments. Ses paroles sont extraites de diverses interventions, dont une au 50ème meeting annuel du Forum Economique Mondial en 2020, et une autre à celui de 2018.
Écoutons-le-nous relater son combat, sein kampf ! Avec quelle conviction il nous déclare que notre avenir est scellé. Pas d’échappatoire. Il est effrayant de voir cet historien israélien prétentieux, d’origine juive, ironie de l’histoire, entonner le programme d’asservissement de toute l’humanité, édicté par la caste. Il n’est ni plus ni moins qu’un porte-voix chargé d’annoncer la plus grande horreur de tous les temps. Voilà le combat de cet homme ! A double titre, en tant que juif et en tant qu’historien, il ne devrait pas oublier la shoah et il devrait encore moins se flatter de participer à un massacre plus dantesque encore. Notre sort entre les mains de ces dégénérés ne sera guère plus enviable que celui des juifs d’il y a soixante quinze ans. Le Dr Zelenko a eu ce mot si clairvoyant : « En fait, cette fois-ci, nous sommes tous juifs ». Et c’est un juif séfarade qui vient nous balancer ça benoitement au nom d’un progrès inéluctable soi-disant. N’éprouve-t-il aucune honte ? Cette fois, finies les gesticulations vocales à la Hitler, cette fois avec Harari c’est la voix retorse de Méphistophélès dans la bouche de Faust. Ce renégat est à vomir ! Comment en sommes-nous arrivés là ? Entendre cette nouvelle version de mein kampf qui a pour vocation d’en finir une fois pour toutes avec l’humanité, excusez du peu, me donne la nausée. Qui sont ces juifs qui osent ainsi cracher sur les tombes de leurs aïeux victimes de la barbarie nazie ? Harari peut serrer la main de son compère BHL, qui est venu il y a peu à Odessa s’afficher, tout sourire, avec le colonel Marchenko, un fasciste notoire. Est-ce devenu une propension chez ces juifs-là que de fréquenter des néonazis ?
Bien, êtes-vous prêt ? Accrochez-vous, c’est parti !
«Par le passé, de nombreux tyrans et gouvernements ont voulu le faire, mais personne ne comprenait assez bien la biologie. Et personne n’avait assez de puissance de calcul et de données pour pirater des millions de personnes. Ni la gestapo ni le KGB n’ont pu le faire […] mais bientôt, au moins quelques sociétés et gouvernements seront en mesure de pirater systématiquement toutes les personnes. »
Ce qu’Hitler et sa gestapo n’auront pas réussi à faire, à savoir régenter le peuple jusque dans ses pensées, eh bien son élite et lui y seraient déjà parvenus. Le maraud ne peut s’empêcher de s’en vanter. Les siens y seraient parvenus, puisqu’à cette heure ils maîtrisent suffisamment la biologie et la technologie. La CIA et des sociétés affidées comme Google, ainsi que la DARPA, du Département de la Défense américain, auraient réussi ce tour de force. On peut le craindre.
« Nous, les humains, devrions nous habituer à l’idée que nous ne sommes plus des âmes mystérieuses, nous sommes maintenant des animaux piratables. »
Faisons-nous à l’idée de perdre notre âme, nous intime-t-il tandis qu’il semble encore vouloir être des nôtres. Les totalitarismes avaient su jusqu’ici déposséder l’homme de son corps. Le mondialisme en digne successeur a l’ambition de nous déposséder de notre âme. Mais qu’est-ce que l’âme ? Qu’en savent-ils au juste ? Ce qu’ils savent manifestement c’est comment reprogrammer notre cerveau. On peut maintenant hacker l’être humain, tambourine le prophète de malheur. L’ont-ils déjà fait en ce mois de mars 2022 ? C’est probable. Je pense naturellement aux prétendus vaccins et à leur composition très énigmatique par certains aspects.
« Les données pourraient permettre aux élites humaines de faire quelque chose d’encore plus radical que de construire des dictatures numériques. En piratant les organismes, les élites pourraient obtenir le pouvoir de ré-ingénier le futur de la vie elle-même […] ce sera la plus grande révolution de la biologie depuis le tout début de la vie, il y a quatre milliards d’années. »
A cet instant, il a rejoint son camp, celui des élites. Il a rejoint les seigneurs, comme dirait l’autre. Il invoque dès lors la vision apocalyptique de reformater la vie comme la réalité de demain. C’est donc qu’ils savent d’ors-et-déjà comment accéder à notre ADN, interagir avec lui et le modifier ! N’avait-on pas averti de cela en début de vaccination ? Les crédules étaient dans le déni. Les lucides, des complotistes. Ils auront engagé pour sûr des dépenses colossales afin de nous pirater. Ce n’est certes pas pour se priver à présent de passer à l’acte.
« Nous entrons dans l’ère de la vie inorganique façonnée par la conception intelligente. Ainsi les données sur mon ADN, mon cerveau, mon corps, ma vie, est-ce qu’elles m’appartiennent ou est-ce qu’elles appartiennent à une société ou au gouvernement ou peut-être à un collectif humain ? Les humains sont maintenant des animaux piratables. Vous savez, l’idée que les humains ont cette âme ou cet esprit, qu’ils ont leur libre arbitre, que personne ne sait ce qu’il se passe en moi, donc quoi que je choisisse, que ce soit lors d’une élection ou au supermarché, c’est mon libre arbitre… C’est terminé le libre arbitre, c’est terminé. »
Ici Harari ne laisse aucune place au doute. L’IA, le cloud et la biotechnologie leur permettent dorénavant de réaliser ce que prédisait la regrettée Claire Séverac, interfacer cerveau et ordinateur pour mieux nous contrôler. Il le dit, on est maintenant piratable, et on est ou on sera demain piraté, soyez-en sûr. Cela va même plus loin, plus loin même que le simple crédit social à la chinoise d’un totalitarisme presque ordinaire, puisqu’ils veulent sonder jusqu’à nos pensées les plus intimes et les assujettir de telle sorte qu’on en perde notre libre arbitraire. Toujours pas effrayé de la perspective ? ! Il ne fait pas de doute qu’il s’agit là du sens profond du slogan de Klaus Schwab : vous ne possèderez plus rien et vous serez heureux. Nous n’aurons même plus la faculté de penser par nous-mêmes et encore moins de décider par nous-mêmes. Harari l’a assez claironné : le libre arbitre, c’est terminé ! Nous serons des zombis, à peine conscients d’exister. Pour enfoncer le clou et montrer que toute l’humanité est concernée, cette dernière phrase issue d’une interview :
« Aujourd’hui nous avons la technologie pour pirater les êtres humains à une échelle massive. »
Mes amis, un cercle supplémentaire dans l’Enfer de Dante nous attend.
